
«Pour atterrir, il faut payer le prix!» Dans l’avion qui ramène à Montréal les champions de la Coupe Stanley, ce cri du défenseur Mike Lalor fait s’esclaffer ses coéquipiers qui ne dorment pas à poings fermés. Si j’avais bu à même le calice du hockey autant de bière et de champagne qu’eux, j’aurais peut-être trouvé drôle cette allusion ironique à ce que l’entraîneur Jean Perron ou un vétéran du Canadien a dû répéter tout au long de ces séries éliminatoires invraisemblables : «Pour gagner, il faut payer le prix!»
Or, si le pilote a décidé de redresser le nez de son appareil après avoir tenté de le poser sur une des pistes de l’aéroport de Dorval, c’est que le plafond nuageux est trop dense et trop bas aux premières heures de ce 25 mai 1986. Et même si je suis à peine plus âgé que deux des héros de cette Coupe inattendue, Patrick Roy et Claude Lemieux, je ne peux m’empêcher de réagir en vieux routier du journalisme : je pense au pire et à la manchette sensationnelle du lendemain dans La Presse…

Heureusement, le pilote réussit à poser l’avion des conquérants au deuxième essai après une longue boucle qui nous a emmenés quasiment au-dessus de Québec. Et j’allais pouvoir continuer à vivre l’une des expériences les plus grisantes de ma carrière journalistique en couvrant le défilé de la Coupe Stanley, où le gagnant du trophée Conn Smythe devait apparaître «en chest», comme disent aujourd’hui les plus jeunes.
Vous aurez deviné que la deuxième campagne de financement de ce blogue en 2021 aura pour thème nos souvenirs de la Coupe Stanley, les miens et les vôtres, alors que le précieux trophée se retrouve aujourd’hui dans la ligne de mire du Canadien de façon aussi inattendue qu’en 1986. Certains lecteurs de ce site consacré à l’actualité américaine apprendront peut-être pour la première fois que j’ai travaillé pour la section des sports de La Presse dans une autre vie. D’ailleurs, en y pensant bien, ma participation à la couverture de la demi-finale de 1986 entre le Canadien et les Rangers n’est peut-être pas étrangère à ma décision de m’établir à New York. J’y reviendrai.
En attendant, je vous promets de lire avec attention vos souvenirs, tout en vous encourageant à continuer de soutenir ce blogue à un moment où le trumpisme continue à mettre en danger la démocratie américaine et, qu’on le veuille ou non, à influencer celle des voisins du Nord. À la fin de chaque journée, je publierai un de vos souvenirs sous la forme d’un billet.
Let’s go Habs…
(Photo PC)
Voilà, contribution faite avec grand plaisir.
Merci M.Hétu.
Merci à vous!
Un de mes plus beaux souvenirs des séries de la coupe Stanley est surement celle de 78-79 alors que la canadien a éliminé les Bruins de Boston en finale d’Association et leur sympathique entraîneur Don Cherry qui ne s’en est jamais mentalement remis 🙂
*Alors qu’il reste 4 minutes à jouer dans le 7e match de la série, le score est à égalité et Rick Middleton des Bruins de Boston inscrit un but et donne l’avantage 4 à 3 à son équipe. Une minute trente-sept plus tard, l’arbitre, John D’Amico, donne une pénalité d’équipe aux Bruins pour surnombre. Guy Lafleur des Canadiens de Montréal profite alors de la supériorité numérique pour inscrire le but qui permet aux deux équipes de jouer les prolongations. Le but de la victoire pour les Canadiens est inscrit par Yvon Lambert.*(wykipedia)
Je me souviens de la fin de cette partie mythique qui a contribué à la légende des fantômes du Forum et de la performance de Guy Lafleur, LE joueur de toute une génération, la mienne… dans cette série.
@jcvirgil (14/06/2021 à 10:16).
Tout à fait d’accord avec vous. Cherry était à deux doigts de gagner la Coupe Stanley. Il se plaisait même à narguer la foule.
Une erreur d’inattention de sa part, un punition bête, le but de Lafleur (comme seul Lafleur pouvait le faire) et on connaît la suite.
Cherry et les Bruins ne s’en sont jamais remis.
Il aura fallu attendre à 2011 pour qu’il remporte enfin la célèbre Coupe.
C’était l’erreur de Don Marcotte qui a sauté sur la patinoire et non l’erreur de Cherry. Il ne devait pas sauter sur la patinoire à ce moment.
@jcvirgil
« …leur sympathique entraîneur Don Cherry qui ne s’en est jamais jamais mentalement remis. »
Vous avez raison, plus imbécile et clown que ça faut s’appeler trump!
Fort bien dit !!!
Souvenir d’une autre génération compté par un ami montréalais.
On est à la fin des années 60 et mon ami voulait aller au défilé de la Coupe Stanley, après une autre victoire du club montréalais, son père et sa mère étant occupé ce n’était pas possible et la réponse de ses parents a été toute simple: « On te promet qu’on y ira l’année prochaine ».
Je n’aurais jamais oser faire une telle promesse à mes enfants. Ni aujourd’hui à mes petits enfants.
Ma première sortie avec le jeune homme qui allait devenir mon mari, c’était au forum de Montréal pour voir le Canadien jouer contre qui ? Je ne m’en souviens pas.
Je n’avais jamais été intéressée par le hockey qui était considéré comme un sport de gars dans ce temps-là.
Mon futur ne m’avait pas demandé si ça me tentait, il avait acheté les billets sans m’en parler parce que lui avait le goût d’y aller. J’aurais dû allumer une petite lumière rouge parce que la suite a été un copié-collé de ce premier soir.
Mon autre souvenir se situe tous les samedis soirs où le papa qu’il était devenu regardait le hockey avec ses deux gars pendant que je leur cuisinais des choux à la crème avec ma fille.
Autres temps autres moeurs !
C’est fait, merci Monsieur Hétu pour toutes ces opportunités de se coucher moins niaiseux.
Désolé mauvais endroit.
👌🏾
Je hais le Canadian Hockey Club. Je suis partisan de toute équipe qui les affronte. Ceci dit, je ne suis plus fan fini comme j’ai pu l’être en prime jeunesse.
Voilà, il fallait que je le dise.
Contribution faite. Longue vie à ce blogue et un merci à tous pour vos commentaires éclairés.
« Plus j’apprends, moins je sais ». Ça aide à garder une certaine humilité.
Même chose pour moi. Partisan des Bruins et des autres équipes. Everybody but Canadien.
Idem pour moi, sauf que j’étais un partisan des Rangers, avec Ratelle, Hadfield, Gilbert et Giacomin. Ils n’ont jamais rien gagné.
Ce qui était important, pour moi, c’était d’être partisan d’une autre équipe que mes huit frères.
Plus tard, les Nordiques ont pris la place!
En passant, est-ce que le but d’Alain Côté était bon? 😉
J’avais quelques amis comme vous autres, là seule différence entre nous était que moi mon équipe gagnait la coupe Stanley 😉
En général, ceux qui disent ne pas aimer pas les Canadiens, c’est parce qu’ils les aiment trop. Comme ils ne peuvent souffrir de les voir perdre un seul match, ils préfèrent aimer un autre club. Ca se passe au niveau inconscient bien sur.
M. Allard en passant le nom officiel et légal de l’équipe est Le Club de Hockey Les Canadiens de Montréal. En français et non le nom anglais baragouiné dans votre post. Le Club n’a jamais eu un nom anglais. Le fondateur du CH est John Ambrose O’Brien. Son but était de donner une chance au francophone de jouer dans la LNH
« Son but était de donner une chance au francophone de jouer dans la LNH. »
Sa volonté n’a donc pas été respectée, notamment cette année. Et même, y a-t-il jamais eu une année où il y a eu une majorité de joueurs francophones dans cette équipe ?
« Je hais le Canadian Hockey Club. Je suis partisan de toute équipe qui les affronte.. »
Tiens, je croyais être le seul.
Une équipe qui représente le Québec et qui n’est pas foutue d’aligner un seul joueur francophone…
Mon souvenir marquant de la Coupe remonte à Expo67. Oui, je sais ça fait un sacré bout mais à cette époque, on était partisan du CH et la moindre contrariété constituait une déception majeure. On en ce printemps de 1967, contrairement à toutes nos espérances car le CH avait gagné en 64 et 65, les Leafs de Toronto a remporté la série en 1967.
Et cette Coupe Stanley qui trônait dans le pavillon de l’Ontario sous la garde d’un imposant flic de l’OPP alors qu’à mon humble avis elle aurait été bien plus à sa place dans celui du Québec qui m’a alors semblé bien désert. Une image qui ne m’a pas quitté surtout que maintenant, le hockey et ses PME sur deux lames qui l’animent ne m’attire plus du tout comme avant. Je suis d’une oreille et d’un œil un peu distraits les péripéties de la présente série tout en souhaitant au CH tout le bonheur du monde. 🙂
P.S. Et mon écot va suivre dans «pas long». 🙂
Contribution faites avec le plus grand plaisir.
Souvenirs indélébiles:
1- le vieux forum, celui que l’on dit désormais « à colonnes ». Papa m’y trainait, façon de parler.
2- la finale, celle de 7/7 Canadiens/ Flyers. Je m’étais fait enlever dans la journée des dents de sagesse incluses. Donc points de suture. Dring dring, j’ai des billets pour ce soir. Hiiiiiii, pas une bonne idée, j’ai un sérieux look d’écureuil ecchymosé qui a fait des provisions et certain que les points vont revolés avec mon enthousiasme fanatique. Bon on y va. Plus de points de suture et mon entourage devait avoir mal à la tête de moi mais au terme de la soirée : la coupe.
Toile
pas une bonne idée, j’ai un sérieux look d’écureuil ecchymosé qui a fait des provisions et certain que les points vont revolés avec mon enthousiasme fanatique.
Hahaha ! On voit très bien à quoi vs ressembliez
Je ne vous connaissais pas ce côté humoristique 👌
On sait rire de soit….malgré mon coté cartesien.
Autre souvenir indélébile mais pas vraiment en lien direct avec le canadien. La fameuse finale avec la Russie. Elle avait lieu en pleine journée d’école. J’étions alors au secondaire et le prof de mathématiques, une soeur taillée dans le roc est furieusement accroc aux hockey. Pas de cours de maths ni dans sa classe ni ailleurs non plus. Malgré la cloche qui nous indiquait de changer de classe, personne n’a bougé de sa chaise. On y étaient collés, anxieux et espérant …. jusqu’à ce que l’on retrouve le plafond. Le délire total.
Frerot avait à l’élémentaire pour camarade de classe le garçon de Terry Harper, ce défenseur au coup de patins si élégants…et nous avions pour voisin arrière un certain Rogatien Vachon, alors chambreur avec d’autres joueurs du Canadien. C’était l’époque des cartes et du fan club ou tu recevais des cartes signées.
Mon souvenir. Les deux Coupes Stanley de 1965 et 1966?
Pourquoi? J’étais à l’époque, pensionnaire au Petit Séminaire de Chicoutimi (devenu aujourd’hui le CEGEP de Chicoutimi) où je faisais mes études classiques.
La réforme de l’éducation et la Révolution tranquille en étaient à leurs premiers balbutiements.
La religion occupait encore un place importante dans la vie des Québécois, bien que de grands changements se pointaient à l’horizon.
À l’époque, la vie n’était pas toujours rigolotte dans un pensionnat.
Le réfectoire et sa bouffe dégueulasse, le dortoir où la propreté de certains gars laissaient à désirer et où flottaient des odeurs « pas toujours agréables », la messe à tous les jours, lever à 06;00, coucher à 21:00, etc.
Cependant, il y avait de bons côtés. Le samedi soir, les bons curés nous laissaient regarder « La Soirée du hockey ».On avait alors le droit de se coucher un peu plus tard qu’à l’habitude.
Les séries éléminatioires étaient également de grands moments. Il n’y avait que deux rondes (4 équipes, deux semi-finales et la finale). Tout était fini vers la fin avril ou au début mai.
On était réunis dans une grande salle et regardions attentivement les exploits des Béliveau, Richard, les deux Tremblay (Gilles et J.C.) Laperrière, Rousseau, Cournoyer, Duff, Provost, Worsley, Ferguson, etc).
Lors des victoires de 1965 et 1966.(J’avais 15-16 ans), nous nous sommes mis à crier, à chahuter tellement fort que les bons curés ont dû nous dire de nous calmer ….juste un peu car certains d’entre eux aussi étaient des fans du CH.
Lorsque vous étiez pensionnaire avec des sorties seulement à la Toussaint, aux Fêtes, à Pâques et à la fin de l’années scolaire, les moments de célébrations étaient plutôt rares.
Plus tard, j’ai suivi les autres conquêtes du CH en famille ou avec des « chums ». Le hockey, la vie avaient changé.
La roue tourne mais la magie des séries demeure, surtout cette année avec la présence du CH.
Worsley… hi! Je me souviens de lui et de sa phobie des avions. Il partait avant les autres avec le train. A l’époque, la plus lointaine destination était Chicago. Cournoyer, des fois il me faisait sortir de grands mots d’eglise quand il loupait le but quasi ouvert sinon ouvert. Les poteaux viande ! mais quel lancé frappé !
@Toile
Des souvenirs du Gump Worsley le rondelet gardien du CH qui s’envoyait parait-il quelques verres derrière la cravate pour calmer sa peur avant la partie.
Peur d’autant plus intense quand il affrontait les Black Hawks de Chica, leur vedette Bobby Hull et son retentissant lancer frappé.
Hull crinquait à la ligne bleue pour laisser partir sa garnotte pendant que Worsley faisait sa prière.
Pas besoin de dire que le résultat était souvent un but des Blacks Hawks.😎
Charlie Hodge. Tout le monde prenait pour Béliveau, Richard, les 2 Tremblay… Le négligé de l’équipe état donc Charlie Hodge, substitut du 1er gardien de but de l’époque Jacques Plante puis de Gump Worsley. Bien évidemment, personne de mon école ne prenait Hodge comme modèle sauf moi. Ce qui en faisait un de mes favoris. Un » underdog » comme je l’ ai appris plus tard.
Sauf que, mine de rien, Hodge a quand même remporté 6 fois la coupe Stanley à titre de substitut et de 1 trophée Vézina. en 1964, l’année entre le départ de Plante et l’arrivée de Worsley.
Je vais vous plagier M. Hétu. Pour avoir un blog de qualité, il faut payer le prix. Voilà! Contribution faites avec un grand plaisir. Et depuis le début de la pandémie, j’ ajoute un supplément à ma contribution habituelle, car je pense qu’ il y a certainement des participants qui sont touchés financièrement.
En espérant vous lire , pendant de nombreuses années.
Merci!
1986, l’année de mes 18 ans… Pleins de souvenirs en cette année mémorable.
Un printemps de hockey pas ordinaire avec les Roy, Lemieux, Carbonneau, Tremblay, Richer, Gingras, Gainey, Robinson et compagnies, j’étais a la porte d’entré de service du coté Atwater, a la fin du défilé, l’endroit ou les joueurs entraient dans le Furum. A quelques pas de mois, il y avait Roy et le Conn Smythe, je ne me souviens plus qui portais la coupe. Je pouvais presque toucher aux trophées !!! J’y était avec un copain d’alors que j’ai perdu de vue depuis. Nous y étions aussi en 93, même endroit, même copain, quelques joueurs différents mais la même joie. J’ai aidé Mario Tremblay a traverser la clôture de sécurité, il avait du mal dû a une blessure subis plus tôt dans la saison a l’épaule.
Aujourd’hui, quelques années plus tard (et quelques cheveux gris de plus), j’ai promis a ma fille que nous irions au défilé si le miracle se produit !!! (évidemment ce sera un autre endroit et surtout beaucoup plus loin des trophées et joueurs)
Je n’en reviens pas de penser que l’adolescent que j’étais en 1966 en avait mal au ventre d’anxiété en écoutant les parties, alors que le CH avait perdu les deux premières rencontre de la finale contre Détroit, avant de finalement gagner la série. Ce souvenir suffit à me faire comprendre l’anxiété des jeunes d’aujourd’hui et à ne pas les juger.
Pardonnez moi mais je ne suis pas du tout le hockey… et tout ce qui s’y rattache me rebute. Chacun ses goûts.
Je préfère aller marcher, nager, lire ou tout autre activité mais cela est bien personnel…
Je prendrais donc une pause de ce blogue cette semaine sauf pour cette campagne de financement bien sûr! 😉
Mon plus grand souvenir, le but de Alain Côté. J’y étais. Parlant de Mike Lalor, j’ai eu le plaisir de jouer au golf avec lui à l’été 1986. Lui et Carbo, Knuckles, Claude Lemieux et quelques autres joueurs de l’équipe à l’époque où Chris Nilan avait un tournoi pour la fondation de l’Hôpital pour enfants de Montréal, le Children. On en avait entendu des vertes et des pas mûres sur les séries de 86 et sur leur entraineur.
HS
Un peu de lecture pour ceux qui ont « fait leurs recherches ». Autre excellent article de M. Hétu
https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2021-06-14/decryptage/le-dr-fauci-face-aux-complotistes.php
jeani
Effectivement, l’article de M.Hétu est très éclairant. 👌
Pour mon plus grand plaisir, de vous lire M. Hétu et tous (tes) les intervenants. Contribution fait.
Contribution faite, m’ssieu Hétu!
Celle de ’86 fût assez incROYable merci! Ce gringalet qui parlait à ses poteaux nous a inspiré tout autant que le »tough » un peu baveux de l’école secondaire de Mont-Laurier, Claude Lemieux… Le gars était déjà un sportif accompli, animé d’un féroce sens de la compétition, pas surprenant de l’avoir vu s’accomplir autant dans le hockey professionel. Vous mentionnez votre présence à New-York pour la demi-finale et je présume que vous avez pu savourer cette prolongation du 3e match ou les rondelles sifflait de partout et ou Patou sentait le caoutchouc brûlé! Pour ma part, je suivais les péripéties de mon équipe favorite à la radio avec un collègue, passablement occupés que nous étions à travailler de nuit dans un delicatessen 24h. Cette prolongation et la précédente contre Hartford, ou le « clutch player » par excellence a mis fin au match nous ont fait hurler de joie à pleins poumons, au grand dam des clients d’ailleurs 🙂 Que de beaux souvenirs…
Mon souvenir le plus marquant des séries de 1986, c’est le but de Claude Lemieux contre le gardien Mike Liut des Whalers de Hartford en prolongation dans le septième match. 🙂
Un autre cas qui s’apparente à une bavure policière à Minneapolis suivi par une attaque à la voiture-bélier.
Rien à faire .Les tarés d’Amerloques n’apprendront JAMAIS
https://www.lapresse.ca/international/etats-unis/2021-06-14/une-voiture-fonce-sur-un-groupe-de-manifestants-antiracistes-a-minneapolis.php
Je viens d’apporter ma petite contribution.
MERCI à vous et à tous les participants.
Le blogue apporte de l’oxygène de façon quotidienne à mon cerveau.
Je ne manque aucun match de hockey, je suis particulièrement fan des beaux jeux, sans être totalement partisane. Mais je dois admettre que cette fin de saison nous fait apprécier un peu plus le CH.
Petit rappel historique d’une partie en saison régulière. Le pire, un ami m’avait offert deux billets à mon choix. J’avais choisi d’aller voir la partie opposant le Canadien à Philadelphie et Brière.
Mauvais choix, la partie contre les Rangers aurait été un bien meilleur choix…
https://www.ledevoir.com/sports/176962/canadien-6-rangers-5-f-la-plus-belle-remontee-de-l-histoire-du-canadien
Voilà. Contribution faite; et c’est reparti pour un autre plaisant tour de roue en bonne compagnie.
Merci!
Patrick Roy, petit-fils biologique de Bona Arsenault. Le grand amateur d’archives dont se moquaient un peu mes parents, un original à qui nous sommes redevables à plus d’un égard. Vous êtes un peu historien vous-même, M. Hétu.
Bien heureuse d’avoir une fois de plus fait une contribution.
Merci!!!
@Richard Hetu
Contribution effectuée avec le même plaisir que de lire et de participer à votre blogue chaque jour !
Pour ce qui concerne le hockey… je n’y connais rien !
Par contre j’ai une petite histoire sur l’équipe de hockey d’une petite ville de province où j’avais un couple d’amis médecins.
Spécialisés dans le sport ils étaient devenus les médecins de l’équipe locale de hockey.
Et bien sûr ils m’invitaient régulièrement aux matchs.
Moi je m’amusais bien, je ne comprenais pas grand-chose…mais je comptais les points des coups que les joueurs se donnaient entre eux, violemment quelquefois !
Quand à mes amis je les voyais peu, occupés qu’ils étaient à réparer quelques âmes et quelques blessures et passaient une partie du match … dans les vestiaires !
Et voilà c’est fait ! Je suis en train d’en prendre l’habitude 😉
@yolandgingras
Prenez-en bien soin. De l’engin, s’entend.
@RH Contribution faite.
Bien sur en Coin de Bite.
Comme d’habitude vérifier le taux de change avant d’encaisser, sinon ma contribution pourrait se transformer en facture.
C’est fait. Je vous souhaite une bonne journée.