Le blogue de Richard Hétu

L'Amérique dans tous ses états

Dès l’annonce jeudi des résultats des sondages de sortie des urnes au Royaume-Uni, de nombreux journalistes, commentateurs et mordus de politique américaine ont tenté de tirer les leçons de la victoire écrasante de Boris Johnson et de les appliquer à l’élection présidentielle de 2020. Auteur d’un livre sur le populisme, le politologue Yascha Mounk a …

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En 2014, le Front national de Marine Le Pen a emprunté 11 millions d’euros à des banques russes, dont l’une était proche de Vladimir Poutine. En 2015, Arron Banks, bailleur de fonds de la campagne pro-Brexit, s’est vu proposer de participer à des affaires potentiellement très rentables via l’ambassade de Russie à Londres. Et en …

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Les images qui resteront de la visite britannique de Trump, et de sa famille, seront celles de son accueil royal. Mais au-delà d’un portrait officiel avec la reine, les Britanniques en garderont un autre souvenir : les Américains ne sont pas là pour les sauver du naufrage. En pleine crise politique, alors que la première …

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«Le Canada est peut-être un des pays les plus ennuyeux du monde, aussi susceptible de provoquer des bâillements que des chaussures confortables – réveillez-vous, lecteurs, je sais que vous somnolez! – mais il est aussi en train de devenir un leader moral du monde libre.» Nicholas Kristof, chroniqueur du New York Times, rend cet hommage …

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Une série de courriels rendus publics le week-end dernier montre que l’ancienne éminence grise de Donald Trump, Steve Bannon, aurait également joué un rôle dans la campagne en faveur du Brexit. Ce dernier aurait été impliqué, en octobre 2015, dans des échanges écrits entre la fameuse firme Cambridge Analytica et les dirigeants de Leave.EU, un mouvement …

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À peine arrivée au Royaume-Uni pour une visite de trois jours, Donald Trump a accentué la vulnérabilité de Theresa May en confiant au quotidien londonien The Sun que la première ministre britannique avait mis en danger un traité de libre-échange éventuel avec les États-Unis en optant pour un «Brexit doux». «Je lui ai dit comment …

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«C’est le chaos total et Theresa May n’a plus aucune autorité.» – Ian Lavery, président du Parti travailliste, s’exprimant après la démission du ministre du Brexit, David Davis, et avant celle du ministre des Affaires étrangères britannique, Boris Johnson, deux poids lourds du gouvernement conservateur opposés au «Brexit doux» préconisé par la première ministre.