Le blogue de Richard Hétu

L'Amérique dans tous ses états

8,2 % : taux d’inflation en septembre sur un an aux États-Unis, un très léger ralentissement par rapport au mois d’août, alors que le taux s’élevait à 8,3 % par rapport à août 2021. Cela dit, la progression des prix s’est de nouveau accéléré sur un mois, grimpant à 0,4 %, et ce, malgré la baisse des prix de l’essence.

Ces chiffres constituent une mauvaise nouvelle pour la banque centrale américaine, dont les efforts pour freiner l’inflation en haussant les taux d’intérêts n’ont pas encore donné les résultats escomptés. Les responsables de la Fed ont déjà relevé les taux à cinq reprises cette année, et l’on s’attend à ce qu’ils débattent d’une augmentation d’un demi-point ou de trois quarts de point à l’occasion de leur prochaine réunion. Les nouveaux chiffres renforceront les arguments en faveur d’une augmentation plus importante.

23 réflexions sur “Le chiffre du jour

  1. Loufaf dit :

    Lentement mais sûrement, le monde s’ en va vers une récession et ce n’ est pas la faute à Biden. Le contexte est mondial et l’ inflation en fait partie.
    Évidemment les reps vont pousser des cris d’ orfraie en accusant Biden de la montée des prix. C’ est une de leur seule carte à l’ approche des midterms. On verra si le bon peuple mord à l’ hameçon mensonger des reps.

    1. gl000001 dit :

      « porc frais » ? Lapsus ?
      😉

    2. jmaveja48a dit :

      J’ai malheureusement l’impression que le bon peuple des EU, con et centré sur lui même, va croire ces SÀM de reps

  2. sousmarin dit :

    Cette focalisation sur l’inflation me trouble, l’important est la répartition des richesses et non l’inflation…la productivité et le PIB ont alors leur importance, quoi que le PIB est un indicateur très imparfait car certaines soi-disant richesses n’en sont pas vraiment…

    Pour simplifier à l’extrême, il faut mieux voir ses revenus augmenter de 10% avec une inflation à 8 que d’avoir des revenus identiques avec une inflation à 0%, non ?
    Une inflation annuelle à un chiffre (inférieure à 10%) a des avantages non négligeables en économie, que je vais pas développer ici, rassurez-vous 😉

    1. gl000001 dit :

      « Cette focalisation sur l’inflation me trouble, »
      Ils ont un faible pour l’enflure. Présidentielle et verbale.

    2. Grenouillage dit :

      sousmarin dit :
      13/10/2022 à 09:51

      Si la lutte contre l’inflation est si importante, c’est justement parce que nos revenus (hausse salariale + placements) n’arrive pas à accoter l’inflation.
      Si vous faites de l’argent avec vos placements, SVP donner moi le nom de votre planificateur financier. 🙂

      À mon avis, il faudrait se farcir une récession pour lutter efficacement contre l’inflation.
      Je ne crois pas qu’il y ait, dans notre contexte économique actuel, un lien direct entre hausse du taux d’intérêt et lutte contre l’inflation. Cependant, la poursuite des hausses des taux d’intérêts nous amènera en récession, donc une lutte plus efficace contre l’inflation.

      1. gl000001 dit :

         » lutte plus efficace »
        Les inuits disent qu’on ne se bat pas contre l’hiver. On fait avec. On attend qu’il passe.
        C’est relativement pareil pour l’inflation et la récession. Peu d’économistes sont d’accord sur quoi faire avec ces hoquets de l’économie.

      2. Grenouillage dit :

        INFLATION ET RÉCESSION

        La lutte est inégale.
        Les Inuits et Mère Nature.
        Nous et la Nature Humaine (avidité, richesse — toujours plus $$$)

        Un taux d’inflation élevée frappe malheureusement beaucoup plus les pauvres que les riches. Lorsque le prix des denrées alimentaire de base double, cela devient un sujet de conversation pour le riche avec ses amis, mais le pauvre lui, ne mange plus à sa faim.

      3. gl000001 dit :

        Pour moi, c’est semblable. La Nature Humaine est aussi immuable que la Nature NAture.

  3. passchendaele19171106 dit :

    Règlement de comptes aux Midterm ? En septembre 2021 le taux d’inflation était aux USA de +5%. En septembre 2022 il est de +8%…DONC il avoisine les 15% ….L’argent parle ! (Que l’on ait de la sympathie ou aucune sympathie pour l’actuelle administration … Que l’on se focalise ou pas sur les chiffres… Que l’on soit aux States ,en Europe ou ailleurs)

    1. chrstianb dit :

      Non. Pas 15%. Le taux d’inflation est toujours annualisé.

  4. Gilles Morissette dit :

    Il faut se rendre à l’évidence.

    On s’en va lentement mais sûrement vers une récession qui risque de frapper fort, possiblement au début de 2023.

    Rien ni personne ne semble être en mesure d’arrêter la tempête qui s’en vient.

    Ce ne sont pas les apprentis-sorciers avec les « formules magiques » et leur « démagogie » qui pourront changer le cours des choses.

    On peut s’attendre à ce que les Républicains jouent à fond sur cette situation avec leurs solutions simplistes et leur « poudre magique ».

    Les Amerloques vont, malheureusement, acheter cette boulechite qui fera en sorte que les Démocrates vont en payer le prix politique.

    La vérité qu’ils refusent de regarder en face est que les fondements de l’économie américaine avec notamment les inégalités sociales qu’ells engendrent, font en sorte que le système est à la base, dysfonctionnel.

    Il faudrait une réforme en profondeur du système. Les changements obtenus par l’administration Biden l’ont été au prix de compromis qui en ont, en quelque sorte, dilué les effets.

    Non, ce n’est pas « demain la veille » qu’une véritable réforme se fera.

  5. MarcoUBCQ dit :

    Le capitalisme agonise car maintenant l’inflation est artificiellement produite because pure cupidité de la part des plus riches parmi les plus riches. Ce mouvement de dernière chance va accélérer l’écroulement du mur étanche qui sépare les abuseurs financiers de ce monde du peuple qui lui seul produit la richesse qu’on leur a volé.

    La droite elle-même dit que les iniquités sociales sont mauvaises pour les affaires, car on ne peut pas faire de fric quand la société s’est écroulée because injustices trop grandes. La recherche l’a montré: L’injustice a un impact significativement pathologique sur la santé de ceux qui la subisse. L’après-capitalisme va émerger une fois que le seuil de 25% d’adhérents sera atteint: C’est le seuil au-delà duquel la recherche a montré que le reste des citoyens adhèrent au nouveau paradigme.

    1. Kelvinator dit :

      Qu’est-ce que l’après-capitalisme?
      Quel serait le modèle qui serait meilleur qu’une économie basé sur le capital?

      1. Le principale problème présentement est la bourse.
        Tout ce qui est considéré comme un investissement augmente a un rytme effréné et la majorité de la population ne suit pas.

        Quand le chose de base de la vie se retrouve en bourse, ca devient, éventuellement un problème.
        Et la je pense au grain / nourriture
        C’est ridicule que le fermier soit obligé de vendre son grain a la bourse avec les variations qui vont avec ET les  »frais de gestion » qui s’y ajoute. Surcout qui se retrouve sur notre table.

        Les maisons, elle ne sont pas a la bourse, mais c’est sur le même principe, une maison ce n’est pas une maison, mais un investissement qui se vend selon sa valeur marchande (qui a setuplé depuis les années 80 alors que les salaires n’ont que doublé).
        Etc.

    2. Si l’accès a la propriété et le cout de se nourrir continue comme ca… avec un chomage élevé chez les jeunes (surtout en europe, peu ici au Canada)… on ne peut même plus parlé de l’utopique Liberté 55.

      Les génération plus jeunes ont déjà fait leur choix, oubli ca la retraite doré, faudra travaillé jusqu’à notre lit de mort, aussi bien en profité maintenant.
      L’approche du marché du travail des générations plus jeune est déjà très différentes des BabyBoomer.

      Je connais un couple dans la vingtaine, qui ne voit pas comment il pourrait bouclé la fin du mois avec un enfant, malgré les allocations. Donc… ils attendent!
      Du point de vue société, c’est un très mauvais signe, ca n’augure pas bien!

      Mais bon… une réduction de la population ne feras pas de mal a la planète…

  6. karma278 dit :

    Notre économie est aux mains des gamblers,
    la Bourse étant le plus gros Casino du monde…

    Pas étonnant dès lors de voir des augmentations de prix excessives, l’idée étant de maximiser le profit,
    pas de nourrir le peuple…

  7. sousmarin dit :

    Cette obsession de l’inflation est ridicule.
    La condescendance ne vous va guère Grenouillage (13/10/22 à 10h29), mais il me faut admettre que je n’ai qu’un Master en économie après tout.

    Je rappelle aux petits jeunots du coin que pendant les « 30 glorieuses » l’inflation existait, ce qui n’a pas empêché la croissance ainsi qu’une augmentation du pouvoir d’achat de la classe moyenne, en particulier des salariés.
    Que depuis 25 ans, par contre, nous avons une inflation très faible et pourtant une baisse du pouvoir d’achat des salariés et des plus pauvres en général…CQFD

    Et le capitalisme n’est pas un système figé, il est multiple et il existe une multitude d’options non encore exploitée par l’homme (contrairement à ce que veut nous faire croire les ultra-riches). Là encore, le lieu n’est pas adapté pour les détailler vu que personne ne me lira.

    1. Grenouillage dit :

      Je me demande pourquoi vous me trouvez condescendant. Je ne donne que mon humble opinion. Et à ce que je sache, la FED a fait la lutte contre l’inflation son cheval de bataille.
      Il doit certainement avoir des raisons à cela.

      Personnellement, lorsque l’inflation était à 1,5%, que je réussissais à avoir des augmentations salariales de 2,5%, et que mes placements me donnait un rendement de 5% en moyenne, je peux dire que la vie me souriait. Ce n’est plus le cas aujourd’hui avec une inflation qui est devenue hors contrôle. Et cette situation pourrait persister plusieurs mois, et plus.

      Je pense que vous êtes assez intelligent (je le constate par vos interventions) pour comprendre que l’humanité est présentement à un croisement des chemins, et ce pour plusieurs raisons.

      1) période de transition énergétique qui sera difficile à faire.
      2) déclin du plus grand empire de notre époque (États-Unis) qui cherchent à contrer sa grande rivale qu’est la Chine.
      3) risque d’un incident nucléaire (voulu ou accidentel) dans le conflit qui nous oppose à la
      Russie.
      La Corée du Nord pourrait faire un essai nucléaire dans les prochaines semaines. Le
      dernier test date de 2017.
      L’OTAN va organiser des exercices nucléaires au-dessus de la Belgique prochainement.
      4) économie chancelante (inflation ,chaîne d’approvisionnement, manque de main
      d’oeuvre)
      5) pandémie persistante. D’autres variants nous frapperont cet automne.
      6) polarisation de la population qui amènera au pouvoir des gouvernements de l’extrême
      droite et de gauche un peu partout dans le monde.

      Bref, nous sommes en terrain inconnue, et pour se sortir de cette crise majeure (si on s’en sort) il faudra trouver des solutions innovatives aux problèmes que l’on fait face.
      Le passé n’est plus garant de l’avenir. Les solutions qui ont fonctionné dans les 50 dernières années nous amènent maintenant dans un cul de sac.
      Comme l’aimait si bien dire mon ex-patron, soit en mode  » out of the box thinking  ».

      Je vous rassure, je lis toutes vos interventions car elle m’amène parfois à requestionner ma vision du monde qui m’entoure. 🙂

      Bonne soirée.

      1. sousmarin dit :

        C’est vrai, la FED (et la quasi totalité des banques centrales d’ailleurs), depuis 20 ans, a un dogme de lutte contre l’inflation à tout prix mais ce dogme ne fait pas l’unanimité chez les économistes, loin s’en faut.
        Je ne vais pas rentrer dans un cours d’économie sur le sujet, plutôt complexe et qui en plus fait jouer des notions d’économétrie, mais il faut savoir que cette lutte à tout prix coûte cher en général à une banque centrale pour une stabilité de façade selon moi.

        De plus, l’aspect psychologique d’une augmentation numéraire de revenu n’est pas négligeable, même sans augmentation du pouvoir d’achat. Un salarié qui a une augmentation annuelle de 5% avec une inflation de 5%, se sentira mieux qu’un salarié sans augmentation, même avec une inflation de 0% il aura la sensation de stagner.
        Ensuite, il y a la méthode de calcul de l’inflation, très contestable selon moi, qui ne prend pas en compte certaines dépenses d’envergure d’un ménage et qui donc ne reflète pas la réalité.
        Enfin, il y a l’impact d’un remboursement de crédit à annuités fixes (l’annuité variable est un « piège à cons ») qui va devenir de moins en moins pesant d’année en année avec l’inflation, ce qui redonnera mécaniquement du pouvoir d’achat aux endettés au fil du temps et donc une augmentation automatique de leur marge de sécurité.
        Sur le plan macroéconomique, l’inflation réduira donc, là aussi mécaniquement, le surendettement.
        Bien sûr, une inflation qui dépasse les 10% annuel redevient plus néfaste que bénéfique !

        Quant à l’instabilité mondiale, elle n’est pas franchement nouvelle. Les périodes d’instabilité dans l’histoire ont été bien plus nombreuses que les périodes de stabilité (en général, qui ne sont que d’apparence stables puisque toute société évolue avec le temps, lorsque l’économie est stable avec une croissance forte, c’est le social qui évolue fortement et le social a bien évidemment ensuite des conséquences sur l’économie).
        Le choc est violent car nous avons cru, à tort, que le monde serait stable à vie, que les guerres, du moins entre « grandes » puissances, n’existeraient plus, que le règne absolu de la négociation permanente apporterait la paix.
        L’économie ressemble à la marche, qui est un déséquilibre permanent dont l’étape suivant est un déséquilibre qui compense le déséquilibre précédent, c’est ainsi que l’on crée un équilibre, la stabilité n’est donc que l’addition d’instabilités.
        Nous n’avons jamais quitté le terrain inconnu, nous avons seulement cru le quitter ! L’avenir est, par nature, un terrain inconnu. C’est, à la fois terrifiant et excitant, ouvert.

        Le problème actuel n’est pas énergétique, économique ou même militaire, il est politique. Notre mode de sélection de nos élites politiques reste médiocre et c’est ce qui explique l’émergence des régimes hybrides d’illibéralisme, essentiellement d’extrême droite. Le peuple sent que leurs élites ne sont pas au niveau alors il en essaye d’autres, malheureusement certains sont prêts à détruire la démocratie pour conserver le pouvoir.
        Là encore, la plupart des gens croit, à tort, que la démocratie, une fois installée, est immuable…
        Et là encore, les politiciens médiocres ont tendance à favoriser les extrêmes qui, à court terme, sont plus faciles à battre car toujours dans l’excès, mais à plus long terme, leurs excès deviennent de plus en plus « acceptables » car de plus en plus visibles et ils progressent…Macron a commis cette erreur et les démocrates étasuniens sont en train de la commettre également…

        La Corée du Nord (CDN) est un problème non résolu que l’on traîne depuis 70 ans, c’est ce que l’on appelle une guerre de pourrissement. La CDN ne saurait pas tirer un missile nucléaire correctement sans qu’il ne soit intercepté et, pour cela, il faudrait d’abord que la Chine donne son accord. Sans elle, le mini poutinette qui croit la diriger serait bouffé par la Corée du Sud en quelques mois. Il roule des mécaniques pour se donner l’illusion d’exister internationalement mais il n’est dangereux que pour sa population.
        La pandémie que nous avons subie est très loin d’être l’une des pires de l’humanité, la peste, le choléra ou, plus récemment, le Sida, ont été bien plus destructeurs et il est vraisemblable que nous en subirons d’autres bien pires que ce Covid, certes plus dangereux que la grippe mais bien loin de l’Ebola…nous sommes trop nombreux sur la terre et pour réduire notre nombre, l’homme invente la guerre et la nature le virus…

        Je sui convaincu que notre avenir repose sur une démocratie différente, qui modifiera le mode de présélection des élites politiques (qui seront ensuite en compétition lors d’une élection mais de façon plus rationnelle et moins émotionnelle) ET économique (l’héritage étant une forme très irrationnelle et la concentration des pouvoirs économiques est la plaie du capitalisme, il faut limiter drastiquement l’héritage, ou plutôt le rendre plus « égalitaire ». Après tout, au Monopoly, le jeu capitaliste par excellence, tous les joueurs ont la même somme au départ…).
        Il me semble également que le salarié doit être davantage impliqué dans son entreprise. Pour cela, il doit pouvoir participer aux décisions et recevoir également une partie substantielle des bénéfices, le travail (le L en économie), recevrait ainsi une rémunération en partie variable dont le % varierait selon la grosseur de l’entreprise, de 10 pour les petites à 30% pour les grosses. Cette partie ne serait ni vendable, ni transmissible, elle disparaît pour le salarié au départ de l’entreprise. Elle donnerait un pouvoir de décision à la même hauteur, ce qui fait que le capital (le K en économie) resterait majoritaire dans tous les cas mais serait dans l’obligation de tenir compte de l’avis de ses salariés, notamment dans les grandes entreprises où le capital est dispersé le plus souvent. L’entrée de la démocratie dans les entreprises est une évolution logique…

        Bien sûr, tout peut « mal tourner » et nous pouvons nous exterminer ou revenir en arrière, provisoirement espérons le, quand l’avenir était un homme infaillible et fort qui sait tout sans jamais se tromper…comme le croit les russes actuellement.
        Mais ce genre d’homme n’existe pas, et cette route est une impasse mortelle car condamnée à sombrer dans un déséquilibre de plus en plus marqué puisque l’homme « fort » ne peut reconnaître ses erreurs sans renoncer à son statut.
        La démocratie a cet avantage, outre celui de transmettre le pouvoir sans violence, de donner à un pays le pouvoir d’accepter ses erreurs, de changer de direction. Il suffit maintenant de trouver une méthode pour que les plus aptes à nous diriger soit présélectionnés avant l’élection, plutôt que le plus agressif, le plus violent, le plus dominateur, le plus persuasif, celui qui parle le plus fort, le plus arriviste, le plus cupide ou le plus motivé par l’apparat du pouvoir…rendre visible les plus compétents pour la fonction politique, voilà le prochain défi !

      2. Grenouillage dit :

        Merci pour cette longue réponse, mais fort instructive.
        Je vois que nous avons plusieurs points en communs, et que les sujets abordés dans votre texte reviendront certainement nous  »hantés » dans les prochains billets de M. Hétu, ce qui amènera d’autres échanges. 🙂

        Tout les éléments que nous avons mentionné ont été effectivement vécu par le passé à un moment ou un autre de notre histoire, mais les défis de notre génération est de devoir les affronter tous en même temps.

        J’espère que d’autres prendront le temps de lire votre réponse. Je n’ai pas cette qualité d’écriture que plusieurs ont sur ce site, mais je fais de mon mieux pour transmettre mes idées en participant sur ce blog. 🙂

        À une prochaine discussion.

  8. Grenouillage dit :

    HS – La Turquie, un joueur incontournable sur le plan international.

     » La Turquie adopte une loi qui permet l’emprisonnement d’utilisateurs de réseaux sociaux et de journalistes pour diffusion de « désinformation » et de fake news avant les élections qui auront lieu au début de juillet prochain.  »

    Certains médias sociaux, ici même en Amérique, ont commencé à censurer les gens, parfois à tort, parfois à raison. Je pense principalement à Twitter, que je fréquente régulièrement. La censure, un sujet qui est difficile à aborder.

  9. Grenouillage dit :

    France: La colère gronde

    Des manifestations, des grèves à l’horizon. La perspective des français est sombre.

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