Vendredi, l’Irak a connu sa journée la plus sanglante depuis le début des manifestations anti-gouvernementales en octobre qui ont fait plus de 400 morts et 15 000 blessés. Ces manifestations visaient, au départ, à dénoncer la corruption du gouvernement du premier ministre Adil Abdul Mahdi. Cette semaine, les évènements ont poussé l’Irak vers une crise …