Harry Truman en est-il vraiment l’auteur ? Peu importe, la blague tombe pile en cette troisième et dernière campagne de financement de ce blogue en 2023, dont le thème est l’humour politique. Elle semble s’adresser à tous les Kevin McCarthy de Washington, qui sont un jour trahis par des membres de leur propre camp. « Tu veux un ami à Washington, achète un chien ! »
Mais le successeur de Franklin Roosevelt a-t-il vraiment prononcé ces paroles, qui lui ont été prêtées par quantité de journalistes et de politiciens ? Le site PolitiFact a répondu à cette question par la négative en mars 2016 en corrigeant un des candidats républicains à la présidence, John Kasich, qui avait attribué à son tour la blague au 33e président.
Selon PolitiFact, l’erreur a pris racine après la présentation en 1975 de Give’em Hell, Harry !, la pièce de théâtre de Samuel Gallu, dans laquelle le personnage de Truman dit précisément : « Tu veux un ami dans la vie, achète un chien ! »
Harry Truman, soit dit en passant, n’aimait pas les chiens. Mais il a bel et bien dit : « The buck stops here. »
Ce qui nous amène à faire le point sur notre campagne de financement. Le thermomètre ci-contre indique où nous en sommes, à l’amorce de la troisième journée. Il faudra donc maintenir le rythme pour atteindre l’objectif vendredi soir, ce qui représente toujours un défi. Merci donc à tous ceux et celles qui ont déjà témoigné leur soutien à ce site en contribuant à son maintien, et un appel particulier à tous ceux et celles qui ne l’ont pas déjà fait.
P.S. : La photo qui coiffe ce billet provient de la Bibliothèque présidentielle de Harry Truman et immortalise le moment où le vainqueur de l’élection de 1948 brandit la une erronée du Chicago Daily Tribune annonçant la victoire du candidat républicain Thomas Dewey.
Contribution faite ! Toujours unplaisir de vous suivre M. Hétu et les commentaires sont souvent très intéressant!
Merci
Merci à vous et à tous les autres auxquels je ne réponds pas toujours!
J’ai fais ma modeste contribution et merci pour votre bon travail M. Hétu.
Merci pour ce blogue.
Dans la même veine que le billet et criante d’actualité, voici une citation, qui date, d’un vieux commentateur des médias, Paul Harvey.
Malheureusement, elle se traduit très mal, voici donc la version originale: « If pro is the opposite of con, what is the opposite of progress?
Je suis hors sujet mais voici: ´´Un exemple frappant hier lors des résultats du vote pour le président de la chambre des représentants ´. Et je m’explique: Un petit groupe d’extrémistes, bandits, profiteurs qui représente possiblement un maximum de 5-7% du parti, peut amener avec lui des gens bien intentionnés mais suiveux. Et c’est pour ça que la démocratie est tellement fragile. Et félicitations monsieur Hétu.
C’est toujours un plaisir de contribuer à ce blogue.
M. Hétu a toujours le don de nous dénicher une histoire qu’on ne retrouve pas dans les grands médias nationaux.
En outre, ses billets sont écrit dans un langage clair, concis qui résume bien l’essentiel.
Merci pour tout et longue vie à ce blogue.
Contribution faite depuis Lundi dernier.
Pour ce qui est de la citation, ce ne sera pas la première ni la dernière fois que l’on attribue, par erreur, une citation à la mauvaise personne.
« M. Hétu a toujours le don de nous dénicher une histoire qu’on ne retrouve pas dans les grands médias nationaux. »
Ça s’appelle la passion. Il nous communique bien la passion qu’il a pour ce pays.
Ciao
“Dans parlement, il y a parle et ment.” De Léo Campion
“L’alcool est un produit très nécessaire… Il permet au Parlement de prendre à onze heures du soir des décisions qu’aucun homme sensé ne prendrait à onze heures du matin.” De George Bernard Shaw
Cette citation de Truman est peut-être apocryphe. Mais, parlant animaux, Winston Churchill a pour sa part dit ceci : « Les chiens vous regardent tous avec vénération. Les chats vous toisent tous avec dédain. Il n’y a que les cochons qui vous considèrent comme leurs égaux ».
Il avait de l’humour, Sir Winston, mais il pouvait être fort cynique …
Contribution faite. Longue vie au blogue.
Contribution faite malgré que je sois de plus en plus impatient et fatigué devant l’amoncellement de mauvaises nouvelles trop souvent reliées à la folie humaine. Je prends de plus en plus de ce que j’appelle «breaks pour conservation de santé mentale».
Et maintenant, mon humoriste du jour, Mathieu Bock-Côté dont je sais pertinemment qu’il irrite considérablement certaines personnes, surtout les Wokes en tout genre.
Commentant les ratiocinations de Gabriel Nadeau-Dubois dans le dossier de l’utilisation de Facebook par Québec Solidaire dans la campagne électorale dans Jean-Talon brisant ainsi le boycott de l’ensemble de la communauté journalistique à l’endroit du machin de Zuckerberg, (auquel je n’ai jamais souscrit) MBC y est allé d’un sympathique «one-liner» stigmatisant les donneurs de leçons, les faiseurs de morale, ardents défenseurs de la pureté idéologique dont QS est presque un morceau d’anthologie.
«Nadeau-Dubois me fait penser au curé qui justifie son passage au bordel.» Fort peu de nos humoristes «officiels» ont, à ce jour, réussi me faire éclater d’un rire aussi sonore que spontané et prolongé. Monsieur le Curé au bordel. Cela ne s’invente pas.
Merci!!!
Contribution faite, m’ssieur Hétu!
Merci à vous et aux nombreux participants du blogue. C’est un plaisir de vous lire tous, passage obligé mais bien agréable et ce, sur une base quotidienne…
Merci !