Une loi du Texas interdisant les spectacles où des drag queens dansent de façon suggestive ou portent certaines prothèses devant des enfants a été jugée inconstitutionnelle par un juge fédéral. Ce dernier a conclu que la mesure « enfreint de manière inadmissible le premier amendement et entrave la liberté d’expression ».
« La Cour ne voit pas comment lire les dispositions de la loi SB 12 sans conclure qu’un grand nombre de comportements protégés par la Constitution peuvent être et seront englobés dans l’application de SB 12 », peut-on lire dans la décision du juge David Hittner, nommé par le président républicain Ronald Reagan. « Il n’est pas déraisonnable de lire le SB 12 et de conclure que des activités telles que le cheerleading, la danse, le théâtre et d’autres événements publics courants pourraient éventuellement devenir une violation civile ou criminelle. »
De confier au Texas Tribune Brigitte Bandit, drag queen texane : « Je suis soulagée et reconnaissante de la décision de la Cour. Mon gagne-pain et ma communauté ont subi suffisamment de haine et de préjudices de la part de nos élus. Cette décision nous rappelle que les homosexuels texans ont leur place et que nous méritons d’être entendus par nos législateurs. »
Le procureur général du Texas Ken Paxton, acquitté récemment par le Sénat de l’État après avoir été mis en accusation pour corruption par la Chambre des représentants, a annoncé qu’il portera la décision du juge Hittner en appel.
(Photo Getty Images)
Paxton mériterait un bon coup de talon haut dans la grotte!
Paxton mériterait un.bon coup de talon haut dans la glotte!
Oups… excusez mon doublon…
Pas de problème… elle est bonne, on peut la relire !
Talons aiguilles pas hasard ?
Je suggère plus bas que la glotte, dans la pl…, où la drague est reine.
Paxton peut bien porter la décision en appel, ses chances sont minces. Je paris que même Thomas va voter du bon bord.
Quand on est rendu à légiférer comment les gens peuvent s’habiller, se maquiller ou danser, on tombe directement dans des droits protégés par la liberté d’expression. Tant qu’il n’y a pas de nudité, ou des propos déplacés, ils ont le droit!
(Personnellement, je bannirais d’abord les pantalons portés trop bas! Quand le fond de culotte est au niveau des genoux, t’sé veut dire…)
Je bannirais aussi les danses de DT durant ses rallyes. C’est vraiment indécent.
Même quand il ne danse pas, il est indécent. Quand il ne fait rien aussi.
Ça se peut des danses suggestives devant des enfants? J’ai toujours pensé que les spectacles de Drag Queens s’ adressaient aux adultes. Une élucubration de reps frustrés et rétrogrades peut-être?
Tant qu’ à Paxton l’ ignoble corrompu ,il ne faut pas s’ attendre à une autre décision de sa part, après tout il doit plaire à la crapule et sa vase de dégénérés.
Il y a toujours la question à savoir si les enfants pensent à quelque chose de sexuel quand il voient ces dances « suggestives ». À mon avis, non. Parce que leur cerveau n’a pas encore développé la partie qui comprendrait ces actes. Un peu comme ces dessins animés qui comprennent des blagues qui passent au-dessus de la tête des enfants, pour cibler plutôt les parents qui lest écoutent avec eux. Ce n’est que quand l’enfant devient assez vieux qu’il comprend ces blagues.
Alors, tant qu’il n’y a pas nudité… Mais bon. Je ne suis pas un parent, alors qu’est-ce que j’en sais?
Pourquoi les Drags Queens veulent elles se « produire » devant des enfants, ou leur faire la lecture dans les écoles ? Quel est l’intérêt ?
Et c’est quoi exactement le problème si une drag queen fait la lecture à des enfants dans une école? Je suis curieux.
Éduquer sur la différence peut-être?
C’est comme si cet État n’avait pas déjà de loi pour sanctionner la grossière indécence.
Mais les gais faut les cibler en particulier, tout le monde le sait. 😐
👍👍👍
On sait que du temps du théâtre Shakespearien au 16e siècle en Angleterre, les femmes n’avaient pas le droit d’exercer le métier d’actrice.
Alors pour les rôles féminins à l’époque, on prenait un jeune et mince acteur à la voix haut perché que l’on maquillait à outrance, que l’on habillait dune robe et auquel on ajoutait des attributs supplémentaires propres au genre féminins. Un drag queen avant la lettre.
Le rapport est mince avec le sujet et profondément démodé mais j’aime bien ce clin d’œil
On pourrait aussi parler des castrato…. Autre époque.
Autre livre à brûler : le conte (une nouvelle, plutôt) « Sarrasine » de Balzac.
On ne peut que constater à quel point les diverses législatures ripoux-libanes adoptent des lois vraiment importantes, destinées à régler de graves problèmes et améliorer le sort de leurs concitoyens…
Paxton devrait s’occuper des tueries dans les écoles, des policiers qui n’interviennent pas et des religieux qui abusent des enfants. Les Drag Queen n’ont jamais tué ou abusé d’enfants.
Paxton va aller en appel? Rien ne devrait nous surprendre de la part d’un enfoiré de TDC.
La décision du juge Hittner vient rappeler a cette crapule et aux élus du Texas que l’état n’a pas à s’immiscer dans la tenue vestimentaire que portent les gens.
Ces enfoirés se gargarisent à propos de la liberté d’expression mais ils se permettent de vouloir réglementer la vie privée des citoyens.
Bande de sales hypocrites totalement répugnants.
Qu’il fait donc bon de tabler sur la peur, ce sentiment irrationnel. Ce qui me rappelle le climat qui régnait au Québec autour de 1973. Jean Drapeau tout heureux « d’avoir une élection comme je les aime » (zéro opposition) après avoir tablé à fond sur la peur du FLQ. Le Parti québécois récoltant moins de sièges qu’en 1970.
La peur des drag queens, c’est l’homophobie et aussi, la coulrophobie: « Lorsque l’on ne parvient pas à décoder le visage de quelqu’un, on le perçoit comme menaçant ». Cible facile pour débuter une ouvrage de sape de valeurs communes.