Le blogue de Richard Hétu

L'Amérique dans tous ses états

« Le monde doit s’unir avant que la possibilité de limiter le réchauffement de la planète à 1,5 degré Celsius ne soit hors de portée. Comme l’indique clairement le GIEC, les effets de la crise climatique, de la chaleur extrême aux incendies de forêt en passant par les pluies intenses et les inondations, ne feront que s’intensifier si nous ne choisissons pas une autre voie pour nous-mêmes et les générations à venir. Ce dont le monde a besoin maintenant, c’est d’une action réelle. »

John Kerry, envoyé spécial de Joe Biden pour le climat, réagissant à la publication à Genève du nouveau rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, qui contient un constat choc : le réchauffement de la planète pourrait atteindre le seuil de +1,5°C autour de 2030, soit dix ans plus tôt que prévu, contribuant à de nouveaux désastres « sans précédent » et à des phénomènes « irréversibles », dont la montée des eaux, l’acidification des océans et la fonte des calottes et glaciers.

P.S. : Commandé par les Nations unies, le rapport du GIEC sort trois mois avant le début des négociations sur le climat de la COP26 prévue à Glasgow, en Écosse. Les pays membres de l’ONU doivent y entamer un processus de révision de leurs engagements de 2015, qui sont nettement insuffisants.

(Photo AP)

68 réflexions sur “La citation du jour

  1. Racza dit :

    Le seul point positif dans ce désastre c’est que la grosse patate orange n’es plus potus…

  2. citoyen dit :

    we need to first thing firster what we need to do.

    1. Labinne2 dit :

      Sans vouloir vous offenser, ça fait 40 ans que nous savons quoi faire et comment le faire…

      1. papitibi dit :

        C’est vrai que certains savent.
        Depuis 40 ans.
        Mais le scepticisme, c’est tellement plus commode!
        Si on se grouille pô le beigne, faites-vous-en pas, Mr. Exxon Mobile, Monsieur Gros VUS bouffe-pétrole, Monsieur le charcuteur des forêts amazoniennes: pourquoi avoir des bélugas et des girafes qui chisent pis qui pollusent, on peut en faire des copies en plastique… Bin moins polluant!

        Anyway, kossé que tu veux pour le Québec? Des trembles pis des épinettes noires qui attirent les moustiques, ou des palmiers pis des beaux arbres avec tout plein d’oranges pis de bananes dedans?

        La Californie, le BC, qu’ils brûlent, anyway des oranges du Québec, ça va coûter moins cher que de les transporter depuis le Sud des USA. Qu’ils brûlent, eux-z-autres, anyway c’est des feufis pis des socialisssses!

    2. gl000001 dit :

      👎👎👎

      1. M.Rustik dit :

        @Papibi, il y a eu même, à l’interne dans les années 80 des rapports qui circulaient chez Shell et Exxon qui parlaient du réchauffement climatique. Il n’y avait pas de doute sur celui-ci dans ces rapports. Je crois même qu’il existe un film/documentaire concernant Shell.

        C’est un 40 ans facile, et on a rien fait… ou presque.

        Pour ma part je crois que l’empreinte humaine est maintenant indélébile. Jusqu’ou ira la profondeur et l’impact de celle-ci reste ma seule question. Fera-t-elle dérailler le modèle climatique ou simplement l’amener plus rapidement vers son sommet? (ou serons-nous capable de « lever le pied »? J’en doute…)
        Dans le premier cas, personne ne sait si au Québec ce sera des palmiers, des déserts, une Terre vénusienne ou une terre boule de neige qui sera le mode dominant.
        Dans le second cas, là c’est plus facile à simuler, et pour la Terre pas trop catastrophique à l’échelle géologique (une autre extinction des espèce, la sixième, probablement une nouvelle végétation dominante par la suite, etc).
        Dans les deux cas, désastreux pour l’humanité.

    3. Bartien dit :

      🤡

  3. Toile dit :

    Le genre humain est ainsi fait: stupide jusqu’au précipice et brillant lorsque la finalité est irrémédiable. Sauf cette fois ( et peut être beaucoup d’autres). La tortue arrivera bonne dernière car mère nature est plus fine qu’elle. C’est toute la chaine qui se dérègle sous nos yeux et nos inerties coupables. Avec ça, entre autre, le gulf Stream, la courroie. La planète risque d’avoir moins de spécimens comme nous. Comme disait feu un cadre, le pire reste à venir. Notre propre turpitude.

    1. jcvirgil dit :

      @Toile

      En effet Gaia a 4 milliards d’années et le projet homo sapiens aurait 300,000 ans selon les derniers estimés.. . Au cours des cent dernières années de son évolution, avec la découverte des hydrocarbures il a sonné sa fin et aujourd’hui il pèse sur le gaz pour l’accélérer.

      Le projet tire à sa fin à moins que …

      1. M.Rustik dit :

        @jcvirgil, cette « fin » d’une espèce dite « intelligente » (technologiquement intelligente du moins) renforcerait la thèse que les extra-terrestres s’autodétruisent à un moment dans leurs avancés technologiques. 😉

        Et cela viendrait donner une réponse, par l’exemple, au paradoxe de Fermi.

    2. M.Rustik dit :

      @Toile une femme m’a déjà dit:
      « L’Humain est capable du pire quand ça va bien et du meilleur quand tout va mal »
      (elle avait ajouté: « je me demande pourquoi on attend toujours d’être dans la marde pour se dépasser »)

  4. Amazonia dit :

    La COP 26: une autre réunion de pompiers pyromanes !

    Et une arnaque pour imposer un modèle de développement aux pays les moins avancés.

    Tous les enjeux liés à l’extension de l’exploitation de l’Amazonie résument assez bien la supercherie. On casse ouvertement burnes à Bolsonaro pour cela. (c’est vrai que c’est tout de même une brute)

    Quand ils se réunissent, c’est toujours pour certifier au grand jour les complots ourdis dans l’ombre.

    1. jcvirgil dit :

      Bolsonoro je le qualifierais plutôt de dangereux criminel environnemental avec sa politique de déboisement de l’Amazonie. Je comprends que le poumon de la terre se retrouve en bonne partie dans son pays et qu’il devrait y avoir des compensations internationales pour la préserver , mais ça devrait être une zone protégée.

      1. A.Talon dit :

        «Je comprends que le poumon de la terre se retrouve en bonne partie dans son pays»

        C’est une erreur couramment commise que de considérer l’Amazonie comme le «poumon de la Terre» alors que celui-ci se trouverait plutôt dans les grandes zones océaniques côtières remplies de phytoplancton. C’est là que se fixerait possiblement la grande partie du CO2 atmosphérique [de 40% à 70% selon une étude récente]. De son côté, l’Amazonie serait plutôt un immense réservoir de biodiversité. Que ce soit en agriculture ou en médecine, notre avenir à long terme dépendra fort probablement de ce genre de banque génétique.

        «Small phytoplankton contribute greatly to CO2-fixation after the diatom bloom in the Southern Ocean»
        *https://www.nature.com/articles/s41396-021-00915-z

        Why the Amazon’s Biodiversity is Critical for the Globe: An Interview with Thomas Lovejoy
        *https://www.worldbank.org/en/news/feature/2019/05/22/why-the-amazons-biodiversity-is-critical-for-the-globe

      2. Amazonia dit :

        @A Talon, effectivement, l’Amazonie n’est pas le poumon de la planète.

        Très sérieusement, je suis à la recherche depuis un an de l’origine de cette affirmations erronée

      3. Benton Fraser dit :

        @Amazonia

        « Très sérieusement, je suis à la recherche depuis un an de l’origine de cette affirmations erronée »

        C’est plutôt comique de votre part, depuis un an vous ne publiez que des affirmations erronées… comme quoi vous en trouvez à la tonne!!!

      4. lanaudoise dit :

        Cependant, la destruction de cet écosystème (à hauteur de 20%) risque de perturber sérieusement le climat de la région.

  5. spritzer dit :

    Quand on regarde ce qui se passe ailleurs, on peut dire que pour l’instant le Québec est épargné, et ce n’est pas juste cette année. Je ne sais pas combien de temps ça va tenir mais on commence à ressembler à une terre d’accueil.

    1. Madalton dit :

      Avec le ralentissement du Gulf Stream, le climat du QC et des Maritimes pourrait se refroidir.

      https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/2021-08-07/le-gulf-stream-pourrait-s-effondrer-soutient-une-etude.php

      1. spritzer dit :

        @Madalton

        Je connais bien le Gulf Steam, enfant j’ai lu sur le sujet dans un Album des Jeunes. Je pense que c’était celui-là. ;:)
        https://www.abebooks.com/Lalbum-jeunes-1964-Collectif-S%C3%A9l%C3%A9ction-ReaderS/21879457031/bd

    2. Achalante dit :

      Les tornades sont de plus en plus courantes au Québec. Nous ne serons pas épargnés. La tempête de verglas, les inondation l’été (comme à Gatineau il y a quelques années), des hivers sans assez de neige qui menace les espèce vivaces plus fragiles, la tordeuse du bourgeon d’épinette et l’agrile du frêne qui se répandent de plus en plus au nord, et les autres insectes nuisibles et maladies qui suivront…Le Québec aura son lot de défis qui aura des répercussions sur notre environnement et notre économie.

  6. Racza dit :

    Autre point positif dans ce rapport;
    La planète pourra s’en remettre mais pas l’homme …

    1. papitibi dit :

      Une fois l’homme mis en cale sèche, le niveau des océans va sans doute cesser de monter.

      We, the TItanic!

      Tiens, un gars de chez-nous pour nous le rappeler (Jacques Michel est né à Bellecombe, aujourd’hui un quartier de Rouyn-Noranda. Une toune de ’71…)

  7. quinlope dit :

    Tout ce qu’il y a de bon là dedans c’est quand Marde a.Lago sera inondée.

  8. citoyen dit :

    ce n’est pas avec des giorgio armani de la chemise déchirée et des al capone médiatique qu’on va aller bien loin.

    1. Bartien dit :

      🤡

  9. Duduche dit :

    Les changements climatiques résultent d’une des sources de pollution humaine mais ça n’est pas la seule.

    L’humain étant ce qu’il est, en moyenne, c’est à dire un grand primate qui a tendance à détruire son environnement pour son confort, la seule manière de lutter efficacement contre l’impact négatif de l’humanité sur la planète est de réduire la population humaine. Historiquement, la limitation de la population se passait par les maladies, famines et guerres, mais comme on a (heureusement) amoindri leurs effets, il faut penser à d’autres avenues: faire moins d’enfants. Le problème est que les obstacles qui s’opposent à une telle transition démographique sont nombreux et concernent des domaines variés des interactions humaines: culturels dont religieux, biologiques, économiques, etc.

    1. Toile dit :

      « il faut penser à d’autres avenues: faire moins d’enfants ».

      Si votre propos s’appliquait auparavant, cette avenue n’est pas désormais réaliste. L’échéance viendra bien avant. Une fois bien enfoncé dans le trou du désastre planétaire…. peut être.

      1. Duduche dit :

        @Toile: il n’y a pas de solution unique à un problème aussi complexe et multifactoriel. Mais, considérant qu’il faut bien commencer quelque part, celle-ci est probablement la plus évidente. Et elle demeurera toujours valable même si ces effets ne peuvent se faire ressentir qu’à long terme.

        « L’échéance » reste abstraite pour beaucoup de gens parce que les humains peuvent s’adapter à des conditions déplorables de vie. Les autres espèces animales, et les végétales, le peuvent beaucoup moins. Malgré sa capacité à prévoir les choses sur le long terme, l’humain accepte souvent les mauvaises décisions s’il a l’impression d’y gagner à court terme.

    2. Robert Giroux dit :

      Ce sont toujours des petits comiques de certaines nations occidentales (championnes mondiales de la consommation à outrance, du gaspillage éhonté des ressources énergétiques et alimentaires de la planète, sans parler de la pollution) qui essaient de faire porter le chapeau au reste du monde en agitant le spectre de la surpopulation!

      Pour ces gens-là… le problème… c’est toujours les autres!!

      Dans la revue Science et Vie (LA FIN DU MONDE), on y affirmait que si tous les êtres humains suivaient le régime nord-américain basé sur la viande, la terre ne pourrait pas nourrir plus de 3 milliards d’habitants mais qu’en suivant une diète presqu’entièrement végétarienne, on pourrait en nourrir au moins 11 milliard!
      Un végétarien consomme environ 200 kg de céréales par an et un carnivore en consomme l’équivalent de 800 kg (considérant toutes les céréales qui ont servi à nourrir les animaux).
      Aujourd’hui, si plus d’un milliard de personnes souffrent de sous-alimentation et de malnutrition dans les pays pauvres, on recense dans les pays riches plus d’un milliard de personnes en surpoids et plus de 300 millions souffrant d’obésité. Cette maladie peut avoir plusieurs causes, dont un régime alimentaire riche en graisses et en sucres, l’absence d’exercice physique, le grignotage entre les repas…

      Le paradoxe du XXIe siècle : des personnes qui ont faim malgré des ressources suffisantes
      Alors que la mécanisation et l’arrivée de la chimie dans l’agriculture a permis d’augmenter les rendements agricoles au cours du XXe siècle, cela n’a pas réglé le problème des famines dans le monde. Le fait que certaines populations n’arrivent pas à manger à leur faim n’est pas dû à un manque de ressources, mais à une mauvaise répartition de celles-ci.
      Si les productions étaient également réparties entre tous les habitants, aujourd’hui, la planète aurait assez de ressources pour tous les nourrir. Selon Sylvie Brunel, géographe et économiste, « le problème de la faim est donc plus un problème de pauvreté et de répartition que de déficit de la production elle-même. En effet, si la production mondiale était également répartie, chaque être humain disposerait de 2 800 calories par personne et par jour, soit plus largement que ses besoins […], cela même en enlevant la part de la production qui va à l’alimentation animale, aux semences et celle qui est perdue, gaspillée ou abîmée … ».

      Comme disait Coluche :
      Dieu a dit un jour, je partage en deux :
      les riches auront la nourriture et les pauvres auront l’appétit!

      « C’est nous, les pays riches, qui polluons le plus. Et les pays qui ont le moins de ressources sont les premières victimes du réchauffement climatique auquel on contribue si fort », dit Diego Creimer. Actuellement, un Québécois émet 9,6 tonnes de CO2 par année. Au Niger — où le taux de fécondité est estimé à près de sept enfants par femme —, chaque Nigérien émet 0,1 tonne de CO2 par année. Les pays du G20, comme le Canada, ont généré à eux seuls 80 % des émissions de gaz à effet de serre en 2018″. 

      1. Duduche dit :

        @Robert Giroux: Il ne s’agit pas de « brandir un spectre » ou de démoniser une (les vilains riches égoïstes gaspilleurs) ou une autre (les vilains pauvres pondeurs d’enfants) partie de l’humanité mais de rappeler un constat indéniable: la population ne peut pas augmenter éternellement dans un espace fini.

        Vous avez raison sur le fait qu’il faut aussi changer les mentalités qui poussent au gaspillage mais diminuer le gaspillage personnel ne fait que repousser le problème si le nombre de gaspilleurs augmente constamment. Même si vous diminuez le taux de gaspillage/pollution par individu, augmenter toujours le nombre d’individus finira par augmenter le gaspillage/pollution. C’est une question d’équilibre entre l’humanité et le reste de la planète, et atteindre cet équilibre en diminuant la population (i.e, en faisant moins d’enfants) lèsera moins de monde qu’une diminution du niveau de vie de chacun.

        Ce qui n’empêche pas qu’on peut faire notre effort pour consommer et gaspiller moins.

      2. Robert Giroux dit :

        « la population ne peut pas augmenter éternellement dans un espace fini. »

        En effet !

        Ca tombe bien car les prévisions sont à la baisse :

        La population mondiale va décliner dès la deuxième moitié du siècle pour atteindre 8,8 milliards en 2100, soit 2 milliards de moins que les projections de l’ONU, selon une étude qui prédit des bouleversements dans l’équilibre mondial et au sein des sociétés.

        Selon le dernier rapport de l’ONU sur la population mondiale, la Terre devrait porter 9,7 milliards d’habitants en 2050 et 10,9 milliards en 2100, contre 7,7 milliards actuellement.

        La nouvelle étude publiée dans The Lancet mercredi remet en cause cette croissance continue au long du XXIe siècle.

        Les chercheurs de l’Institute for Health Metrics and Evaluation à Seattle (IHME), organisme financé par la fondation Bill et Melinda Gates qui fait référence pour ses études mondiales en santé publique, prédisent un pic dès 2064, à 9,7 milliards de personnes, avant un déclin jusqu’à 8,8 milliards en 2100.

        Ce déclin sera lié en grande partie au développement de l’éducation des filles et de l’accès à la contraception qui va faire baisser le taux de fécondité à 1,66 enfant par femme en 2100 contre 2,37 aujourd’hui, selon l’étude. Une chute de la fécondité beaucoup plus rapide que ce que prévoit l’ONU.

        https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1719804/humain-population-onu-ihme-fecondite-demographie

  10. Louise dit :

    C’est la catastrophe un peu partout autour du monde. On parle, on parle mais il ne se fait pas grand chose.
    Il y a quarante ans on parlait de réchauffement climatique après on a parlé de changements climatiques et maintenant on parle d’urgence climatique et la réponse reste très en dessous de ce qu’il faudrait faire.
    Moi qui suis de nature optimiste, je ne crois plus à la bonne volonté et la solidarité des citoyens et des gouvernements pour agir.

    S’il y a de l’argent à faire, l’entreprise privée va embarquer pour des projets à portée limitée.
    Mais il faudrait beaucoup plus que cela. Il faut une mobilisation de tous les gouvernements au niveau planétaire. Malheureusement je crois bien qu’il faudra en arriver à des mesure coercitives pour obliger tout le monde à faire sa part.
    On sait qu’il y a une force qui pousse l’être humain à résister au changement surtout quand cela comporte des modifications de comportement qui exigent des efforts.
    La loi de l’inertie est en train de nous tuer.

  11. Toile dit :

    Diffusé en1983, le film « the day after » était apocalyptique. L’errance des survivants. On est pas mal rendu là. Viendront sûrement en premier, les réfugiés climatiques. 20 millions sont dejà en liste annuellement. Ces flux migratoires liées au climat sont plus importantes que celles liées aux conflits et aux guerres. Ce chiffre va monter en flèche alors que la famine sera le lot de ceux restés sur place. Les experts estiment que jusqu’à un milliard d’êtres humains pourraient migrer en raison des changements climatiques d’ici 2050. Bref, me disait en voyant le film bonne chance aux vendeurs d’assurance itinérant qui oserait te proposer un contrat.

  12. A.Talon dit :

    «la COP26 prévue à Glasgow, en Écosse»

    Tiens, elle ne devait pas avoir lieu à M*rde-au-Lagon, celle-là? 😉

  13. Apocalypse dit :

    Premier billet de la semaine et la dive bouteille est déjà sur le coin de la … table, OUCH! 😱

    Comme on l’a dit ci-dessus, ça fait quarante(40) ans qu’on parle de ce problème et toujours à peu près rien de fait; lorsqu’on est un peu plus audacieux, c’est pour des horizons de 15, 20 ou 30 ans, autrement dit, on travaille pour des votes dans le court terme.

    Je fais partie des pessimistes. Imaginer, nous sommes à compléter une 2ième année avec un problème nettement plus facile, soit celui de la Covid-19 et on voit une réponse de plus en plus délirante face à cette problématique, alors est-ce qu’il y a quelqu’un qui pense que l’humanité va se coordonner pour lutter avec succès contre le pire des changements climatiques, si oui, deviner ce que j’ai à vous vendre? 🤔

    Cette année, on voit des événements climatiques extrêmes aux quatre coins de la planète, ce qui inquiète les scientifiques, et ça tarde toujours à réagir avec force. Peut-être faudrait-il un événement EXTREME associé à une multitude de morts pour enfin réveiller l’humanité et encore là…

    On risque fort de devoir s’adapter à une nouvelle réalité, soit celle de vivre dans un environnement nettement plus hostile aux êtres humains et les générations futures – du moins, le temps qu’il y en aura – vont nous maudire pour avoir détruit ce bijou qu’est cette planète Terre. 👿

  14. Apocalypse dit :

    @A.Talon – 08:52

    SVP lorsqu’on parle de quelque chose d’autre – ce qui fait du bien – pourrait-on s’en tenir à ce sujet 😏.

    1. A.Talon dit :

      «The most consequential impact of Trump’s climate policies? Wasted time.»
      *https://www.nationalgeographic.com/environment/article/most-consequential-impact-of-trumps-climate-policies-wasted-time

      The Trump Administration Rolled Back More Than 100 Environmental Rules. Here’s the Full List.
      *https://www.nytimes.com/interactive/2020/climate/trump-environment-rollbacks-list.html

      «What is the Trump administration’s track record on the environment?»
      *https://www.brookings.edu/policy2020/votervital/what-is-the-trump-administrations-track-record-on-the-environment/

      «US Elections 2020: A history of Trump’s climate change denial»
      *https://www.downtoearth.org.in/news/climate-change/us-elections-2020-a-history-of-trump-s-climate-change-denial-74075

      «Trump Administration Hardens Its Attack on Climate Science»
      *https://www.nytimes.com/2019/05/27/us/politics/trump-climate-science.html

      Etc, etc, etc…

      1. gl000001 dit :

        A midi et une minute le jour de sa petite inauguration, tous ce qui mentionnait « réchauffement climatique » a disparu des sites web du gouvernement !!

      2. Haïku dit :

        gl000001
        Ouch !!
        Bon rappel.

  15. jcvirgil dit :

    Nous sommes rendu au point de la grande réinitialisation (great reset) dont ont fait mention le prince Charles et Klaus Schawb grand gourou de l’Union européenne et directeur du Forum économique mondial.

    Si on enlève son côté théorie du complot qui voudrait que les dirigeants mondiaux aient planifié une pandémie, laissant délibérément le coronavirus se répandre pour créer les conditions d’une restructuration des gouvernements du monde, Klaus Schwab a quand même affirmé : « la crise du Covid-19 représente une grande opportunité pour réformer le système », ce qu’il explique aussi dans son livre, La 4e révolution industrielle.
    Elle correspond dans les grandes lignes à celle du *Green new deal* » dont les progressistes américains font la promotion..

    Alors préparons nous à des changements en espérant que le contrôle des populations par une élite prédatrice ne fasse pas partie de ce nouveau monde ….qui ressemblerait à un mélange des romans 1984 de George Orwell et le *Meilleur des mondes* de Aldous Huxley . ..

    https://fr.wikipedia.org/wiki/La_grande_r%C3%A9initialisation

  16. Apocalypse dit :

    @Louise – 08:03

    ‘C’est la catastrophe un peu partout autour du monde. On parle, on parle mais il ne se fait pas grand chose.’

    Exactement, on voit des événements extrêmes partout et on parle, on parle, on parle…

    J’ai lu des scientifiques qui pensent qu’il est déjà trop tard, alors rien pour aider mon pessimisme face à ce problème des changements climatiques. 😭

    A moins que quelqu’un arrive avec une solution miracle, nous devrons vivre avec ce problème, car je ne crois pas UNE seule seconde que toute l’humanité va s’y mettre pour surmonter et trouver une solution.

  17. Alexander dit :

    L’être humain est bête mais il a un fort instinct de survie.

    Avec le COVID, il a fini par s’organiser pour faire face à la bibitte. Mais passé la période d’attente, le vaccin à date semble la solution au problème. Un problème, une solution: binaire et facile à comprendre.

    Les dérèglements climatiques, c’est autre chose. Ça a beaucoup de causes et nécessite une action multiple pas mal plus étendue que le port du masque, le lavage des mains et la sacro-sainte distanciation.

    Ça nécessite de comprendre en détails les causes du dérèglement. Oui, la couche d’ozone, mais il faut que les scientifiques poussent leur analyse bien plus loin. Car si c’est la société de consommation qui est en cause, ça nécessite des changements fondamentaux dans notre façon de vivre.

    Oui, l’auto électrique, oui le télétravail pour éviter la pollution par émanation de carbone, mais il faut pointer plus en détail les causes et leur origine et un effort mondial. Si la Chine et l’Inde n’emboîtent pas le pas aux pays industrialisés de l’ouest, ça ne marchera pas. Si le Brésil continue à saccager sa forêt, ça ne marchera pas. Et s’il est vrai que l’élevage est grande source de pollution, faut changer les habitudes alimentaires.

    Mais là, on s’attaque aux fondements de notre façon de vivre, pas juste à l’accès à nos divertissements.

    Et une fois les causes biens identifiées, les solutions devront être imposées, comme le futur passeport vaccinal le sera.

    L’être humain est bête, mais il rentrera dans le rang si on impose des solutions intelligentes.

    Mais le très grand défi est de coordonner cet effort sur toute notre petite planète, et vite.

    Tant qu’on ne verra que des discours creux et électoralistes, rien ne changera, les glaciers continueront à fondre, les forêts brûler et le reste.

    Nos grands dirigeants doivent montrer qu’ils ont des couilles et qu’ils peuvent passer outre leurs antagonismes et penser pour la protection de la planète.

    Pas facile quand on voit le clivage honteux dans un grand pays comme les EU.

    Imaginez unir la planète pour sa survie, sans penser élections.

    Pas facile de piler sur son orgueil.

  18. jeanfrancoiscouture dit :

    Bof! y’a rien là. Bezos, Musk et Branson, -ces nouveaux Marco-Polo, ou Christophe Colomb ou Champlain ou je ne sais pas trop qui-, vont nous conduire sur Mars ou sur une exoplanète habitable……..à condition, bien entendu, que l’on ait le cash requis…..ou su obtenir une subvention PCU, oups! scuzez, PCII (Programme canadien d’Immigration interplanétaire)

    1. Haïku dit :

      Superbe ! 😂👌

  19. Robert Giroux dit :

    Etats-Unis (2018) : un rapport officiel sur le climat contredit les positions de Donald Trump…

    Les scientifiques américains concluent que les effets négatifs du réchauffement sur l’économie
    vont s’aggraver faute de mesures drastiques pour réduire les émissions des gaz à effet de serre.

    Rédigé par plus de 300 experts venant de treize agences fédérales américaines,
    le « National Climate Assessment » est une « évaluation » annuelle mandatée par le Congrès américain.

    « Vu le niveau historique des émissions de gaz à effet de serre, conclut ce texte de plus de 1000 pages,
    les pertes aux Etats-Unis pourraient atteindre des centaines de milliards de dollars dans plusieurs secteurs d’ici la fin du siècle. »

    «Des preuves claires et irréfutables»
    Niant toute interférence extérieure dans le rapport, David Easterling, un responsable scientifique de la NOAA, évoque « des preuves claires et irréfutables que la température mondiale moyenne est beaucoup plus élevée et augmente plus rapidement que constaté jusque-là dans la civilisation moderne » et met en garde contre « des dégâts considérables pour l’économie américaine ».
    Il ajoute que « le niveau de la mer continue d’augmenter, et des événements extrêmes
    comme des pluies torrentielles et des inondations se manifestent de plus en plus souvent sur la planète ».
    Ce rapport prévient aussi qu’il est « très probable que des impacts physiques et écologiques
    seront irréversibles pour des milliers d’années tandis que d’autres seront permanents ».

    Quelques conclusions de ce rapport:

    US National Climate Assessment (2018)
    The quadrennial report, the combined work of 13 federal agencies, was released by the Trump administration on the day after Thanksgiving. Scientists who worked on the report said their research was not watered down but claimed the release was timed to bury the findings during the holiday season.
    Just a few conclusions from that report:
    – Average sea levels along the US coast have increased by around 9in since the early 20th century as the oceans have warmed and land ice has melted. If emissions are not constrained, “many coastal communities will be transformed by the latter part of this century”.
    – Fisheries, tourism, human health and public safety are being “transformed, degraded or lost due in part to climate change impacts, particularly sea level rise and higher numbers of extreme weather events”.
    – Wildfires have burned at least 3.7m acres in the US in all but three years from 2000 to 2016. “More frequent and larger wildfires, combined with increasing development at the wildland-urban interface portend increasing risks to property and human life,” the report states.
    – More than 100m people in the US live in places with poor air quality and climate change will “worsen existing air pollution levels”. Increased wildfire smoke risks heightening respiratory and cardiovascular problems, while the prevalence of asthma and hay fever is also likely to rise.
    – Major groundwater supplies have declined over the last century, with this decrease accelerating since 2001. “Significant changes in water quantity and quality are evident across the country,” the report finds.
    – Climate change will “disrupt many areas of life” by hurting the US economy, affecting trade and exacerbating overseas conflicts. Low-income and marginalized communities will be worst hit.
    https://nca2018.globalchange.gov/

  20. Robert Giroux dit :

    « L’Homme est la plus folle des espèces. Il vénére un Dieu invisible et détruit une Nature visible,
    inconscient du fait que cette Nature qu’il détruit est ce Dieu qu’il adore. »

    « Les humains sont en guerre contre la Nature. S’ils gagnent, l’humanité est perdue. »

    1. gigido66 dit :

      Un constat malheureusement indéniable!

  21. Robert Giroux dit :

    Les changements climatiques de la glace et des océans de la Terre
    sont désormais «irréversibles pendant des siècles à des millénaires», selon un nouveau rapport

    La Terre ne sera plus la même avant des milliers d’années. Les activités humaines ont tellement altéré les systèmes de notre planète que les mers continueront de monter et les glaciers continueront de fondre bien après le 21e siècle.

    C’est selon un rapport tant attendu, publié lundi, du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat – un organisme des Nations Unies qui recrute des centaines de scientifiques du monde entier pour résumer des années de recherche sur la crise climatique.
    Cette recherche agrégée brosse un portrait consternant de l’avenir à long terme de notre planète et des impacts à court terme du changement climatique, y compris des conditions météorologiques de plus en plus extrêmes. En brûlant des combustibles fossiles, les humains ont pompé tellement de dioxyde de carbone dans l’atmosphère terrestre qu’il continuerait à chauffer la planète même si les émissions mondiales tombaient à zéro aujourd’hui.

    Ce réchauffement engage la Terre dans des bouleversements majeurs au cours des prochaines décennies – montée des mers, disparition des glaciers, chaleur extrême, inondations, sécheresse et tempêtes tropicales. Certains de ces changements, selon le rapport du GIEC, seront « irréversibles pendant des siècles voire des millénaires ».
    Les glaciers fondront et les mers monteront pour les millénaires à venir
    Déjà, l’Arctique perd son pergélisol, une couche de sol qui restait gelée toute l’année. Cette couche gelée a capturé le carbone des plantes et des animaux morts au cours des siècles passés, soit environ deux fois plus de carbone qu’il n’en existe actuellement dans l’atmosphère.

    Cependant, à mesure que la hausse des températures fait fondre le pergélisol, ce carbone s’échappe dans l’atmosphère, où il piège la chaleur et contribue à un réchauffement supplémentaire. Cette libération de carbone pourrait durer des centaines d’années, selon le GIEC.

    Les changements dans les océans de la Terre sont également « irréversibles sur des échelles de temps du centenaire au millénaire », selon le rapport. Les océans ont absorbé environ 31 % des émissions de dioxyde de carbone, ce qui les rend plus acides. Ils se réchauffent également avec le reste de la planète. Une eau plus chaude contient moins d’oxygène, une ressource essentielle à la vie marine.
    Le réchauffement maintiendra également la fonte des glaciers aux pôles et au sommet des montagnes pendant des décennies, voire des siècles, selon le rapport. Si les émissions augmentent encore, certaines preuves limitées suggèrent que la fonte de la calotte glaciaire de l’Antarctique pourrait s’accélérer pendant des siècles.

    Toute cette fonte des glaces contribuerait à encore plus d’élévation du niveau de la mer. Au cours des 2 000 prochaines années, les océans pourraient monter jusqu’à 72 pieds. Le rapport du GIEC affirme avec « une grande confiance » que le niveau de la mer « restera élevé pendant des milliers d’années ».

    Autres enseignements du rapport du GIEC

    L’ONU a créé le GIEC en 1988 pour informer les décideurs politiques sur l’évolution du climat. Il s’agit de sa sixième évaluation climatique.
    Pour ces rapports, des centaines de scientifiques du monde entier passent au peigne fin des milliers d’articles scientifiques. Ils décrivent comment le climat change, les conséquences de ces changements, les risques pour l’avenir et ce qui peut être fait.

    Le rapport de lundi est la première partie de la nouvelle évaluation du GIEC, et il provient d’un groupe de travail qui n’avait pas publié de nouvelles conclusions depuis 2013. Cette partie intervient trois mois avant les pourparlers climatiques prévus à Glasgow, en Écosse. Les deux prochaines parties du rapport sont attendues début 2022. Les gouvernements de 195 pays doivent approuver chacune d’elles avant sa publication.

    Voici d’autres éléments clés du nouveau rapport du GIEC :

    La température moyenne mondiale de 2001 à 2020 était d’environ 1 degré Celsius plus élevée qu’elle ne l’était de 1850 à 1900.
    Le niveau mondial moyen de la mer a augmenté d’environ un demi-pied (0,2 mètre) de 1901 à 2018. Le taux d’élévation annuelle du niveau de la mer a presque triplé au cours de cette période.
    En 2019, la concentration de carbone dans l’atmosphère était plus élevée qu’à tout autre moment depuis au moins 2 millions d’années. Les concentrations de méthane et d’oxyde nitreux – des gaz à effet de serre plus puissants que le CO2 – étaient plus élevées qu’à tout moment depuis au moins 800 000 ans.
    Les niveaux moyens annuels de glace de mer dans l’Arctique de 2001 à 2020 étaient à leur plus bas depuis 1850, et l’Arctique connaîtra probablement un mois de septembre sans glace de mer au moins une fois avant 2050.
    Les grands cyclones tropicaux, les vagues de chaleur et les fortes précipitations ont augmenté en fréquence dans le monde au cours des quatre dernières décennies.
    Des combinaisons d’événements extrêmes tels que de fortes précipitations et des ondes de tempête causées par des ouragans, associées à l’élévation du niveau de la mer, continueront de rendre les inondations plus probables au cours des prochaines décennies.
    La circulation méridienne de renversement de l’Atlantique, un courant océanique qui transporte de l’eau chaude vers le nord et de l’eau froide vers le sud, s’affaiblit. Si le courant ralentissait suffisamment, l’Europe et la côte est des États-Unis seraient frappées par des températures glaciales.

  22. Pierre S. dit :

    ————-

    Dans ce cas ci, le virus, c’est l’homme.
    Comme quoi, la cure sera plutôt difficile à appliquer.

  23. Haïku dit :

    -« Le concept de réchauffement climatique a été créé par et pour les Chinois
    dans le but de rendre l’industrie américaine non-compétitive. »(Donald Trump).

    -« Il paraît que le réchauffement est amorcé
    et pourtant ma facture de chauffage n’arrête pas d’augmenter. »(J-P Colpaert)

    -« La Planète éternue, le réchauffement organisé lui donne des bouffées de chaleur.
    Cependant elle entame sa ménopause. Adieu la fertilité ! »(Salahbk).

    1. Robert Giroux dit :

      « Les arbres causent plus de pollution que les voitures. » – Ronald « trickle down » Reagan

      1. Madalton dit :

        Maxime Bernier qui dit que le CO2 n’est pas de la pollution car c’est ce qui sort de notre bouche…

        https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1131813/maxime-bernier-croit-co2-pas-pollution

      2. Haïku dit :

        @Robert Giroux et
        @Madalton

        Bonnes répliques !! 😂👌

  24. gigido66 dit :

    Mère Nature ne fait que réagir à un dérèglement.
    Ici, il est causé par l’être humain.

    De tout temps, quand il y a dérèglement, il y a une réponse drastique pour corriger le tir.

    Si, à un moment donné, la population dans une espèce animale est devenue trop nombreuse, des animaux du groupe meurent pour cause de malnutrition ou autres causes naturelles, quand la culture maraîchère devient une monoculture, elle est vouée à dépérir à cause des maladies ou des insectes ravageurs, quand l’hoomme devient trop gourmand et/ou trop nombreux, certains virus ou épidémies surviennent…
    Et comme ici, quand l’Homme ambitionne sur les ressources ou s’entête à agir contre le bon sens, le climat se dérègle…malheureusement la politique, l’ambition et la cupidité sont les grands coupables de cet état planétaire.
    L’Homme chemine sur la pente destructrice de son espèce et de beaucoup d’autres. Les coquerelles ou les termites nous remplaceront et la planète, elle, survivra.

  25. Apocalypse dit :

    @Robert Giroux – 10:04

    Merci pour les infos qui sont déprimantes à la puissance … 1000! 😱😱😱

  26. simonolivier dit :

    M. Hétu, suggestion pour une Citation du jour II. Intervenant sur Fox samedi soir il a déclaré « can you imagine if I was President and we had this massive attack from the coronavirus. » Il a continué en disant que les gens auraient été plus méchant avec lui qu’Ils ne le sont avec Biden. Le gros plouc fait dans le trouble cognitif? Il semble oublé que près de 500,000 Américains sont morts pendant son « règne » En fait, il semble avoir oublié qu’il a été Président.

    1. gl000001 dit :

      « les gens auraient été plus méchant avec lui »
      C’est vrai. Ils l’ont été. Et ça n’a rien changé à sa façon de faire. Il a laissé mourir les gens !!

    2. Benton Fraser dit :

      C’est que Trump a été le président le plus méchant avec l’ensemble des américains… et du monde!

    3. jeani dit :

      La chose a probablement oublié de s’essuyer lors de son numéro 2, juste avant l’entrevue.

      Retirer le surplus de maquillage orange avec du papier de toilette, ce n’est pas ce que tu devais faire mon épais!

    4. Madalton dit :

      Pire, 610 k morts.

    5. jeanfrancoiscouture dit :

      @simonolivier: «En fait, il semble avoir oublié qu’il a été Président.»

      Peut-être mais le bougre ne semble pas près d’oublier qu’il a envie de le redevenir. 🙁

  27. le plus ironique est que la planète pourrait bien s’occuper du réchauffement elle-même en ralentissant le gulf stream au point de créer une ère glaciaire… ce qui serait tout aussi emmerdant que le réchauffement climatique…

    1. M.Rustik dit :

      @Lechatderuelle, j’aime bien cette hypothèse du Golf Stream qui change. D’ailleurs, il y a aussi les courants océaniques qui pourraient amener une terre boule de neige, comme une chaleur intenable.

      Et nos modèles ne sont pas parfait, ils donnent une idée générale, souvent qui manquent les subtilités du court terme, comme le renforcement des alizées du Pacifique… ici un « oubli » qui ne modifie pas les conclusions finales (et qui est aujourd’hui intégré aux modèles), mais rien ne dit qu’une « réaction de la Terre » ne viendra pas tout empirer plus rapidement.
      https://sciencepost.fr/lintensification-des-alizes-dans-le-pacifique-une-evolution-intrigante-enfin-elucidee/

      Alors, nous avons la chance d’observer une expérience unique qui ne sera pas reproduisible de si tôt! Soyons d’efficaces laborantins, ne modifions rien et observons! (sarcasme)

      1. gl000001 dit :

        Un républicain a dit qu’on pourrait peut-être changer l’orbite de la Lune ou même celle de la Terre pour diminuer les effets du réchauffement. Je m’en remets à sa décision. C’est la plus simple parce que seule la NASA peut le faire. Pour le reste, c’est business as usual. Peut-être se cramponner un peu lorsque la Terra va changer d’orbite.
        😉

  28. Haïku dit :

    « Je choisirai le paradis pour le climat, et l’enfer pour la compagnie. »
    (Mark Twain).

    1. Robert Giroux dit :

      « Je ne voudrais pas d’un paradis où l’on n’eût pas le droit de préférer l’enfer. »
      (Jean Rostand / Pensées d’un biologiste)

    2. spritzer dit :

      On est supposé être impressionné par ces citations ? 😉

Répondre à HaïkuAnnuler la réponse.

En savoir plus sur Le blogue de Richard Hétu

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading