«Une rage insatiable» : ces mots coiffaient un éditorial publié dans le New York Times lundi sous la signature du journaliste noir Charles Blow, qui tentait d’expliquer la colère des Afro-Américains après le meurtre de George Floyd. Cette colère devait également habiter Nina Simone, l’une des plus grandes chanteuses et musiciennes afro-américaines, lorsqu’elle composa, en …