Le blogue de Richard Hétu

L'Amérique dans tous ses états

« Allez-vous vous ranger du côté de Kamala Harris et des médias libéraux ou allez-vous vous ranger du côté de l’État de Floride ? »

Ron DeSantis, gouverneur de Floride et candidat à la présidence, répondant aux critiques de deux élus républicains noirs, dont un de ses rivaux dans la course à l’investiture républicaine, le sénateur de Caroline du Sud Tim Scott, qui ont critiqué les nouvelles normes de son État concernant l’enseignement de l’histoire afro-américaine dans les écoles publiques. Comme le représentant de Floride Byron Donalds, un supporteur de Donald Trump, Scott a formulé une critique semblable à celle de Kamala Harris sur le sujet, à savoir qu’il est odieux de prétendre que les personnes réduites en esclavage ont acquis des compétences dont certaines ont tiré un profit personnel.

P.S. : DeSantis a ajouté à sa défense : « La façon de diriger est de lutter contre les mensonges, de dire la vérité. Je suis donc ici pour défendre mon État de Floride contre les fausses accusations et les mensonges, et nous continuerons à dire la vérité. »

(Photo AP)

67 réflexions sur “La citation du jour II

  1. Caisse dit :

    La folie n’est pas un signe d’intelligence, il semble qu’il ne l’à pas et ne l’aura jamais compris.

  2. POLITICON dit :

    Ce qui veut dire: Voulez-vous renier vos origines, vos valeurs, votre histoire avec moi ou Kamala Harris?

  3. Alain dit :

    Je me demande bien quel genre de discussion d’oreiller il peut avoir avec son épouse. Tellement déphasé de la réalité – un politicien entortillé dans ses mensonges.

    1. Capucine dit :

      Ils font chambre à part, ce qui permet à son épouse d’acquérir des compétences qui lui serviront à tirer un profit très personnel, quand elle le mettra à la porte

      1. Haïku dit :

        😂👌 !!!

    2. AB road dit :

      …et ignorance

  4. marylap dit :

    Le gars a une allergie sévère à la vérité, DeSantis ment comme il respire. C’est clair que pour lui, comme pour la majorité des Républicons, le pouvoir est plus important que la vérité. En refusant d’admettre qu’il a tort, il se discrédit complètement. C’est pas comme si son nouveau mensonge est dur à démontrer calvasse.

    1. Ziggy9361 dit :

      Maryland…Pendant que je lisais votre texte auquel j’adhère dans la colonne de droite dans les vieux Twitter de Mr,Hétu celui-ci est de bon ton avec le billet:
      Le @nytimes fait état de la consternation mondiale face à la situation politique américaine. «C’est comme assister au déclin de l’Empire romain», dit le maire de Sarnia, en Ontario. «Je suis désolé pour les Américains», dit un parlementaire du Myanmar. 25 septembre 2020

    2. Denis Dallaire dit :

      @marylap….Imaginez seulement s’il devenait Potus…..a son investiture si on mettait un buzzer pour contrer les mensonges……I Ron DeSantis swear…..buzzzzzzzzz

  5. Daniel Beaumier dit :

    Nous continuerons de dire la vérité ? La seule chose qu’il laisse voir sa véritable nature c’est son manque affligeant d’empathie. Le reste faut en prendre et en laisser ; surtout laisser.

  6. Layla dit :

    Avec sa vérité…il se croit en droit
    —- de réécrire l’histoire avec sa vérité.
    —- de tourner le dos à la science, qui ne correspond pas à sa vérité.
    —- de blesser avec son « don’t say gay »
    —- de contrôler la femme en la privant de son droit de choisir.

    1. Lanaudoise dit :

      En prime, il se prend pour la Floride au grand complet.

  7. Anizev dit :

    « Je suis LA vérité » dixit DeSatan

    1. jmaveja48a dit :

      Comme dirait l’avocat de la chose « la vérité n’est pas la vérité »😉

  8. gl000001 dit :

    Ron, Ron, Ron … pose pas de question dont tu ne veux pas avoir la réponse !!!
    Et de toute façon, ils ont déjà répondu. Et la réponse allait dans le même sens que Kamala H.
    Faque … mets ça dans ta Vérité !! « Sit on it and spin » comme ils disent en latin !!

  9. MarcoUBCQ dit :

    P.S. : DeSantis a ajouté à sa défense : « La façon de diriger est de contre-attaquer avec d’autres mensonges, de mentir donc. Je suis donc ici pour défendre mon droit d’affirmer de fausses accusations et des mensonges, ainsi nous continuerons à mentir. »

  10. Loufaf dit :

    La vérité de son monde parallèle, exactement comme crapule 45. Dès qu’ils ouvrent la bouche, ils mentent.
    Aussi dangeureux à leur manière pour la démocratie .
    Il faut vraiment être un raciste fini pour prétendre que l’ esclave a eu de bons côtés!

  11. MarcoUBCQ dit :

    « Allez-vous vous ranger du côté de Kamala Harris et des médias libéraux ou allez-vous vous ranger du côté de l’État de Floride ? »

    Lapsus mon ti-Ron? Depuis quand es-tu à toi tout seul la Floride? Comme Donald qui prétend que les poursuites judiciaires dont il est l’objet sont en fait des poursuites contre tous ceux qui votent GOP. Ça montre où on joue avec ces 2 zigotos: Tout est affaire personnelle tellement ils sont susceptibles, et donc faibles et mal-assurés.

  12. Haïku dit :

    Cher Ron,
    Je ne peux qu’être impressionné par la patience dont font preuve ceux qui doivent se coltiner votre présence au quotidien.

  13. NStrider dit :

    Je suis fasciné par la facilité avec laquelle les républicains réussissent à donner un « spin » qui les favorisent aux faits.

    « La façon de diriger est de lutter contre les mensonges, de dire la vérité. Je suis donc ici pour défendre mon État de Floride contre les fausses accusations et les mensonges, et nous continuerons à dire la vérité. »

    Ce sont donc les démocrates qui mentent, Kamala Harris, Scott et Donalds qui n’ont pas saisi les bénéfices de l’esclavage.
    À quand l’utilisation systématique de la « sandwich de vérité » dans tous les médias traditionnels ou non.

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/Truth_sandwich

    1. Achalante dit :

      Ah, mais si un sandwich de vérité requiert d’enchâsser le message médiatique (« spin ») entre deux couches de vérités, les Républicains, celui-ci inclus, font plutôt du sandwich de mensonge, où l’on ment, on tente de donner un semblant de vérité au mensonge, puis on rajoute une nouvelle couche de mensonge.

      Mon cher B.S. (comme dans bull s#it), ce n’est pas parce qu’ils travaillaient que les exclaves étaient libres… et j’éviterai le point Godwin en ne mentionnant pas l’inscription sur la porte d’un camp de travail

      1. Aube 2005 dit :

        La seule chose que les tdc leur ont appris c’est justement de leur torcher leurs c.,.ls en or.
        Ils se sont épanouis gräce à leur professeurs.

    2. Intéressant !

      Comme mentionné dans une des références, c’est une appellation trompeuse. Le sandwich de mensonge serait plus approprié. Le mensonge est tartiné entre deux vérités pour le faire passer en douce. On nomme un sandwich par ce qui est dans le milieu, pas par les deux tranches de pains.

      1. NStrider dit :

        «  Le mensonge est tartiné entre deux vérités pour le faire passer en douce. »
        Pas pour le faire passer en douce, mais bien pour l’étouffer.

  14. nefer111 dit :

    Faut lui arracher sa grosse langue sale de pervers mythomane !!!!
    🤬🤬🤬
    Criss que je l’haïe ce fucking déchet !!!!!

  15. _cameleon_ dit :

    « il est odieux de prétendre que les personnes réduites en esclavage ont acquis des compétences dont certaines ont tiré un profit personnel »

    Je dirais même plus:
    Il est ognimonieux, ignimonieux, euh, ignominieux (*) de lancer une telle couleuvre vénéneuse dans l’arène publique.

    (*) Synonyme : abaissant, abject, avilissant, dégradant, déshonorant, honteux, ignoble, immonde, infamant, infâme, infect, injurieux, innommable, inqualifiable, méprisable, rabaissant, répugnant, sordide.

    Sinon, je n’ai rien de plus à ajouter.

    1. _cameleon_ dit :

      Ajout (autres synonymes)
      J’ajoute ahurissant, bas, cynique, détestable, déprimant, fabulateur, fictionnel, fou, gras. gros, haïssable, ignorant, kkklantiste, maudit, répugnant, reginglard, répulsif, rétrograde, stupide, turpide, vicieux, vil et xénophobe.

      1. xnicden dit :

        👍

      2. Ziggy9361 dit :

        Sans que la justice s’en mèle, la honte devrait suffire à s’autoexclure ( si le mot existe) ou sinon peut-être la solution réside dans une solution très simple pour démasquer les menteurs tels Catastrumpète,ou DeSenteuxdepeteux et c,est Thérèse de la petite vie qui a la solution offrons leurs une montre de la vérité, voyez par vous-même :
        https://www.facebook.com/LaPetiteVieMeilleurs/videos/1692489174099554/

    2. Francois C dit :

      Je vois pas le problème, ils ont acquis des compétences et en plus ils étaient logés / nourris 😉

  16. MarcoUBCQ dit :

    Le GOP attire un clan de personne qui se connaissent plutôt mal et ont donc tendance à s’imaginer pareils que ceux qu’ils élisent. Dans un clan il n’y a aucune considération pour toute personne qui ne fait pas partie du tien. Ça ressemble à la mafia, rien de surprenant quand on sait que les élus du GOP n’ont que faire de la loi ou l’éthique.

    Le message de DeSantis est donc simple: « « Allez-vous vous ranger du côté de l’autre clan, ou allez-vous vous ranger du côté du nôtre ? »

  17. Cubbies dit :

    Il est en train de s’auto-détruire politiquement parlant. Trop cave pour s’en rendre compte.
    Un autre crétin qui fonce droit dans le mur. Ron, pour ton bien, que ton influence se limite à la Floride! Le pays s’en portera beaucoup mieux.

  18. MarcB dit :

    Donc selon DeSantis, Tim Scott ferait partie de l’élite libérale et de ses médias qui répandent le wokisme qui corrompt nos jeunes?
    Pas certain que le sénateur Scott serait d’accord qvec l’étiquette.

  19. Chanounou dit :

    Tout cela m’interloque au plus haut point ( le verbe n’existe pas, mais ça m’arrange… ).
    Comment font les Etazuniens doués de raison pour ne pas le renvoyer dans les cordes ( comme un boxeur sonné) en disant : » bon maintenant assez joué et dit de bêtises mon p’tit Ron… maint’nant tu rentres à la maison et tu t’occupes tranquillement ds un coin avec tes p’tites voitures et tu ne déranges plus les adultes qui doivent passer la serpillière derrière toi et essayer de réparer tes âneries autant que faire se peut ! ”….
    Par ailleurs, j’ai lu ds la presse allemande que même multiplement inculpé, rien n’empêcherait CataStrumpf de se présenter et d’être ELU !!!
    Vu d’Europe où certaines légères condamnations empêchent d’être conseiller municipal dans une commune de 1000habitants, je dois dire que j’ai un peu de mal à concevoir une telle énormité… Quelqu’un de bien plus expert de l’autre côté de la grande bleue peut m’eclairer?

    Ps: suis allée hier à Honfleur ( à 40km de chez moi depuis que nous sommes rentrés en France) et ai pensé à vous tous : certains de vos ancêtres en sont partis, accompagnant Champlain ou Cavelier de la Salle – j’ai oublié de regarder la plaque près de la Lieutenance.., je crois que c’est Champlain… Cd.l.S est parti de Rouen, me semble-t-il…)

    1. Moi j’aime bien « interloquer ». Si un adjectif qui ressemble à s’y méprendre à un participe passé existe, pourquoi pas le verbe qui lui convient ? (Je vais quand même faire mes recherches.)

      1. Addendum : interloquer est une verbe qui a existé longtemps, avec des emplois juridiques souvent, gravitant autour de « interrompre le discours de quelqu’un ». Le verbe existait encore au XIXe siècle. Finalement, ça me laisse… sans voix.

      2. Chanounou dit :

        @Richard D,
        Merci. Il est grand temps de remettre ce verbe désuet à la mode, ne trouvez-vous pas ? La politique etazunienne nous fournissant tous les jours de quoi l’utiliser…..😉😉😉

    2. gl000001 dit :

      Samuel de Champlain Né à Brouage. Il a fondé la ville de Québec. Et un pont qui traverse le St-Laurent porte son nom.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Samuel_de_Champlain

  20. Si être du côté de la Floride ça veut dire accepter les coûts astronomiques des maisons avec les compagnies d’assurances qui refusent désormais de couvrir les catastrophes comme les inondations, la montée des eaux, les incendies, les tornades et les glissements de terrains, accepter les risques à la santé que le gouvernement de DS continue d’ignorer comme la malaria et la lèpre (on ne parle pas de ce que la COVID leur a coûté en décès), la température de l’eau qui atteint les 100 F (pas très bon pour les plages), les gros reptiles qui se multiplient, les corporations qui ne veulent plus investir parce que la guerre contre les woke leur fait perdre côté tourisme, et une guerre contre Disney qui finira mal… alors… qui veut être du côté de la Floride, surtout sachant que DS promet des ÉU de même qualité ?
    (Excusez cette vraiment trop longue phrase.)

  21. littlerob dit :

    Bah, comme si DeSantis savait distinguer la vérité et les mensonges.

  22. ctbourgeois dit :

    Comment les floridiens peuvent élire un menteur dangereux pour la société américaine, les entreprises, l’environnement, le milieu médical et scientifique, les femmes, les afro-américains, les migrants, les enseignants, le système scolaire ?

    Rien de logique et sensé ne sort de sa bouche, tous ceux qui s’opposent à lui sont des wokes qu’il faut dominer, l’oppression est son leitmotiv. Ce serait le président d’un pays où des ennemis se trouvent à tous les coins de rue.

  23. Helene dit :

    @ctbourgeois
    Comment les états-uniens ont-ils pu élire un type semblable à celui que vous décrivez et peut-être même réélire?

  24. Claude B dit :

    Je me demande si Radio-Canada a encore dans ses costumes d’archives la montre à mensonges de Réjean dans La Petite Vie…. On pourrait lui en faire cadeau.

    1. La batterie serait à plat toutes les dix minutes. Et il ne remplacerait pas.

      À moins qu’on lui dise qu’elle buzze chaque fois qu’il a raison. Mais il le répétera à ses fans, qui le croiront.

  25. Duduche dit :

    Comme tout bon fasciste*, DeSantis joue la carte du ou vous être avec moi, ou vous êtes contre ce que je représente avec lui dans le rôle du Candidat Républicain. Comme si ne pas être d’accord avec lui était être contre le GOP et autres conservateurs. Ça peut réussir auprès d’un public MAGAné-like quand un homme politique à une certaine stature mais chez lui c’est juste ridicule.

    * Dans la liste des caractéristiques du fascisme selon Umberto Eco (https://www.openculture.com/2016/11/umberto-eco-makes-a-list-of-the-14-common-features-of-fascism.html), DeSantis coche au moins la 1 (tradition), la 2 (côté anti-éducation), la 4, la 5, la 6, la 7 (les wokes complotent contre lui), la 10, la 11 et la 12 (Ron « Top Gun » DeSantis) et la 13. Je ne pense pas qu’il se qualifie pour les 8, 9 et 14. La 3, je ne sais pas.

  26. Layla dit :

    HS…Parlant de dire la vérité de l’imitateur de la Floride, il a pas choisi le bon gars à imiter.

    La logique de DT…🤦‍♀️😜je n’ai pas de mots pour qualifier sa nouvelle défense.

    « How can Deranged Jack Smith bring a case on January 6th., as ridiculous as it is anyway, when I have already won such a case, and been fully acquitted, in the U.S. Senate? »

    On apprend de DT 😉que les enregistrements ont été remis « VOLONTAIREMENT » en lettres majuscules et il précise qu’il vient d’apprendre que les enregistrements n’ont pas été effacés.😉dans l’article du NYT il était clair que l’acte d’accusation ne disait pas s’ils ont été supprimés. Oui ou non en tout ou en partie c’est à suivre.

    Oui il vient d’apprendre que…dans mes mots

    L’idée de la preuve c’est de dire qu’il avait donné l’ordre de les supprimer et qu’il n’avait pas l’intention de les remettre VOLONTAIREMENT, DT voulait cacher son crime. Voilà le point principal de l’affaire.

    1. Haïku dit :

      @Layla
      Vous avez le don de ‘flipper’ les vomissures d’un idiot gràce à vos répliques très intelligentes.

      (NB:
      Il s’agit bien sûr, d’un compliment à votre endroit.
      D’ailleurs, c’est toujours un plaisir de vous lire.)

      1. Layla dit :

        😘😊

  27. onbo dit :

    @Richard Desrochers 18h22

    Non seulement vous n’avez pas à vous excuser, mais entendez plutôt ceci.

    Vous énumérez une liste, fastidieuse à souhait et c’est magnifique ainsi, des 13 plaies qui affligent la Floride et dont Desantis ne pipe pas mot dans son laïus sur l’art du leader, du chef, ce cheuf qui prétend pourfendre le mensonge et ne jurer que par la vérité…

    Et de quoi il parle le santimonium? De woke, woke, woke; d’esclaves chanceux; de 6 semaines maximum pour avorter, de refaire les cahiers d’école, d’annihiler les enfants qui souffrent de dysphorie de genre, d’embaucher des militaires ou des policiers à la retraite pour remplacer des enseignants de carrière, de se construire une armée personnelle faite de gardes nationaux, d’entreprendre un guerre avec Disney, etc, tout sauf les 13 éléments de votre liste…. Ron fuit donc la réalité et la vérité. C’est un peureux qui a du front, c’est tout.

    Votre intervention de 18h22 culbute donc Ron Ron Ron par dessus les câbles. Rien de ce dont il parle sous le sceau de la vérité ne concorde ni ne concerne aucune des 13 plaies bien réelles que vous énumérez et que je reconnais comme des faits dont font écho les médias US et internationaux à chaque semaine.

    Le tout petit Ron n’est visiblement pas à la hauteur des maux qui touchent la Floride. C’est pourquoi il part volontairement en dérapages contrôlés dans toutes les directions pour éviter que les Floridiens n’amènent la conversation sur leurs vrais besoins.

    Scott vient de montrer ‘une’ des mauvaises journées de Desantis. Il pourrait tomber en chute libre dans sa campagne et dans les sondages. à Suire..

    Bravo pour avoir osé cette longue phrase qui tombe particulièrement à point nommé!

    1. Merci pour cette attention. Sur quoi je vais me coucher. Au plaisir de vous lire encore (pour d’autres de vos interventions, que j’apprécie généralement).

  28. Guy LB dit :

    Il est complètement givré,
    ce gars là. Ce qui est une sorte d’exploit avec la chaleur qu’il fait en Floride…

  29. _cameleon_ dit :

    ♪ Et que pense DeSantis de ces ‘fruits étrange’ dont parle Billie ? ♫

    Billie Holiday – « Strange Fruit » Live 1959 [Reelin’ In The Years Archives]

  30. _cameleon_ dit :

    Mon avis est que tous les jeunes américains devraient être sensibilisés à leur passé, si difficile soit-il, ne serait-ce que pour permette / promouvoir la réconciliation et la réunification.
    (fin du sermon reptilien)

  31. Toile dit :

    Je suis exténué de la chose. Pendant sa simili présidence, l’enfer. Cet enfer se poursuit quasi quotidiennement car il respire toujours. Et là s’ajoute un autre monstre qui sur biens des terrains le devance en terme de stupidité et d’inhumanité.

    Et ils sont tous deux candidats pour la présidence……non mais ca se peut tu ?

  32. _cameleon_ dit :

    Variation sur un même thème:

    Les nations autochtones on grandement bénéficié de l’arrivée des européens pcq cela leur à permis d’accéder à la ‘civilisation’ (sans parler de la bénédiction de connaitre le ti-Jésus et d’accéder à la vie éternelle).

  33. brady4u dit :

    Republican Presidential Candidates Campaign at Iowa GOP Lincoln Dinner

    Le Lincoln Dinner vient de se terminer en Iowa.

    Il y a des candidats qui ne sont que des figurants.

    Nikki Haley a ouvert le bal et Donald Trump a terminé.

    C-SPAN a présenté les allocutions et son site permet de regarder et d’écouter soit tous les intervenants, soit de choisir ceux que l’on veut écouter.

    Voici le lien :

    https://www.c-span.org/video/?529533-1/republican-presidential-candidates-campaign-iowa-gop-lincoln-dinner&vod

    Afin de poursuivre sur le thème du billet actuel, DeSantis et Tim Scott sont à écouter.

    Larry Elder a été émouvant sur la condition des afro-américains.

    Et comme on attend toujours une surprise lors de ce genre d’événement, la palme revient à Will Hurd.

  34. Benton Fraser dit :

    « …., et nous continuerons à dire la vérité, quitte a mentir! »

    – De Santis

  35. Lanaudoise dit :

    La savante équipe floridienne de l’histoire revisitée a sorti une liste d’esclaves ayant bénéficié de leur expérience. Pas de chance. Faut lire ce qu’en vient d’écrire Teresa Hanafin sur Fast forward (Boston globe). Délicieux.

    As you well know by now, the Florida Department of Education (and yes, I realize having « Florida » and « education » in the same phrase is quite dissonant) wrote new standards for social studies classes, including instruction about African American history.

    The standards don’t seem too bad (then again, what do I know) until you get to this sentence: « Instruction includes how slaves developed skills which, in some instances, could be applied for their personal benefit. »

    Um, excuse me?

    (There’s another section that seems to imply that landowners had to resort to slavery because indentured servitude just wasn’t practical. I guess that’s the « the free market made me do it » argument.)

    The folks who wrote the standards were annoyed that they were criticized for finding a silver lining in lives marked by abuse, torture, rape, and murder, so they issued a statement to defend themselves, listing 16 individuals they say personally benefited from the skills they acquired while enslaved, as though slavery was just some sort of apprenticeship or unpaid internship. (Most interns don’t get whipped regularly.)

    It did not go well.

    As The 19th — an independent, nonprofit news organization — points out, one of the women listed, Betty Washington Lewis, was white and never a slave. In fact, she was George Washington’s sister. There’s no evidence that another woman, listed as a tailor, Marietta Carter, ever existed.

    And then there is Elizabeth Keckley, also held up as an example of a lucky slave. According to The 19th, she eventually became a successful dressmaker and even worked for First Lady Mary Todd Lincoln (before a rift that left Keckley destitute).

    But before her success, she was a slave, and all that that word entails.

    Her jealous slaveholder mistress ordered the village schoolmaster to repeatedly flog Keckley with a cowhide and rope until welts were raised and blood streamed down her back. She was raped by a white man for four years, and became pregnant.

    In other words, she lived a life that was typically brutal. To imply that slavery wasn’t so bad because look! Those Black people learned how to sew! is insulting on so many levels, one of which is that most of them had those skills before they were enslaved (Keckley learned how to sew from her mother). For example, their knowledge of farming and crop cultivation — and their free labor — saved the agriculture economy of the South.

    But you can’t expect people who don’t bother to learn history to know that. What’s scary is how cavalierly — and arrogantly — they rewrite that history.

  36. Haïku dit :

    HS,
    C’est vendredi…
    —————————-
    Une grenouille mâle dépressive,
    se décide à consulter une voyante dans l’espoir qu’elle lui remontera le moral….

    La voyante lui prédit:
    -« Vous aller rencontrer une très jolie jeune fille, qui voudra tout connaître sur vous.

    -« Ouais, super !
    Et quand vais-je la voir ? demande la grenouille.
     À une fête sur la mare-a-logo ?

    -« Non ; vous allez la rencontrer le trimestre prochain, en classe de biologie…

  37. Daniel Legault dit :

    Il y a eu près de 4 000 000 d’esclaves aux USA. Si 16 esclaves en ont profité, c’est insignifiant.

    Mais on est habitué à l’absence de raisonnement avec les républicains.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_aux_%C3%89tats-Unis#:~:text=Au%20total%2C%20les%20Treize%20Colonies,d'esclaves%20dans%20le%20pays.

    1. lanaudoise dit :

      Avez-vous remarqué que dans cette liste, il y a la soeur de George Washington et une femme qui n’a pas existé?

    2. lanaudoise dit :

      De plus, il y a cette esclave durement maltraitée qui elle, avait appris la couture non de sa cruelle maitresse, mais de sa maman.

  38. lanaudoise dit :

    Jamelle Bouie résume le tout dans un paragraphe de son article d’aujourd’hui:
    Unfortunately for the Florida Department of Education, several of the people cited weren’t ever enslaved, and there’s little evidence that those who were learned any relevant skills for their “personal benefit” in slavery.

  39. lanaudoise dit :

    Les mots ne sont pas innocents. Tiré de la chronique d’aujourd’hui de Jamelle Bouie:

    The good-faith explanation for this language, if you’re inclined to be generous, is that the authors wanted to emphasize the agency and skill of the enslaved, whose labor fueled large parts of the American economy in the decades before Emancipation. It’s an important point that you can also find in the College Board’s Advanced Placement class in African American studies. “In addition to agricultural work, enslaved people learned specialized trades and worked as painters, carpenters, tailors, musicians and healers in the North and South,” the A.P. guidelines state. “Once free, African Americans used these skills to provide for themselves and others.”

    Similar points, yes, but the language isn’t quite the same. In addition to using the term “enslaved” rather than “slave” — a linguistic shift that continues to be a subject of real debate — the language for the A.P. curriculum emphasizes that Black Americans could use these skills only after Emancipation.

    This is key. Slaves were owned as chattel by other human beings who stole their freedom, labor and bodily autonomy. To say that any more than a fortunate few could “parlay” their skills into anything that might improve their lives is to spin a fiction. Just as important is the fact that a large majority of the Africans enslaved in North America, whether under the British Crown for the better part of two centuries or under the American Constitution for eight decades after the revolution, died in bondage. For them, there was no point after slavery where they could use their skills.

    You might say that these are minor, semantic differences. But in history the same ideas can be used to very different effect. And it is exactly these questions of wording and emphasis that mark one of the differences between a modern, more truthful depiction of American slavery and an older, tendentious approach that either de-emphasized or ignored outright the basic injustice of human bondage in favor of a gloss that placed a more pleasant sheen on an otherwise horrific institution.

    “Until the mid-1960s,” the historian Donald Yacovone writes in “Teaching White Supremacy: America’s Democratic Ordeal and the Forging of Our National Identity,” “American history instruction from grammar school to the university relentlessly characterized slavery as a benevolent institution, an enjoyable time and a gift to those Africans who had been lucky enough to be brought to the United States.”

    As Yacovone notes, an American student in 1903, reading a textbook written for pupils enrolled in secondary school, might learn of antebellum slavery, for example, that the “systematic training bestowed upon him during his period of servitude and his contact with higher intelligence have given to the Negro an impulse to civilization that neither his inherent inclinations nor his native environment would of themselves bestowed.”

    A different student, flipping through his grammar school textbook in 1923, might read in a section on slavery that the typical plantation was a “self-supporting community” where “the great majority of Negroes remained quietly and faithfully at work” as laborers and artisans.

    A student in 1943, reading a similar textbook, might learn that “the slaves loved the people of the plantation and stood by them even after slavery was ended.” And a student in 1963 would have read in his history book that slavery “made it possible for Negroes to come to America and to make contacts with civilized life.” Other authors emphasized, in Yacovone’s words, that “slaves learned valuable trades such as sewing, weaving, carpentry and nursing.”

    This wasn’t just bad history and false information. It also served an ideological purpose. “As the history of textbooks reveal,” Yacovone writes, “Americans came to see a path to national reconciliation through their shared devotion to white supremacy.”

    Or, as the historian David Blight observes in “Race and Reunion: The Civil War in American Memory”: “A segregated society demanded a segregated historical memory. The many myths and legends fashioned out of the reconciliationist vision provided the superstructure of Civil War memory, but its base was white supremacy in both its moderate and virulent forms.” The point of teaching fictions about slavery was both to inscribe racist ideologies into the nation’s identity and to justify the renewed subjugation of an entire class of Americans.

    It is worth mentioning a few other elements of the new Florida history curriculum. Florida wants students to learn how “trading in slaves developed in African lands” and about the “practice of the Barbary pirates in kidnapping Europeans and selling them into slavery in Muslim countries.” And in its guidelines on Black history after the Civil War, the state wants students to study “acts of violence perpetrated against and by African Americans.”

    Read together, these guidelines seem like an exercise in equivocation and blame shifting — an attempt to downplay the enormity of American slavery and its defining feature, hereditary racial bondage. This is bad enough. But then consider, as well, the political context of Florida under DeSantis.

    Florida, says the Republican presidential hopeful, is where “woke goes to die.” It’s where state officials refused to offer students a class in African American studies on the grounds that it “significantly lacks educational value.” And it’s where DeSantis, as governor, has vetoed spending on Black history celebrations, actively worked to reduce the representation of Black voters in the state and promised, if elected president, to change back the name of an Army base in North Carolina from Fort Liberty to Fort Bragg, as in the Confederate general Braxton Bragg.

    It is possible (although, given their response to criticism, unlikely) that the Florida curriculum authors didn’t mean anything by their characterization of American slavery. But when the board that approved the language was handpicked by DeSantis — as part of his crusade against so-called wokeness — it’s hard not to see this new instruction on the history of slavery as yet another part of the Florida governor’s larger ideological project.

    This is why the history of textbooks past is particularly relevant. The history we teach to students in the present is as much about the country we hope to be as it is a record of the country we once were. A curriculum that distorts the truth of past injustice is meant, ultimately, for a country that excludes in the present.

  40. Gilles Morissette dit :

    DeSantis continue sa descente dans les bas fonds des sondages et ce n’est pas ce genre de déclaration qui va améliorer sa situation.

    Ce sale type nous démontre, à chaque jour, qu’il est une ORDURE qui n’a pas et n’aura JAMAIS, la capacité pour diriger ce pays.

    Son obsession pour le « wokisme » commence drôlement à ressembler à une forme de désorde mental laquelle fait en sorte qu’il déforme la réalité afin qu’elle s’adapte à sa façon de penser.

    Le mensonge, la désinformation, la manipulation, sont devenus ses outils de prédilection.

    Ses récentes décisions concernant l’éducation, l’avortement, ses attaques contre Disney, etc. le prouvent d’ailleurs amplement. Pas étonnant que sa campagne électorale parte en vrille et qu’elle est à la veille de faire un « crash »

    À la question posé par DeSantis, tel que rapporté par M. Hétu, mon choix serait facile. Si j’étai un électeur américain, ce ne serait pas du côté de la Floride.

    Je ne voterais JAMAIS pour un type qui essaie de ré-écrire un pan important de l’Histoire de ce pays en lui donnant une interprétation mensongère et tendancieuse.

    DeSantis a en lui, de la graine de dictateur. En voulant tenter de séduire les électeurs de LA CHOSE, il s’est « peinturé dans le coin » au point où sa crédibilité est pratiquement rendu au « POINT ZÉRO »

  41. Pierre s. dit :

    ————————

    se ranger du coté de Disney … ca te dit quoi stupid Ron ????
    Parce que même Goofy est plus brillant que DeSantis.

  42. le_furote dit :

    Envoye, mon ti-gars, t’as de la pogne. Charisme et courage zéro. Un ti-coune.

    Ciao

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