Une organisation politique soutenant Ron DeSantis prévoit de frapper à la porte de chaque électeur potentiel du gouverneur de Floride au moins quatre fois dans le New Hampshire, le Nevada et la Caroline du Sud – et cinq fois à l’approche des caucus de l’Iowa, qui marqueront le coup d’envoi de la course à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2024. Cet effort s’inscrira dans une mobilisation sans précédent qui coûtera 100 millions de dollars au Super PAC Never Back Down et qui permettra le déploiement de 2 600 organisateurs sur le terrain d’ici la fête du travail.
« Personne n’a jamais envisagé l’ampleur de cette organisation ou de cette opération, et encore moins ne l’a fait. Cela n’a même jamais été imaginé », a déclaré Chris Jankowski, directeur général de Never Back Down, au New York Times, qui décrit la stratégie du Super PAC à quelques heures du lancement officiel de la campagne présidentiel de DeSantis.
Au total, Never Back Down entend dépenser 200 millions de dollars, une somme qui équivaut à celle que le Super PAC soutenant l’ancien gouverneur de Floride Jeb Bush a dépensé en 2016. Il va sans dire que le Super PAC pro-DeSantis entend dépenser son argent de façon plus intelligente que celle de Bush, notamment en misant sur la mobilisation et la sensibilisation des électeurs plutôt que sur la publicité.
Mais Never Back Down ne délaissera pas complètement la publicité. Le Super PAC entend notamment établir un contraste entre DeSantis et Trump sur les questions liées à l’orientation sexuelle et à l’identité de genre, aux écoles et aux grandes entreprises, des questions qui sont toutes présentes dans le combat entre le gouverneur et Disney.
Au cours des dernières semaines, Trump a ridiculisé ce combat et pris parti pour Disney. Un de ses porte-parole a déclaré au Times que le Super PAC Never Back Down était un « show de clowns de propositions épiques ».
Never Back Down a déjà dépensé 10 millions de dollars pour diffuser des pubs au cours des derniers semaines, dépenses qui n’ont pas empêché DeSantis de perdre de l’altitude dans les sondages.
Rappel : un Super PAC peut récolter des sommes illimitées de groupes ou d’individus. Ses activités ne peuvent cependant pas être coordonnées avec la campagne du candidat qu’il soutient.
(Photo AP)
« Une organisation politique soutenant Ron DeSantis prévoit de frapper à la porte de chaque électeur potentiel »
Attention, le nombre de mort dans une entrée de cour risque d’augmenter au cours des prochains mois. Oh non je me trompe ! Les organisateurs seront sans doute tous blancs.
Encore heureux que les Démocrates soient moins vite sur la gâchette que certains Républicains! La première fois, passe encore, mis si ils reviennent d’eux, trois fois malades avertissements de passer leur chemin, ça deviendrait dangereux!
« show de clowns de propositions épiques »
$200 millions. De proportion épique aussi !!
Et pourquoi pas … hippiques parce que les gens qui ont donné au Super-PAC ont choisi le mauvais cheval. Il a toujours « la mort » aux dents mais il court à contre-sens de la piste.
Il annonce sa nomination ce soir sur Twitter selon CNN.
Que ces 2 clowns se tapent dessus pour donner encore plus le goût de voter de l’autre côté et donner plus de matériel à l’adversaire…
En effet, un combat de clowns déguisés en coqs de basse-cour, ça va être drôle. Et si je comprends bien la stratégie de Ronnie Boy, les plumes vont r’voler jusque dans le portique des électeurs. Méchant ménage à faire après la victoire d’un des deux coqs. Mais, on le sait, le GOP est le parti de l’unité!!!
Euh… drôle, pas vraiment certain après réflexion.
On sort le popcorn. Ca va être laid, extrêmement laid.
Pour l’un, c’est la seule porte de sortie afin d’échapper à des accusations criminelles et à la prison et pour l’autre c’est la seule porte pour sortir les États-Unis du monde moderne.
Un clown ou l’autre, l’est ça les républicains ?
a dictator want to be born moi je dis avortement rien de moins
« Une organisation politique soutenant Ron DeSantis prévoit de frapper à la porte de chaque électeur potentiel du gouverneur de Floride au moins quatre fois dans le New Hampshire, le Nevada et la Caroline du Sud – et cinq fois à l’approche des caucus de l’Iowa, qui marqueront le coup d’envoi de la course à l’investiture républicaine pour l’élection présidentielle de 2024 ».
Non, non, je ne suis pas témoin de Jehovah. Je viens sauver votre âme….et je l’aurai.
Il joue gros: pas president, plus gouverneur. Attachez vos tuques lors des débats.
Toile – témoin de Jehovah, LOL. en plein ça. Donc Never Back Down n’a rien inventé.
« Je vous répondrai par la bouche de mon conon. » – Un MAGA trumpie qui a lu (fait exceptionnel) l’histoire du Québec.
pas conon, canon évidemment.
J’y pense, j’aurais pu écrire côlon. Enfin!
QAnon ?
Deux clowns!
trump qui ne sort jamais sans son costume et son maquillage de clown, se regarde dans le miroir mais qui se voit en Brad Pitt, au bras d’Angelina.
Pauvres types, autant le loser que l’extrémiste chrétien!
Quand même fou de voir que l’essentiel de sa campagne va viser la haine des immigrants, des LGBTQ et de l’épouvantail des Wokes. Pas tant de contenu si ce n’est plus de guns.
Si Trump est un bully mal dégrossi, DeSantis est un ideologue radicalement borné.
J’ai plus peur de l’ideologue que du bully.
Certes, mais des idéologues peuvent aisément contrôler l’enfant mal élevé que l’autre est. Ça me fait autant peur, puisque ceux-ci resteront cachés dans son ombre. Et il peut en rentrer beaucoup, dans son ombre…
Frapperont-ils à la porte des gens de couleur, des LBGTQ et des wokes ? Ceux-ci se déguiseront en Mickey.
Curieux de savoir si les 2 600 « témoins de Jehovah » (ou leur équipe de bénévoles) sur le terrain parleront de toutes les poursuites dont Loser 1er fait l’objet. Se faire dire cinq fois que l’autre est un criminel, ça peut faire son chemin même chez les MAGAs mono-neuronniques.
J’ai le sentiment que les bénévoles vont être « trainé » à ne pas couler Trump directement mais faire comprendre aux électeurs que le choisir n’est pas un bon choix stratégique pour eux.
Les médias de masse n’arrivent pas à faire changer d’avis ces gens sur trump. Alors ils vont essayer avec une masse de gens. Est-ce la fin des médias de masse ?
L’article du NYT se concentre beaucoup sur la personnalité de Jeff Roe
Décrit comme un stratège républicain vétéran dont Dt a déjà trouvé un surnom pour cet homme « le baiser de la mort » mon idée DT devrait plutôt s’inquiéter des baisers de la mort autour de lui.
La base de DT est très illuminée par la vue de l’💰💰💰💰de toute évidence l’équipe de Ron DeSantis leur en met plein la vue.
Selon ce Jeff Roe il faut être à la fois le chef d’un mouvement et le chef d’un parti ce que fait Ron DeSantis. Me semble que le parti républicain démontre encore qui est le chef de ce parti. Encore la semaine dernière Kevin Mc Carthy proclamait son allégeance à ce roi nu.
La gang de DT a déjà changé le nom de « NEVER BACK DOWN » par « ALWAYS BACK DOWN »😜😉
Pour desantis ça pourrait aussi être « ALWAYS BLACK DOWN »
Comme des témoins de Jehovah ?
La comparaison avec les témoins de Jehova ne tient pas la route. Ceux-ci demandent aux gens de se réveiller tandis que ce PAC essaie d’endormir les gens.
Les Jehovah sont woke ! Une autre belle contradiction.
Comme DeSantis qui veut lutter contre la « cancel culture » en la cancellant. C’est ça le parti républicain. Il faut réveiller les gens sur les travers des gens qui veulent réveiller les gens. Et on le fait en endormant les gens sur le fait qu’on veut les endormir.
Ça pourrait fonctionner.
Allez-vous voter pour lui ? Non
Allez-vous voter pour lui ? Non
Allez-vous voter pour lui ? Non
Allez-vous voter pour lui ? Non
Allez-vous voter pour lui ? OUI SI TU ME SACRES PATIENCE !!!
Est bonne!!! La technique des cinq gouttes d’eau, importation directe de la Chine.
@ProMap
DeSantis a du Fu Manchu en lui.
🤦♀️Ils sont épuisants, à la fin!
Je ne veux pas vous décourager encore plus, mais on est loin de la fin. La politique américaine c’est un éternel recommencement. Soyez forte!
Les républicains de ces États qui ne supportent pas DeSantis pourraient se passer le mot de garder le plus longtemps possible ces organisateurs à leur porte, avec plein de questions à leur poser. Les 10 minutes perdues ici et là peuvent s’accumuler vite et faire dérailler les plans.
Mais on s’entend que les supporteurs de Sharpie Pussy Grabber 1er risquent plutôt de vouloir leur montrer rapido leur arme préférée.
DeSantis aura beau dépenser des millions de fric dans un SuperPac, aller rencontrer chaque électeur, vanter son bilan (peu reluisant) en Floride.
Jamais au grand jamais, il ne pourra rattraper voire dépasser LE PRÉDATEUR SEXUEL dans cette course aux primaires républicaines.
Choisir entre LA CHOSE et « Mini Moi » c’est comme choisir entre attraper un cancer virulent ou un cancer encore plus virulent.
En bout de ligne, le pays va plonger dans l’obscurantisme, l’ignorance, le mensonge, l’intolérance, le fanatisme, le racisme.
À ce stade-ci, ce n’est plus un choix. C’est l’équivalent d’une condamnation à mort.
La mort de la liberté (la vraie). de la démocratie, du respect de la Loi et de la Constitution.
Les Américains auront un choix à faire. Espérons pour eux et la planète qu’ils fassent le bon !!.
Plutôt que les TJ, ça ressemble à des vendeurs porte-à-porte qui colportent de la camelote. Achetez la lessive DeSantis, ça lave plus blanc que les labels concurrent.
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Toc toc toc …
Bonjour Mme Melania, on peut compter sur votre appuis pour notre candidat R De Santis ???
Hé hé hé ! 👍
tant qu’à parler de desantis… sa loi stupide ou n’importe qui peux faire interdire un livre a la grandeur de l’état, il se passent quoi si un enfant amène un livre interdit à l’école?
Reçoit-il dix coup de baton sur la place publique??? (référence: voir loi islamique)
Il n’y a rien que je déteste le plus que de me faire solliciter à ma porte pour un parti politique
Je ne fous pas être la seule me semble
J’espère qu’ils se feront fermer la porte au nez souvent et leur disant ceci
Je ne transige jamais avec les terroristes
Je ne dois bien sûr
200 millions, c’est quand même une belle somme.
Tout ça pour supporter un type plus rétrograde que Trump. C’est dire à quel point les grands financiers conservateurs se cherchent une alternative à Trump, populaire à sa base mais malaisant pour les financiers de l’ombre. Ces derniers voudraient jeter DT sous les roues de l’autobus et s’en débarrasser mais ne veulent pas perdre ses précieux votes.
Il y a un clivage immense au GOP qui les empêche de revenir vers le centre droit.
Si un conservateur plus centriste et charismatique émergeait, les démocrates seraient en difficulté à cause du manque de popularité de Biden. Mais De Santis a un programme peu aguichant pour les conservateurs modérés. Et Trump est pogné dans ses poursuites à répétition. Méchants poulains ces deux là.
Poulains ou pioches?
Ils ont quand même proche 50% du vote à eux deux, donc à prendre au sérieux.
Dans l’Histoire humaine, la démocratie a été relativement rare et dans tous les cas elle n’a jamais duré très longtemps. Les tyrans sont de retour et, à coup sûr, la démocratie se meurt.
Le mot de l’infolettre Fast forward (Boston globe) ce ce soir:
So Ron DeSantis will announce this evening that he’s a candidate for the GOP presidential nomination. He’ll do so on Twitter Spaces in a live discussion at 6 p.m. with Twitter CEO Elon Musk, and that says a lot about who DeSantis is.
Then again, he already has shown us who he is, hasn’t he? And on the campaign trail, he’s promising to bring his brand of cruel and invasive conservatism to the entire country. Woo-hoo!
DeSantis is crafty. He gets a ton of publicity for being fully strapped for the culture wars, taking aim at everything from abortion to library books to Donald Duck. But you know what most of the national press isn’t covering? How he is actually governing Florida — the nuts and bolts of providing a good quality of life for its residents.
And on basic measures such as health, education, and the overall welfare of Floridians — key indicators of a successful society — DeSantis is doing a lousy job.
Time magazine examined the nearly four years of DeSantis’s tenure and discovered that by just about every metric, Florida is stuck in the swampy bottom of state rankings. For example:
HEALTH CARE: DeSantis is fond of saying that Florida is where « woke goes to die. » It’s also where far too many residents die — unnecessarily — because the state’s health care system stinks.
The Commonwealth Fund issues annual health care scorecards on how each state is doing on several measures: Do residents have easy access to health care? Is it affordable? Are too many of them going to emergency rooms because they don’t have a primary care doc? How many residents are insured? What was the death toll from COVID and drug overdoses?
On just about every measure, Florida falls in the bottom half of states.
During the worst of COVID, Florida had the 19th highest rate of excess deaths, and this despite the fact that in June of 2021, DeSantis ordered his health department to stop reporting the COVID cases and deaths of nonresidents to make himself look better — the only state to do so. Had Florida included those numbers, its excess deaths ranking would have been even higher.
Florida had the 5th highest rate of COVID hospitalizations among all states. There were so many ill residents that Florida was one of just 16 states with ICUs that were close to full for more than 150 days (Florida’s number was 197 days) from August of 2020 through March of 2022, hindering the hospitals’ ability to provide adequate care. Its hospitals also had more critical staffing shortages than most states because of illness among the medical staff.
That severe overcrowding meant that people with other critical illnesses couldn’t get the care they needed and died, adding to Florida’s high excess deaths number.
Only 32 percent of Floridians are vaccinated and boosted against COVID, 5 points below the national average and well below the top state, Vermont, at 55 percent.
Health insurance is another huge issue: Florida ranks 42nd in the percentage of insured adults; more than 12 percent of its residents have no health coverage. (In Massachusetts, it’s just 3.6 percent.) And you know what that led to: Florida ranks 40th in the percentage of adults who went without medical care as a result.
Don’t forget that the politically spiteful DeSantis refuses to accept the federal government’s Medicaid expansion because it was part of Obamacare, even though it saved the lives of at least 19,200 adults aged 55 to 64 from 2014 to 2017 — and many more since then.
In that same time period, it’s estimated that Florida lost 2,776 residents because they didn’t have Medicaid to help pay for regular checkups that would have caught things like early-stage cancer, they couldn’t afford prescriptions for heart disease and diabetes, and they skipped needed surgery.
But hey, DeSantis owned the libs!
DeSantis is about to make a national appeal for votes, yet as Time points out, it ranks below the northern blue states, much of the Midwest, and the West in life expectancy as well as deaths from diabetes. It’s 34th in fatal overdoses, 26th in teen birth rates, and 31st in infant mortality. Overall, 35 states have better health care for its residents than Florida does.
Oh, and it ranks dead last in providing long-term care for older adults. All those Boomer retirees in The Villages are in for a big surprise.
EDUCATION: Florida is a big, wealthy state. Yet DeSantis refuses to spend that wealth on educating kids. (Maybe he doesn’t want them to become smart enough to know not to vote for him.) In fact, Education Week ranks it 23rd and gives it a grade of C for its students’ chances for success, for school financing, and for K-12 achievement.
It ranks 48th in teacher pay. It ranks 45th in per-pupil spending. The state pours 12 percent more money into rich districts than poor districts, which need it more, placing it 40th among the 47 states included. And it ranks 48th in funding effort; in other words, the percentage of a state’s economic wealth (GDP) that is allocated to PreK through 12 public education. The per capita national average is $56,830; Florida spends $12,011 less than that on its kids’ education.
In fact, Florida and Nevada are the only two states to earn an F from the Education Law Center in every single education spending category.
OTHER QUALITY-OF-LIFE INDICATORS: Despite having a fairly high cost-of-living index ranked 23rd in the country, Florida ranks dead last in providing unemployment benefits, giving recipients just $236 a week for just 12 weeks. (The overwhelming majority of states provide benefits for 26 weeks. South Dakota, with the same cost-of-living index number as Florida, gives its residents $318 a week for 26 weeks.)
DeSantis not only fought against raising the state’s minimum wage from $8.65 to $10 an hour — he lost and workers won — he also willfully ignores the rampant wage theft that goes on in Florida when companies pay their workers less than they’re supposed to.
The Florida Policy Institute and Rutgers University’s Center for Innovation in Worker Organization studied wage theft in Florida and found it occurs most often in some of the state’s top industries, including agriculture and food service; personal services such as cosmetologists, hairstylists, and laundry workers; and in administrative jobs.
From 2005 to 2019, for example, farm workers were paid less than the minimum wage 24 percent of the time. Waitresses and waiters were the victims of wage theft 22 percent of the time. Even though many wait staff can earn more than the minimum wage through tips, for those who don’t, their employers are supposed to make up the difference. Too often, they don’t.
And of course, there are race and gender disparities: Women, Black workers, and Latino workers are more likely to be the victims of wage theft than white workers.
Making matters worse, Floridians who work in these types of jobs are more likely to work part time, either because of child care concerns or because the employers won’t put them on full time in order to save money. This wage theft is making lives already lived in poverty even worse.
Have you ever heard DeSantis rage about the injustice of wage theft? Me either.
So how is DeSantis managing Florida’s money? C’mon.
As Time points out, most GOP-run states spend fewer dollars per-capita on health care, public education, and other crucial services compared to Democratic states. Instead, their focus is on tax relief for corporations and wealthy individuals.
DeSantis is following the same playbook, except he’s showboating over the culture wars to divert attention away from his policy of severely underfunding programs that would improve the lives of ordinary citizens so he can maintain low taxes on the wealthy and corporations.
That’s why there’s no income tax in Florida, and why the corporate tax rate is a measly 5.5 percent. In fact, 99 percent of Florida companies pay no corporate taxes, according to a special report by the Orlando Sentinel.
What Florida does have are sales and excise taxes, considered regressive because the poor and middle class end up paying a bigger share of their income than the wealthy.
In a 2018 study, the Institute on Taxation and Economic Policy found that Florida has the third most inequitable tax system of all 50 states and D.C. It has what the institute called an « upside-down » tax structure:
The poorest 20 percent of Florida families — those making less than $18,700 a year — paid 12.7 percent of their income in taxes.
The middle 20 percent — those making $31,500 to $49,500 — paid 8.1 percent.
And the top 1 percent — those making more than $548,700 — paid just 2.3 percent.
If having poor people pay 6x more of their income than the super-rich is okay with you, then vote for DeSantis.
Just be clear on what you’ll be getting. DeSantis merch is already for sale, including a hat with the slogan, « Make America Florida. » I’ll interpret that for you: Make America far sicker, less educated, and much poorer.
It will also be a hell of a lot more dangerous: Last month, DeSantis signed a bill into law that lets adults in Florida carry guns, hidden, without a permit and without any training. On this one-year anniversary of the massacre of 19 kids and two teachers in Uvalde, Texas, rest assured that DeSantis’s brand of the wild, wild swamp means that such mass shootings will only increase.
That, my friends, is DeSantis’s America
@lanaudoise
Merci pour l’infolettre du Boston Globe. 👌
Effectivement, c’est une très bonne analyse de la situation aux States.
Vraiment j’ai lu les commentaires et cela reflète l’ignorance d’un groupe de lecteur habitué sur ce blog qui se croient entre eux et sont dans leur monde, leur vérité fait loi ici avec R.H tous anti républicains sans vraiment connaître ce parti ,leur seul éducation vient des ragots de la gauche anti républicaine…