Avant la rénovation du Madison Square Garden, les journalistes de la presse écrite des équipes locale et visiteuse suivaient les matchs de hockey depuis une tribune située dans un coin de patinoire, en plein milieu de la foule. Je m’y trouvais, tout jeune journaliste, lors du troisième match de la demi-finale de 1986 opposant le Canadien aux Rangers de New York.
Je ne me souviens pas d’une foule plus bruyante, d’un gardien plus spectaculaire, d’un match plus électrisant. Madison Square Garden, the world most famous arena, avait déjà été le théâtre de grands moments sportifs. Patrick Roy en avait ajouté un autre en repoussant 44 tirs, de façon souvent spectaculaire, et en permettant la tenue d’une période de prolongation dont Claude Lemieux allait être le héros.
Je ne peux pas dire que cette série, prélude à une 23e conquête de la Coupe Stanley par le Canadien, a joué un rôle décisif dans ma décision de retourner à New York pour y vivre. Mais il y avait dans ces soirées passées au MSG au cours des séries de 1986 quelque chose de magique qui me semble encore aujourd’hui indissociable à cette ville où j’ai fini par m’installer en 1994…
Et nous voici arrivés à la dernière journée de l’avant-dernière campagne de financement de ce blogue en 2021, au cours de laquelle nous avons ressassé nos souvenirs de la Coupe Stanley. Un immense merci à tous ceux et celles qui y ont contribué, de même qu’aux autres qui le feront d’ici la fin de la journée.
(Photo capture d’écran)
J’ai fait trois sejours à Manhattan et bien entendu, je ne pouvais manquer d’assister à une comédie musicale. Miss Saigon, pas la meilleure, mais assez pour me satisfaire.
Pour ce qui est de « the world most famous arena », ben oui, chose! ( je parle des Etats-Uniens)
M. Hétu a bien raison.
Pour y avoir fait quelques séjours notamment pour assiter à des matchs de baseball des Yankees et des Mets, visiter le Musée d’Histoire Naturelle, etc. NYC est une ville fascinante.
Prendre le métro à NYC est une expérience particulière qui n’a rien à voir avec celui qu’on retrouve à Montréal par exemple.
Une fois cette foutue pandémie derrière nous, je me promets bien d’y retourner.
Pour revenir au match dont M. Hétu nous parle, Roy avait été fantastique. Un des plus grandes performances de sa carrière.
En prolongation, il avait littérallement « volé le spectacle » avec des arrêts incroyables.
Il a permis au CH de tenir le coup et de se sauver avec la victoire grâce au but de Lemieux.
Merci à M. Hétu de nous rappeler tous ces beaux souvenirs des séries de la Coupe Stanley impliquant le CH.
Si l’équipe remporte le « St-Graal » cette année, il aura d’autres belles anecdotes à nous raconter.
HS
Analyse intéressante de la nouvelle dynamique à la SCOTUS avec toutes les nominations faites par LA CHOSE.
https://www.cnn.com/2021/06/18/politics/roberts-kavanaugh-barrett-supreme-court/index.html
J’ai l’impression qu’on pourrait avoir des décisions « surprenantes » au cours des prochains mois.
Qui aurait prédit que l’Obamacare survivrait avec un vote de 7 vs 2.
À suivre.
Le hockey
On dit souvent que la victoire d’un match est la performance d’un joueur, qui devient l’étoile du match. On parle du gardien de but ou d’un attaquant qui accumule les buts.
Les autres? À part peut-être les deuxième et troisième étoiles, on n’en parle pas (ou peu). Ils ne sont pourtant pas des pions!
Le hockey piton
Au hockey piton, la performance d’un seul joueur fait la victoire d’un match. Les autres ne sont que ses pitons!
Mes meilleurs pitons étaient l’attaquant centre et l’ailier droit. Véritable travail d’équipe, l’ailier droit faisait une passe au centre, et le but!
À quelques exceptions près (parfois le centre passait à l’ailier, et le but!), c’était toujours le même stratagème, imbattable, insurmontable : l’ailier droit faisait une passe au centre, et le but!
Et je devenais l’étoile de la soirée!
J’ai trimballé ce jeu de hockey piton toute ma jeunesse jusqu’à l’université. Ça devait être ma quête des étoiles!
Je le sortais durant la saison des éliminatoires, en pleine fin de session. L’ambiance y était à son comble, on avait la fièvre du hockey et on mettait la pression de nos études sur la glace! À coup de pitons!
L’ailier droit faisait une passe au centre, et le but!
La puck passait par là, mon étoile ne pâlissait pas!
L’univers du hockey. Avec ses vraies étoiles qui ont brillamment illuminé nos belles « soirées du hockey », avec ses dérivés, ses figurines, ses cartes à collectionner, ses ligues de garage ou de hockey-bottines…
Avec mon hockey piton, et mon ailier droit qui faisait une passe au centre (et le but!), je n’étais qu’une petite étoile filante dans cette grande galaxie!
P. S. : J’affûte mes patins et je vous passe la rondelle, monsieur Hétu!
Êtes-vous centre ou ailier? 😉
J’ai googlé « hockey piton » et ça m’a ramené ici à votre commentaire (et à Claude « piton » Ruel). Je suis curieux … c’est quoi le hockey piton ?
Mieux connu sous le nom de jeu de hockey sur table. Des heures de plaisir!
Ha !!! Je vois. Nous, on jouait avec une bille. Une fois, la bille est sortie du jeu pas mal vite et mon cousin a failli l’avaler.
J’en ai encore un. L’humiliation que j’inflige à mon fils de 30 ans lorsque nous jouons très *rarement*.
Remarquez que je le comprend le pauvre, il est plus à l’aise avec ses pouces sur son téléphone ! 😉
Une autre HS.
Article intéressant qui tente de donner des explications sur le faible taux de vaccination dans certains États ( Mississipi, Alabama. Louisiane, etc.)
https://www.cnn.com/2021/06/17/opinions/low-vaccination-rate-in-the-south-sepkowitz/index.html
Je suis allé quelques fois à Manhattan dont une fois au MSG pour le spectacle Wintuk du Cirque du soleil qui était présenté dans une autre salle et non au 4e étage où se situe la patinoire. Une autre fois, j’en ai profité pour aller voir le spectacle du Cirque Soleil, Zarkana, au Radio City Music Hall. J’ai assisté aussi à quelques pièces sur Broadway à un de mes 1ers séjours en 1987. Ville magique où il est plaisant de déambuler dans les divers quartiers.
Pour le hockey, j’ai assisté au 50e but de Mike Bossy, en janvier 1981, contre les Nordiques, au Nassau Coliseum. Pas mal moins glamour que le MSG.
Typique des états-uniens. Madison square garden; «the world most famous arena.»
Ben oui chose…
Et ça c’est un cossin ? https://pix.cyber-nux.fr/upload/original/1624032973.jpg
Du temps que je vivais à Trois-Rivières, j’utilisais le mot « cossin ».
On m’avait dit que ce mot provenait de cette région. Suis-je dans l’erreur?
Je viens de très-basses Laurentides et on utilisait le mot il y a 50 ans … minimum !
Il serait utilisé dans certaines régions en France.
http://projetbabel.org/forum/viewtopic.php?t=12187
Il me semble qu’il est utilisé également en Acadie.
En Mauricie il y a une très forte présence de descendants acadiens, particulièrement près de Yamachiche.
HS, les Évêques catholiques des ÉU ont passé une proposition pour empêcher Biden de communier puisqu’il est pour l’avortement.
Trump, lui peut continuer à communier.🤔
Non mais….c’est absolument ridicule !!!
Les évêques catholiques sont les nouveaux Ayatollah !!
Ils devraient se contenter de parler de ce qu’ils connaissent : la masturbation et le pognage de cul des petits gars !!
Mouhahaha…
Mike Pence vient de se faire hier par la très évangéliste Faith & Freedom Coalition Summit .
Traitor ! Qu’ils lui ont dit
Gang d’ ingrats
En vidéo !! C’est le t**** derangement syndrome !! Ca sera dur pour lui jusqu’en 2024 comme disent les commentateurs !
https://www.cnn.com/videos/politics/2021/06/18/mike-pence-heckled-at-conservative-conference-vpx.cnn
Hier= huer
@treblig,
Je croyais vous vouliez écrire chier.
C’est fait mon Richard! Continue ton bon travail toujours intéressant
, mêmes l’agent orange n’y est plus!
Contribution complétée! Merci pour tout, monsieur Hétu!
Même si je ne participe plus régulièrement, je continue à vous lire à tous les jours ainsi qu’à lire et apprécier les nombreux commentaires intéressants des participant.e.s. Longue vie au blogue!