«Si la réduction de la consommation de boeuf et de porc produit des effets salutaires, ceux-ci sont modestes, disent les chercheurs. En fait, les avantages sont tellement faibles qu’ils sont détectés seulement quand on étudie de vastes populations, affirment les scientifiques, et ne sont pas suffisants pour dire aux individus de changer leur consommation actuelle …