Un porte-parole de Justin Trudeau a nié hier l’assertion de Donald Trump selon laquelle il a refusé de rencontrer le premier ministre du Canada en marge de l’Assemblée générale des Nations unies. «Aucune réunion n’a été demandée», a déclaré Cameron Ahmad. Mais ces propos contradictoires illustrent le froid glacial qui s’est installé entre le président américain et son voisin du Nord. Lors de sa conférence de presse fleuve hier, Trump s’est dit «très mécontent» des négociations sur le renouvellement de l’ALENA.
Le président a également exprimé son insatisfaction à l’égard de l’équipe de négociateurs menée par la ministre des Affaires étrangères Chrystia Freeland. «Nous sommes très mécontents des négociations et du style de négociation du Canada. Nous n’aimons pas beaucoup leurs représentants», a-t-il dit, comme le rapportent les collègues de La Presse Maxime Bergeron et Joël-Denis Bellavance.
En conférence de presse à New York, Trump a fait part de ses doléances habituelles concernant les barrières tarifaires imposées par le Canada aux importations de produits laitiers américains, par l’entremise du système canadien de la gestion de l’offre. Et il a renouvelé ses menaces d’imposer des surtaxes de 25% sur les importations automobiles canadiennes.
«Si le Canada ne veut pas faire d’entente avec nous, nous ferons une bien meilleure entente, a-t-il dit. Nous imposerons des tarifs sur leurs importations de voitures. Nous injecterons des milliards et des milliards dans nos coffres, et nous en serons très heureux, car c’est en fait beaucoup plus d’argent que nous pourrions faire en toute circonstance en concluant une entente.»
Donald Trump semble incapable de comprendre que les consommateurs américains feront également les frais de ces tarifs.
Justin Trudeau a déclaré de son côté que les pourparlers entre Ottawa et Washington se poursuivaient. Il ne s’est par ailleurs pas offusqué du fait que Donald Trump s’est à peine retourner pour lui serrer la main lors d’un dîner réunissant plusieurs dirigeants.
À lire : cet article du New York Times sur le différent canado-américain autour du lait. Je retiens cette déclaration d’un partisan américain de l’ALENA : «Ouvrir la très petite industrie laitière du Canada est un très petit gain pour risquer de faire sauter l’accord de libre-échange le plus avantageux de l’histoire.»
(Photo Reuters)
Encore les turpitudes du gros orange….il n’aime nos négociateurs parce qu’ils lui tiennent tête…Il aurait voulu un alena signé avant le 30 septembre pour pouvoir crier victoire avant les midterms et faire plaisir à ses partisans en disant qu’il a tout gagné….Mais non çe n’est pas ce qui se passe et il rumine sa rage….Pour le reste. C’est du trump tout craché…dire n’importe quoi pour garder sa base bien connectée…..il va déchanter bientôt avec ses tarifs qui font aussi mal aux américains..sinon plus …
Continue à nous faire rire…
« Trump s’est dit «très mécontent» des négociations »
Depuis qu’il est président, est-ce que Trump a été content ne serait-ce qu’une seule journée? Hormis lorsqu’il encense ses amis Kim et Putin, je ne me souviens pas de l’avoir vu sourire une seule fois. À l’entendre, la terre entière est contre lui. Ce qui, à bien y penser, n’est pas totalement faux.
Ce n’est pas la terre qui est contre lui, c’est lui qui est contre la terre. Quand tu encenses tes ennemis et fait chier tes alliés, c’est normal que la terre soit contre toi. Certain le compare à Hitler, ils ont raison, il applique la même stratégie. Je me pars en guerre contre la terre entière et après, il s’étonne que tous les pays se retournent contre lui.
Pour bien partir la discussion, quelque chiffres (arrondis)
Le Canada exporte pour 300$ milliards de biens vers les États-Unis
Le Canada importe pour 285$ millions des biens en provenance des États-Unis
Le Canada exporte des services pour 58 milliards vers les États-Unis
Le Canada importe des services pour 91 milliards en provenance des États-Unis
Donc, les États-Unis ont un surplus de 25 milliards avec la Canada. Nous sommes l’un des rares pays avec lequel les États-Unis ont un surplus.
Mais de quoi se plaint-Il ?
Il fait du Trump, il ne prend que le petit bout de phrase ou d’analyse qui fait son affaire, le reste, il n’en parle pas. Donc, pour le Canada, il ne regarde que les importations de biens et ne dit rien sur les services. D’ailleurs analyser plus loin que 1+1, c’est trop dure pour lui.
Merci
Vous exposez des chiffres, des faits. Trump n’a jamais voulu s’arrêter à de tels détails.
Tout ce qui l’intéresse c’est l’image. Avoir l’air tough, avoir l’air d’un gagnant (même si tu perds), et le répéter à tous pour leur faire croire. C’est tout. C’est idiot mais c’est tout lui. Et les idiots le croient.
@treblig
À quel rang se situerait le 585 milliards d’échanges dans un classement des échanges entre deux pays? La Russie et le Chine ont des échanges pour 100 milliards et veulent grimper ce montant à 200G pour 2024.
@spritzer dans le top 3.
@spritzer
Nous sommes le 2e partenaire commercial des États-Unis. .. derrière la Chine. Mais devant le Mexique au 3e rang
La Chine exporte pour 500 milliards ( approx) aux États-Unis et importe 200 milliards de ce pays. Donc la Chine a un important surplus
@treblig :
Je suppose que le mot millions (3ème phrase) doit se lire comme milliards.
Merci de rappeler ces faits chiffrés. On finit par les perdre de vue dans le tourbillon de propagande et de demi-vérités qui sortent de la Maison-Blanche. J’aimerais seulement qu’ils soient rappelés plus souvent au public américain, car le modus operandi de Trump, aussi détestable et faux soit-il, est efficace.
Effectivement, on doit lire milliards. Si c’était seulement des millions, Trump ferait une crise d’apoplexie
« Donald Trump semble incapable de comprendre que les consommateurs américains feront également les frais de ces tarifs. »
J’ai entendu dire que GM prévoit une hausse allant jusqu’à 5,700$ par véhicule et que de nombreux emplois seront perdus aux USA, si Trump mets sa menace à exécution. Qui va payer? Les américains, incluant les édentés qui ont voté pour lui.
Les connaissances économiques du Clown-In-Chief se limitent à l’application des lois sur la faillite…
Hi,hi,hi…les lois sur la faillites… j’en ai mal aux côtes…
Du blablabla… On attaque tout le monde en se disant que lorsqu’ils en auront assez ils viendront cogner à notre porte. C’est la technique Trump. On la connaît cette technique maintenant. Alors on peut faire comme lui soit attendre. D’ici là qu’on ne bouge pas plus qu’il ne le faut. Et puis si Trump ne vient pas cogner à notre porte on aura toujours d’autres portes à ouvrir sur la planète. Je sais que c’est difficile mais il y a des limites à subir les coups… L’important est de savoir riposter quand le moment sera venu. Qu’il aille se faire foutre tout simplement mais prenons garde de ne pas lui dire et dans ce sens je crois que les négociateurs canadiens le font très bien. L’orage va passer tout simplement.
Je souhaite juste que Trudeau ne flanche pas, c’est ce qui m’inquiète le plus en ce moment.
Il n’est pas un idiot. On peut lui reprocher bien des choses, mais il est le fils de son père, qui n’était pas parfait non plus, mais assez fin stratège.
Ça commence à faire une belle liste tous ces pays qui ont envoyé Trump très loin de leurs pensées: Chine, Europe, Iran, Canada… Plus de temps à perdre avec un pays qui ne cherche qu’à abuser des autres en se disant lui-même victime de toutes les agressions, ce qui est en général faux. C’est le cas notamment pour le Canada qui a un déficit commercial avec son voisin du sud… Si ça passe toujours aux USA c’est leur problème mais pour ceux qui vivent ailleurs il y a une limite et on y arrive comme on l’a vu récemment aux Nations Unis. Tout ne passe pas par les armes dans ce monde…
Il est tellement imbécile. Il vit dans sa bulle où tout tourne autour de lui. Je ne crois pas qu’il ait demandé une rencontre avec Justin Trudeau. Le Canada tient son bout, Monsieur est frustré et fait des menaces.
The Art of the Deal par le Roi de la Bullshit.
Les adultes de l’ONU se bidonnent à ses dépend. Je n’ai pas envie de rire quand je le vois pleurnicher sur ses malheurs.
Pour cause d’insomnie, je me suis amusé à parcourir des blogues de certains médias américains sur ce sujet.
Résultats? À peu près 90% des commentaires dénoncent l’attitude de Trump. La phrase qui revient souvent est:
Le Canada est maintenant notre ennemi alors que la Corée du Nord et la Russie sont devenus nos amis. Le monde à l’envers.
Et si le Canada avait des armes nucléaires… /sarcasme
‘«Nous sommes très mécontents des négociations et du style de négociation du Canada. …’
Qui ça ‘nous sommes’? En fait, il n’y en a qu’un et c’est Donald Trump lui-même.
Cet homme est bon dans certaines choses qui ne sont malheureusement pas des qualités. Encore une fois, une incroyable démonstration de ‘condescendance’. Imaginer, le Canada, le meilleur ami et plus fidèle allié des Etats-Unis et voilà comment on nous traite, comme un petit chien dont on serait mécontent.
En ce qui me concerne, M. Trudeau et Madame Freeland font du très bon travail dans ce dossier: pas d’accord est mieux qu’un mauvais. On a encore répété à Ottawa que ça prendrait le temps que ça prendrait pour un accord.
Pour un, je me demande à quoi on bien pu penser les mexicains d’aller se mettre à genou devant les Etats-Unis dans ce dossier du libre-échange. On aurait bien mieux fait de travailler de concert avec le Canada. De toute évidence, nous sommes mieux servi, du moins, jusqu’ici, par nos politiciens à Ottawa.
Le Mexique en ce moment n’a pas la force nécessaire pour resister a Trump, l’économie dépend entièrement des États-Unis. C’est pas comme le Canada qui apporte autant qu’il rend. J’espère que le Mexique va retenir cette leçon est développer d’autre Marché, d’autant plus que le Mexique est bien positionner pour développer le marché de l’Amérique du Sud qui est fort prometteur. Il serait a mon avis a long terme que le Canada développe le pole Canada-Mexique-Amérique du Sud et le Pole Canada-Pacifique afin d’affaiblir l’impact des États-Unis sur l’économie Canadienne. Mais c’est plus facile a dire qu’a faire car ce n’est pas le Gouvernement qui décide de l’économie mais bien les entreprises qui vont généralement vers la facilité. C’est plus facile de faire affaires avec son voisin qui partage la même culture que de faire affaires avec des Pays avec des référents culturel en affaires différent (ex: Asie)
@apocalypse Il faut comprendre le contexte actuel du Mexique. Pena était pressé d’en venir à une entente avec les USA parce qu’il a perdu les élections. Si l’entente n’est pas signé et que c’est Obrador qui signe à des conditions avantageuses pour le Mexique il assure presque la ré-élection de son parti. Pena laisse un tas de m à Obrador. N’oubliez que ce dernier c’est la gauche
@treblig – 6h57
‘Mais de quoi se plaint-Il ?’
Donald Trump veut une victoire totale sur le Canada afin de retourner et dire à ses partisans qu’il nous a remis à notre place et qu’on ne profite pas des Etats-Unis sous la gouverne de Dieu lui-même. Vous savez quoi? Ces partisans vont le croire.
Ne pas oublier que chez bien des gens à droite, la pensée indépendante est un crime punissable par la peine de mort et donc, on nous dit quelque chose, on ne se pose aucune question, et on croit que c’est la vérité absolue.
Autre trait de caractère important et propre à
bien des gens de la droite orange : ils estiment que la richesse leur revient de droit. Tout le programme et la pensée (désolé, je sais que ce mot est grossier quand on parle de Trump.) politique de Trump peut tenir dans son porte-feuille. Son « Mein Kampf » est en cuir, Vuitton sûrement.
Les menaces en représaille de Trump reviennent encore et encore et devinez sur quoi ? L’industrie automobile.
« Move could cost up to 2 million car sales and 750,000 jobs. La suite de l’article c’est une traduction…
Certaines des voix les plus fortes provenaient de l’industrie automobile américaine – les entreprises et les travailleurs que les taxes tentent apparemment de protéger.
« De larges restrictions telles que des tarifs sur les automobiles et les pièces automobiles augmenteront les coûts pour nos clients et leurs familles », a déclaré Stuart Countess, président de la branche américaine du constructeur automobile coréen Kia.
« C’est pourquoi nous faisons écho au plaidoyer, ne taxez pas ma course », a-t-il déclaré, à des acclamations bruyantes de la part des observateurs.
Les représentants des constructeurs automobiles américains se sont unis de façon inhabituelle cette semaine, se présentant à Washington, DC, pour exprimer leur opposition aux importations de voitures. (Sylvia Thomson / CBC)
Il n’est pas le seul dans l’industrie à penser en ce sens.
« Je suis mystifié par l’argument selon lequel les voitures importées et les pièces automobiles importées constituent une menace pour la sécurité nationale », a déclaré John Bozzella, président et PDG de l’Association des constructeurs automobiles mondiaux. « En fait, c’est juste le contraire. »
Loin de constituer une menace pour l’économie américaine, M. Bozzella a déclaré que la chaîne d’approvisionnement diversifiée à l’échelle mondiale dans le secteur de l’automobile était une aubaine pour les constructeurs automobiles américains et les consommateurs.
L’industrie de l’automobile demande une «assistance commerciale» si des tarifs sont imposés
« Il n’y a pas eu une seule société à ma connaissance qui ait demandé une protection sous forme de tarifs », a-t-il déclaré. « Je suis dans ce secteur depuis plus de 20 ans et je n’ai jamais vu cette unité dans ce but combiné de repousser ces tarifs. »
C’est parce que les entreprises et les consommateurs américains supporteront le fardeau de la peine si les tarifs se concrétisent. Le groupe de réflexion non partisan, le Center for Automotive Research (CAR), a publié cette semaine un rapport décrivant ses prévisions pour ce que les tarifs feraient, et les chiffres brossent un tableau sombre.
Si l’administration tient sa menace, elle réduira la demande de voitures américaines de deux millions de véhicules par an. Plus de 750 000 emplois seraient perdus et les consommateurs peuvent s’attendre à payer en moyenne 4 400 dollars de plus pour une nouvelle voiture, quel que soit l’endroit où les véhicules sont construits.
https://www.cbc.ca/news/business/tariffs-canada-automotive-1.4754675
C’est ce que l’industrie automobile dit depuis le début des guerres tarifaires de Trumpdou. Ils commencent à grogner fort. Maintenant regardons l’illogisme du SuperDealer lorsqu’il s’adresse à sa base, parce qu’il ne fait que ça 24/24, 7/7: :
«Si le Canada ne veut pas faire d’entente avec nous, nous ferons une bien meilleure entente, a-t-il dit. » Seul un imbécile peut dire qu’il fera une entente avec quelqu’un qui ne veut pas faire d’entente et seuls des imbéciles boiront ses paroles
«Nous imposerons des tarifs sur leurs importations de voitures. Nous injecterons des milliards et des milliards dans nos coffres, et nous en serons très heureux, car c’est en fait beaucoup plus d’argent que nous pourrions faire en toute circonstance en concluant une entente.» Mais qu’est-ce que tu attends, des milliards dans tes coffres, Do it. Tu en ferais plus qu’avec une entente : ça veut dire que l’entente que tu ferais , serait une mauvaise entente?
Y’a rien à faire avec un débile pareil. Que Mme Freeland garde sa ligne. Zouf Major a besoin d’une entente et, comme plusieurs l’ont mentionné, la grogne de l’intérieur s’amplifie et elle est le meilleur allié du Canada, Pourquoi? Parce que l’ALENA est une bonne entente, à mettre à jour soit, mais tout de même une très bonne entente pour les 3 pays.. Ça inclut donc les USA et les gens d’affaires états-uniens le savent. 37 états impliqués = 75% des états. Laissons se putréfier l’Ignorant dans la swamp de ses mensonges.
La stratégie de Donald Trump consiste entre autres à créer une division classique au Canada entre les régions productrices de ressources semi-transformées et la région manufacturière automobile (re: Ontario). L’élection du conservateur Doug Ford chez nos voisins ontariens ouvre la porte à l’éventuelle efficacité de cette stratégie et prépare le terrain pour l’élection fédérale de 2019.
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Soyons franc
Pour Trump rien ne va plus avec personne.
Vivement les mid terms pour retirer le dentier de ce caniche fou
J’ai bien peur qu’après les élections québécoises Trudeau jette du lest dans la gestion de l’offre et sacrifie les fermiers québécois comme il l’a fait avec le fromage pour négocier l’entente avec l’Union européenne.
C’est écrit dans le ciel qu’il voudra avant tout protéger l’industrie automobile de la province qui élit le gouvernement fédéral , l’Ontario.
Espérons que ça servira de leçon à ces pauvres Québécois qui s’imaginent qu’on est mieux servi en laissant les autres s’occuper de nos affaires.
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Trump qui affirme ne pas beaucoup aimer les négociateurs canadiens ….
ha ha ha , ca tombe bien. Nous non plus on ne t’aime pas bn ben …
Regardez comme il le faut et personne ne veut transiger avec le gros et gross bully. C’ est pas comme ca que tu fais des affaires. Et la, comble de l’injure a sa supériorité phallique, une femme OSE prétendre avoir le droit de négocier d’égal a égal avec lui. Qu’ on le laisse fouerrer lui et ses entrepreneurs et qu’ on assume le cout transitoire c’ est tout. Moi je fermerais les livres et rentrerait au pays . Laissons passer quelques semaines et attendons les mid-terms pour les voir revenir a la table a nos conditions.
Je crois que le moment serait tres bien choisi pour que tous ceux qui veulent envoyer un message clair au gros imbécile de se regrouper sous une appellation renouvelée des nations unies. Je suis de ceux qui croient que ce country club doit jouer son role de rassembleur et de ne pas tenir compte des réfractaires de tout acabit a toute initiative.
Ca va faire l’intimidation du gros épais merde !
Je salue le sang-froid exemplaire de nos représentants, un flegme tout en contrôle et une politesse toute canadienne, même s’il s’agit d’un vieux cliché pour cette dernière. Absolument d’accord que pas d’accord est préférable à un aveu de faiblesse, où un mauvais « deal » aurait des impacts négatifs à long terme. Chose certaine, les gens en place se débrouillle plutôt bien, ce qui ne serait absolument pas le cas si les « grands champions » du Western PCC, Scheer en tête, devaient être aux commandes. Bébé Harper serait déjà en train de saper notre économie et de vendre notre souveraineté pour un plat de lentilles de l’Idaho, con comme qu’il est…
C’est certainment pas les commentaires insignifiants d’un TdC TDAH narcissique qui vont nous énerver, let`s keep calm and carry on!
Selon Trump ce qui bloque un accord avec le Canada c’est un petit mot de quatre lettres L A I T
Mais nous savons tous que ce n’est que de l’esbroufe. Ce que veut Trump c’est d’avoir raison et de pouvoir dire à ses électeurs. » vous voyez j’ai fait plier le Canada » Ça c’est son seul objectif, mettre les autres pays à genoux devant lui.
Ses conseillers lui ont dit que le Canada imposait un tarif de 300% sur les produits laitiers. Il s’est emparé de cette phrase parce qu’elle est facile à comprendre et il ne cesse de la répéter ad nauseam pour justifier son attitude toquée.
Il ne s’est pas donné la peine d’étudier toutes les subtilités et la complexité de l’entente, ça ne l’intéresse pas.
Je suis tout à fait d’accord avec la position ferme de Justin Trudeau.
Notre meilleur allié c’est le temps alors prenons notre temps, tenons tête au grand insignifiant et laissons-le mijoter dans sa colère.
@ eau-vive :
« Il s’est emparé de cette phrase parce qu’elle est facile à comprendre »
Exactement. Ne cherchons pas plus loin.
« Il s’est emparé de cette phrase parce qu’elle est facile à comprendre »
Ce qui lui met hors de portée presque toute la langue anglaise.
« Donald Trump semble incapable de comprendre que les consommateurs américains feront également les frais de ces tarifs. » Pas si certain et il n’est pas le seul mercantiliste ou néo-mercantiliste dès que vous attachez une importance plus grande au surplus commercial ou au déficit commercial avec un autre pays plutôt qu’à la croissance du commerce entre les deux partenaires.
Plus fort encore pour influencer tous les politiciens. L’achat de votes avec des mesures à bénéfices concentrés et coûts diffus sur le marché politique. Eh bien tiens donc un tarif douanier tout comme la gestion de l’offre avant considération de d’autres facteurs correspondent exactement à cela. Les consommateurs sont ceux qui font les frais des coûts diffus, les agriculteurs sont ceux recevant les bénéfices concentrés. Un parti politique ne remporte pas les élections avec le meilleur programme pour le bien commun, il gagne simplement en formant des coalitions d’intérêts minoritaires permettant d’aller chercher le plus de grands électeurs ou ici de comtés/députés. Est-ce vraiment rentable économiquement et socialement ? Un acheteur de votes regarde cela en dernier ou ne fait que semblant.
Mais cette lecture de l’économie axée sur l’homo oeconomicus et la souveraineté du consommateur est partielle.Il faut aussi débattre de valeur , de redistribution,d’environnement bref d’équité,de justice. Cela est important mais n’est pas du domaine des économistes. C’est comme pour la pollution, c’est au gouvernement à déterminer le niveau des émissions de GES, si on fait surtout de la réglementation vous avez là une mesure qui nuit à l’efficacité à l’allocation optimale des ressources pour ne pas être sur la courbe des possibilités de production. Une bourse du carbone bien faite ? Le gouvernement décide du maximum d’émissions de GES possible, ensuite le marché décide qui peut polluer et si on atteint ce maximum.
Le gouvernement s’occupe des choses qui ne sont pas de son domaine mais pense à l’achat de votes. Qu’est-ce qui est du domaine du gouvernement? Les biens publics incluant ceux semi-publics où on doit tenir compte du caractère privé aussi ( sécurité nationale, culture générale, éducation, environnement, justice publique aussi ) , les externalités positives ou négatives et la question de la redistribution. Cela fait énormément de choses à débattre et décider.
Un capitaliste déteste les politiciens qui mettent des bois dans les roues au commerce , aux entrepreneurs. Capitaliste de pacotille Trump et aussi comme politicien ou peu subtil. Mais il s’est servi du marché politique avec son papa pour obtenir des abattements fiscaux exceptionnels. Alors point de vue entrepreneurial ? EST. DE TRICHEUR DE GROS BS DE LUXE. « Moé j’ai réussi sans subventions. C’était moé le meilleur et j’ai pas eu besoin de tricher pour gagner.»
Pour un l’ex-économiste que je suis, je prône toujours l’évaluation du coût économique de remplacement ou de restauration d’une ressource utilisée (dans la production et transformation d’un produit ou d’un service). Si la pollution n’est pas tenue en compte historiquement c’est que son propriétaire individuel ou collectif, particulier, privé ou public, ne l’a pas exigé de son utilisateur capitaliste ou autre. La négligence est ailleurs, les sables bitumineux en est un exemple très probant et actuel car cette pollution énorme et destructive d’un écosystème peu remplaçable qui est supportée directement ou implicitement par les gouvernements provinciaux, fédérale, les pétrolières et la population locale.
Ce qui est très dommage à notre planète c’est une économie de consommation basé sur l’accomplissement matériel individuel.
Gardons ça simple.
Quand un imbécile fait des promesses imbéciles à son troupeau d’imbéciles, il se doit de réussir en sortant toutes les imbécilités dont il est capable pour faire croire à ses suiveux imbéciles qu’il a raison.
Sinon, c’est lui qui passe pour un imbécile.
Quant à moi, il ne passe pas pour, mais dépasse l’imbécilité.
L’attitude absurde de l’Andouille a détruit la possibilité d’un accord entre les deux pays. Hier, à l’assemblee générale de l’ONU notre premier ministre Trudeau était prêt de lui céder en échange d’une apparence de respect mutuel, mais le connard d’Andouille avait tellement besoin d’une « victoire ». Cette victoire par KO, il ne l’a jamais obtenue nulle part .
https://fr.wiktionary.org/wiki/rien_ne_va_plus Pas en termes de casino. Trump est-il un joueur, un gambler, oui ou non ? Relire Jack O’donnell même si notre perception n’est pas 100% la même.
Une trade à la fois, un jeu à somme nulle. Allez imaginons-le assis devant la machine à sous. Comme POTUS sur son smartphone et devant sa télé. Chaque tweet est un gamble nouveau.
Et il espère gagner. La machine est dû pour payer. Peut-être moins pire que cela et surtout plus dangereux pour des millions de personne mais il est aveuglé par le gain à court terme et vouloir gagner le jackpot.
Un démon parent incluant narcissisme, mégalomanie, conflits internes, refoulement, déni, projection. Oui l’ego hypertrophié mais l’ego, le moi c’est le personnage social et qui dans son cas n’est pas acceptable mais il a encore des fans. Ce n’est pas vous, il a beau dire suivre ses instincts, il le fait tout croche, juste les mauvaises pulsions qui sortent et en niant par la suite. Le ça doit être écouté, l’inconscient mais dans la pleine conscience de soi. Donc on tient compte de toutes nos dimensions conscientes et inconscientes et sans jamais oublier que nous faisons tous partie du Tout. En s’attaquant à ses adversaires constamment, il ne peut-être que dans l’auto-destruction. Les gains qu’il croit faire sont illusoires ou très temporaires.
https://nationalpost.com/sports/the-sad-saga-of-d-j-trump-how-donald-trump-set-in-motion-a-series-of-events-that-maimed-a-prized-racehorse
M Trudeau va faire des concessions après les élections québécoises.
…«Si le Canada ne veut pas faire d’entente avec nous, nous ferons une bien meilleure entente, a-t-il dit. Nous imposerons des tarifs sur leurs importations de voitures. Nous injecterons des milliards et des milliards dans nos coffres, et nous en serons très heureux, car c’est en fait beaucoup plus d’argent que nous pourrions faire en toute circonstance en concluant une entente.»…
…car c’est en fait beaucoup plus d’argent que nous pourrions faire en toute circonstance en concluant une entente…
Pourquoi alors négocier une entente si pas d’entente c’est mieux????
Réponse : Parce que Trump est épais et ne réalise pas la contradiction dans ce qu’il a dit.
Et, en plus, le gros orangé stable qui, selon les reporters, a donné, hier, une conférence de presse échevelée veut nous faire croire que les représentants des pays membres des Nations Unies ont ri avec lui plutôt que de lui.
Imbécile, il a dit, lui-même, lorsque les gens ont ri qu’il ne s’attendait pas à cela.
Aussi, le voilà parti en guerre contre la Chine. Il aura là un adversaire de taille qui ne s’en laissera pas imposer.
À suivre.
« M Trudeau va faire des concessions après les élections québécoises » – kyrahplatane
Vous croyez ? Lisez mon post à 7h49 – Compte tenu des menaces « apeurantes » de Trump.
Mon message à Donald : change de disque, mon Bonhomme 7 heurs. A la place de l’industrie automobile, choisis n’importe quoi d’autres. Ta Base n’y verrait que du feu… L’industrie des nouilles aux Œufs ?
Message à Justin : On surveille les gestes posés par les négociateurs fédéraux. Trump n’a vraiment pas de pouvoir de négociation et nous autres, on le sait… La gestion de l’offre, on ne l’offre pas aux premiers venus. On verra tout ça après les élections provinciales ?
Petite remarque pour ceux et celles qui pensent que M. Trudeau va faire des concessions après les élections Québécoises: l’an prochain (2019), il y a des élections fédérales et si M. Trudeau veut rester au pouvoir, il a et aura besoin du Québec.
Si les libéraux font une ‘vacherie’ (LOL) au Québec dans ces renégociations de l’Aléna, on va s’en rappeler au moment de voter au printemps ou à l’automne 2019.
@ Apocalypse
Je pense comme vous mais reste à voir si le calcul politique serait différent avec des droits de douanes de 25% sur l’industrie automobile qui est concentrée à 100% ou presque en Ontario. Ontario qui reste la province avec le plus de députés.
Apocalypse – En plein sur la cible. J’ai déjà dit qu’avec le dossier de l’ALENA, il jouait sa tête. Je ne suis vraiment pas devin et je me trompe régulièrement sur ce blogue. Par contre, la réalité d’un politicien = SES élections.
Faure de temps, je résume ma pensée : le majeur en l’air.
Toile 👍👌- Ce à quoi je lève ma tasse de café et… mon majeur itou.
@Gilbert Duquette – 09h05
Le 25% sur l’industrie automobile, je n’y crois pas, bien entendu, avec Donald Trump, ce n’est pas impossible. Il reste que ce 25% nous ferait mal, mais très mal aux américains et ce ‘mal’ pourrait se produire rapidement, pas dans deux ou trois ans.
Il y a beaucoup de pressions de l’industrie automobile (US) contre un tel tarif sur cette industrie. Je pense donc que le président fait du ‘posturing’ afin de nous impressionner et qu’on capitule. Le Canada a intérêt à ne pas se presser dans ces négociations, le temps joue en notre faveur.
@ Apocalypse
Encore une fois, je suis d’accord avec vous surtout pour cette phrase : …bien entendu, avec Donald Trump, ce n’est pas impossible…
Et c’est vrai que le temps joue en notre faveur.
Le Gros Salopard joue au « bully de fond de cour d’école avec son meilleur allié, son voisin et son principal partenaire commercial le Canada.
Pendant ce temps, il se conduit comme une lavette devant Putin au point où plusieurs élus républicains, notamment le regretté sénateur McCain, ont parlé de « trahison » après sa pitoyable performance lors de la Conférence d’Helsinki.
Je ne parle même pas non plus de la façon dont Kim Jung Un l’a roulé dans la farine lors de la rencontre de Singapour. Le dictateur nord-coréen a tellement aimé sa performance qu’il a ouvert la porte à une seconde rencontre avec le Gros Idiot juste pour le plaisir de recommencer. Devinez quoi? Le Gros taré n’a pas été assez brillant pour voir le piège et il sauté dedans à pieds joints.
Le Gros Connard est tellement idiot qu’il ne semble même pas se rendre compte que les délégués de l’Assemblée générale de l’ONU se sont payés sa tête. J’imagine que plusieurs délégations notamment celle de l’Allemagne ont dû se rouler par terre en regardant sa conférence de presse complètement délirante d’hier. Du pure vaudeville. Imaginez ce que les scripteurs de SNL vont pouvoir faire avec du matériel semblable.
Potus 45 n’aime pas nos négociateurs parce qu’ils lui tiennent tête et sont capables de reconnaître un « Bullshitter » lorsqu’il en voit un. Le Canada ne doit pas céder un seul pouce à ce Gros larbin et à ses menaces de chantage. S’il estime que ce serait plus profitable pour les USA de ne pas avoir d’entente avec nous, qu’il le fasse. Il ne le fera pas car les conséquences économiques seraient désastreuses pour les consommateurs américains, notamment s’il cible l’industrie automobile.
Trudeau et notre équipe de négociateurs jouent la bonne carte: La patience. Jusqu’à présent, ils ne sont pas tombés dans les gros pièges que lui ont tendu le Gros Enfoiré. Ils doivent maintenir cette attitude même après le 1er octobre prochain.
Le gros bébé joufflu n’est pas content parce qu’il n,a pas eu son bonbon? Ils peuvent bien avoir rit de lui. Quelle disgrâce que cette racaille ignorante et illettrée.
Bravo à Trudeau et Freeland pour être au service des intérêts du canada et des canadians. La grosse lavette n’aime pas qu’on lui tienne tête et qu’on contredise son insignifiance.
Trump n’aime pas nos négociateurs canadiens. La vérité derrière cet énoncé: ‘c’est une femme!’ En plus elle est intelligente, elle a du pouvoir, elle a la tête froide et n’essaie pas de faire l’aguicheuse. Ce que Trump déteste le plus au monde. Une femme forte.
Nouvelles sur Marketwatch ce matin: le déficit commercial des USA s’est encore creusé car les importations ont encore augmenté mais les exportations des États-Unis (surtout vers la Chine) diminuent. Ça prouve le génie de Navarro (un raté de première classe).
En plus les premières demandes de chômage ont augmenté de 12,000. Ça fonctionne vraiment bien, son affaire.
Il y a certainement un lien entre le fait que Trump s’intéresse davantage aux relations personnelles avec les dirigeants étrangers, que Trump écoute FOX et répète les accusations de l’alt-right, que Trudeau (et Merkel pour avoir aussi ouvert la porte aux migrants) sont des bête noir de la droite et surtout l’alt-right.
Comem à son habitude, Trump saute à pied joint dans les complots. Imaginez la quantité de fausse information sur ces deux que Trump prend au sérieux.
Je crois que les « bad meme » sur les dirigeants « socialiste » étrangers ont beaucoup plus à voir avec la manière dont Trump les traite qu’une politique orchestré et préparé d’avance par Trump. Trump est tellement soupe au lait, et a tellement peu d’attention et de concentration, qu’on peut facilement imaginer que cette froideurs avec les alliés traditionnel est issu de la haine entretenu par l’alt-right et les émules de Steve Bannon.
Je souhaite sincèrement que M.Trudeau et Mme Freeland se tiennent bien droit et ne plient d’aucunes façon devant ce bully. Pour le moron, une négociation égale une extorsion. Il crie au sujet du lait. Ce qu’il veut dans le fond c’est le beurre, l’argent du beurre, la fabrique de beurre et la ferme laitière.
Une chose que je ne veux pas voir avant la signature d’une ALENA renouvelée et profitable à tous, c’est une poignée de main Trudeau-Trump comme le fait trop souvent Macron. Ça ressemble à du guidonnage qui n’aide pas l’Europe et ça fait le jeu des ententes bilatérales à la Trump. No way. Cette façon de penser de Trump vise simplement à faire des USA le centre vers où converge toutes les économies du globe. Pas difficile à comprendre.
Le monde a changé. Les problèmes sont devenus planétaires, qu’on le veuille ou non. C’est vrai pour l’économie et encore plus vrai, primordiale même, pour le partage de la richesse à travers la planète et la résolution des problèmes environnementaux. Trump est inutile dans ces débats, pire il en est l’ennemi avec d’autres de ses grands copains. Pour s’attaquer à ces problèmes d’envergure planétaire, le renouvellement de l’ONU devient urgent. Je suis pessimiste à cet égard, car l’Homme présentement discute d’affaires à courte vue pour le bénéfice du 1% de gens riches, très riches, trop riches, pas seulement aux USA.
Si nous recommandons aux États-Uniens de revenir à leurs valeurs républicaines de démocratie (je parle des valeurs qui ont créé les États-Unis, république au sens de la Révolution française), nous aussi devons nous assurer que nous conservons ces valeurs. La France doit faire de même, l’Allemagne, etc. Le mouvement de droite que l’on perçoit partout sur la planète doit être recentré pour qu’un avenir habitable se réalise.
Pas facile de parler, discuter, négocier avec un bambin qui n’a pas encore atteint l’âge de raison, surtout quand ce gamin a les clés de l’auto, la combinaison du coffre-fort, plein de jouets nucléaires et une constitution qui prétend valider ses caprices.
M.Trudeau joue dans un sport qu’il connaît bien, mais où les règles sont devenues floues parce que tout-à-coup dictées et arbitrées par un joueur capricieux et prêt à tricher.
Vraiment pas facile.
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L’obsession du LAIT chez Trump démontre toute son
incompréhension et son incompétence en commerce international.
le marché du lait canadien est minuscule et insignifiant pour les USA.
Le problème réel c est que les usa subventionnent des surplus dans
la production laitiere et ils ne savent plus quoi en faire alors pourquoi
ne pas dumper ca au Canada quitte a ruiner leur système laitier
La gestion de l’offre sert justement à se prémunir d’un compétiteur
malhonnete qui offre un sous produit de moindre qualité et qui affiche
des surplus de productions par son unique faute.
Cher donald le crétin,
Va te faire foutre…
Et si tu n’es pas content, on te coupe l’électricité…
Ton voisin du nord.
Faudrait pas que Trump se mette dans la tête d’exiger notre eau…
@Spitzer 11h13
Bonne observation. En vertu de l’ALENA toute entreprise américaine qui veut exploiter notre eau y a déjà droit si elle respecte les modalités de l’accord. W.Bush en avait déjà fait mention d’ailleurs.
Avec les graves sécheresses qui font déjà rage dans certains états américains et qui avec le réchauffement climatique ne feront que s’aggraver c’est un enjeu majeur.
Évidemment si Trump refuse de signer un nouvel accord on redevient entièrement propriétaire de notre or bleu !
@ Spritser
En vertu de l’Aléna, l’Eau ne jouie présentement d’aucune protection.
En raison de cette lacune, l’eau pourra indifféremment être considérée comme un service ou comme un bien commercial, avec le résultat que d’éventuels transferts massifs d’eau provenant de rivières ou de bassins hydrologiques éloignés des concentrations urbaines du Canada vers les États-Unis d’Amérique pourraient être considérés comme de purs et simples échanges commerciaux.
Source : http://www.ieim.uqam.ca/IMG/pdf/DOSSIER_La-gestion-de-l_eau-ALENA.pdf
Ce qu’il faudrait c’est que l’eau soit considérée comme une ressource patrimoniale pour la protéger de détournement massif vers les USA. Surtout qu’il y a plein de projets en ce sens.
Pourquoi le Canada ne retire pas ses négociateur et qu’il cesse cette mascarade.