Le blogue de Richard Hétu

L'Amérique dans tous ses états

L’histoire est racontée dans Lucky, un nouveau livre sur la campagne présidentielle de Joe Biden écrit par le duo Jonathan Allen et Amie Parnes, auquel on doit déjà deux livres sur Hillary Clinton. Elle rappelle la colère des conseillers du candidat démocrate lorsqu’ils ont reçu la vidéo d’un discours d’Andrew Cuomo qui devait être diffusée pendant la convention démocrate.

L’équipe de Biden s’attendait à ce que le gouverneur de New York utilise le prestige dont il jouissait encore à l’époque pour expliquer que le plan du porte-étendard démocrate pour lutter contre la pandémie de coronavirus était ce dont les États-Unis avaient besoin pour se sortir de la crise sanitaire. Or, ils ont reçu à la dernière minute une vidéo de cinq minutes au cours de laquelle Cuomo vantait sa gestion de la pandémie et ne prononçait pas le nom de Biden avant les dix dernières secondes.

Ils ont demandé à Cuomo de refaire la vidéo. Ils ont reçu cette réponse : «Non.»

En présentant l’anecdote, les auteurs de Lucky écrivent le passage suivant au sujet de Cuomo, qui n’en était pas à ses premiers caprices de prima donna : «Tous les quatre ans, les démocrates se posent la même question au sujet du gouverneur de New York […] : ‟Comment Andrew Cuomo va-t-il nous f… cette fois-ci?”»

Ils n’auront peut-être pas à se poser la question en 2024.

(Photos Fox News)

46 réflexions sur “Quand Cuomo exaspérait le camp Biden

  1. jeani dit :

    Ça me rappelle quelqu’un, dont j’ai oublié le nom, qui avait l’habitude de parler de moi, moi, moi…

    Je tente de fouiller dans ma mémoire et il est possible que je vous revienne avec le nom.

    1. Layla dit :

      @Jeani
      Quand on a de la difficulté à trouver un nom, un bon truc énumérer les lettres de l’alphabet, rendu à D vous devriez être sur une bonne piste 😉😜

      1. jeani dit :

        Avec l’aide de Layla et MathRob, ça me revient. Ça ne sent pas bon!

      2. Layla dit :

        @Jeani
        Toujours un plaisir de me rendre utile😜

    2. MathRob dit :

      Un autre New-Yorkais.

  2. Jacques dit :

    Hey, Andrew, juste un conseil.

    Crache vers le sol, c’est pas mal plus sécuritaire.

  3. Pierre S. dit :

    ———————–

    Cuomo est un communicateur redoutable, intelligent et surtout, opportuniste …
    mais son égo démesuré et son grave manque de jugement et de civilité le place dans la même
    catégorie que Trump en matière de savoir vivre.

    Pour ce qui est de l,aspect criminel, il y aura enquête et il devra répondre de ses actes.
    Car lui contrairement à l,autre, il possède un minimum de courage et d’orgueil.

  4. jcvirgil dit :

    Aurait-on enfin la raison pour laquelle il est présentement l’homme à abattre pour la direction nationale du parti démocrate , comme le montre la campagne menée contre lui par leur organe médiatique du New-York Times ?

    1. @JCvirgil Je pense que oui, on ne veut pas que Kamala soit « challengée » pour l’investiture de 2024. La dernière phrase du billet a allumé ma lumière lol

      1. jcvirgil dit :

        @Jacques St-Jacques

        Dans le fond ils organisent des primaires pour rien.

        Ils auraient seulement à désigner leur candidat à la présidence et le tour serait joué, puisqu’ils s’arrangent pour éliminer tous ceux qui ne viennent pas du sérail que ce soit Sanders, Cuomo ou autre.

      2. el_kabong dit :

        @jcvirgil

        Vous pourriez m’indiquer qui sont ces « ils » mystérieux dont vous parlez?
        Et comment « ils » se sont « arrangés » pour « éliminer » la vingtaine de candidats démocrates qu’il y avait au début des primaires de 2020?
        (probablement avec les machines à voter de Dominion qui peuvent changer magiquement les résultats)

      3. Igreck dit :

        Le DeepStateOfThem ou DeepStateOfDems ⁉️

    2. Achalante dit :

      Quand quelqu’un n’est pas un joueur d’équipe, c’est toujours mauvais pour l’équipe, peu importe la qualité du joueur.

  5. Pierre S. dit :

    —————————-

    Dire que certains le voyait à la MB pour le présent mandat …..
    Les américains au final peuvent s’estimer chanceux de pouvoir
    compter sur Joe Biden, certes pas parfait, mais dans les circonstances
    la meilleure option possible.

    4 ans de stabilité dans un pays barbouillé.

    1. Igreck dit :

      Heu❗️Deux ans et espérons 4☹️

  6. Pierre S. dit :

    —————-

    La grande force de Cuomo est aussi qu’il sait a qui il s’adresse.
    Dans la pandémie les New yorkais étaient terrifiés par la gestion
    stupide et négligente de Trump …. alors Cuomo lui s’est positionné comme le
    gars organisé, fiable qui se fiait aux faits et à la science, un message impeccable

    ce qu’on apprend présentement, c’est qu’en coulisse il tournait les coins ronds pas à peu prèt.

    Mais ua moins, publiquement il aura fait avec efficacité la promotion des règles et des consignes de
    la santé puiblique et aura ainsi probablement sauvé des vies

    Un exploit dont l’andouille ne peut tres certainement pas se vanter.

  7. treblig dit :

    New-York est un état bleu, bleu foncé même. Biden y a récolté 61% du vote ( Trump, 37% surtout dans le nord rural de l’état et dans la région de Buffalo). Une forteresse historiquement démocrate depuis des lustres.

    Alors Cuomo ne se sent pas menacé par les républicains. Par contre, un autre candidat aux primaires démocrates pour l’élection au poste de gouverneur est sa plus grande hantise. C’est probablement ce qui va se produire si Cuomo continue à dégringoler dans les sondages.

  8. PROBERT dit :

    Il y a plusieurs mois j’avais vu une « entrevue » du gouverneur Cuomo à son frère de CNN. J’ai eu un inconfort et une déception de voir combien le gouverneur semblait avoir un gros égo. Les récentes semaines confirment mon impression d’alors. C’est vraiment dommage .

  9. Louise dit :

    Un des problèmes de Andrew Cuomo c’est qu’il ne sait pas jouer en équipe.
    Il est une étoile polaire, il aime faire de l’ombre aux autres et il ne sait pas qu’il n’est pas la seule planète dans l’univers.

    1. Igreck dit :

      Système cuomocentrique comme dans système ☀️héliocentrique ⁉️

  10. Apocalypse dit :

    ‟Comment Andrew Cuomo va-t-il nous f… cette fois-ci?”

    🤣

    Plus on en apprend sur cet homme, moins on sympathise avec lui et ses problèmes.

    Je ne comprends pas cette propension chez bien des politicien(ne)s à être aussi imbue de leur personne; on ne parle pas ici de leonardo da Vinci, Albert Einstein et compagnie, mais de gens très ordinaire qui devraient faire preuve de la plus grande humilité, MAIS non, on pense qu’on est la plus grande invention depuis l’invention des boutons à quatre(4) trous.

    1. Madalton dit :

      Ou comme disait Sam Hammad, la roue à trois boutons.😉

      1. Ziggy9361 dit :

        Cali. Madalton🤣🤣🤣🤣🤣🤣 pas après dîner.

      2. Apocalypse dit :

        Merci de nous rappeler cette histoire! 🤣

  11. kintouai dit :

    Comment passer de héros à zéro.

    S’il envisageait de se présenter aux primaires de 2024 contre Harris, on comprend l’acharnement de l’organe du parti Démocrate, le NYT, à le salir (quoiqu’il semble bien capable de se salir tout seul).

    À propos, d’ailleurs, de ces élections, celles et ceux qui croient que les Ripouxblicains sont finis, devraient lire l’article suivant, qui montre toutes les crapuleries auxquelles ces salopards sont prêts à s’abaisser pour limiter le vote.

    https://www.cnn.com/2021/03/02/politics/what-matters-march-2/index.html

    Les Dems sont mieux de se préparer et pas qu’un peu…

  12. Jacques Bellehumeur dit :

    Bref, quand on a l’égo plus grand que la panse, on se fait des ennemis un peu partout, je pense. Et on risque de tomber de haut et on panse ses blessures

    1. Igreck dit :

      Vous portez bien votre nom Jacques 😉

  13. MarcoUBCQ dit :

    Le GOP et la mouvance maga sont un bloc fade, uni, rigide, fanatique, homogène à mort (la variété, en génétique, est synonyme de santé et vitalité, alors que l’homogénéité elle est synonyme de maladie), doté d’un discours délirant et jouant très peu dans la diversité humaine, sauf celle de la violence, champion de la discrimination, etc. Les démocrates représentent la vitalité, la diversité, l’ambivalence caractéristique de tout être humain sain de corps et d’esprit, les innombrables points de vue, etc. Pas étonnant que les méchants GOP-maga aient été si efficaces dans le passé. Mais 2020 était la date de péremption pour ce groupe mortifère. Meilleur avant ne veut pas dire toxique après, mais…

    1. Ziggy9361 dit :

      Mr.Marco,j’aime vraiment vos textes, qui secoue notre intérieur y’en a de la poussière d’accumuler.

  14. Apocalypse dit :

    @kintouai – 12:50

    Les démocrates ne devraient prendre absolument rien pour acquis; ils doivent faire de l’excellent travail d’ici 2022, sinon ils pourraient perdre le Congrès et le Sénat, ce qui mettrait bien des embûches sur la suite de la présidence de M. Biden.

    Pour ce qui est de 2024, je suis encore dans le camp de Pete Buttigieg.

    1. Igreck dit :

      @Apocalypse
      Très juste ❗️

  15. Carl Poulin dit :

    HS
    Ronny Jackson, une autre belle fripouille de merde Républichiante. Si un de nos valeureux blogueurs peut afficher l’article du Washington Post concernant cette énergumène vous allez comprendre ce qu’il en est.
    Je me demande ce qu’un croisement génétique donnerait si le beau Madison Cawthorn s’accouplait avec la non moins délicieuse Marjorie Taylor-Greene?

  16. Ziggy9361 dit :

    Je lisais dernièrement un article dans l’Actualité signé par Rafaël Jacob qui mentionnait que les Cuomo font certainement parti des dynastie familiale au même titre que les Kennedy,Bush et autres bêtes politiques connus et que le paternel Cuomo ancien gouverneur aurait eu le potentiel pour la présidence tout comme Andrew mais tous les deux ont reculés du moins pour 2016 pour Andrew pour des raison
    obscure.
    Mr.Hétu dans un décryptage de mars 2020AfriqueAmérique latineAsie et OcéanieCaraïbesÉtats-UnisEuropeMoyen-Orient

         

    Décryptage: un leader qui fait rêver

    PHOTO JOHN MINCHILLO, ASSOCIATED PRESS

    Andrew Cuomo, gouverneur de l’État de New York, est omniprésent depuis le début de la crise de la COVID-19.

    (New York) En 2015, Michael Shnayerson a fait paraître The Contender (Le prétendant), une biographie d’Andrew Cuomo, prévoyant que le gouverneur de l’État de New York se lancerait, en 2016 ou en 2020, à la conquête de la présidence, fonction que son père Mario était venu à un cheveu de briguer en 1992.

    Publié le 23 mars 2020 à 6h12

       

    RICHARD HÉTU
    COLLABORATION SPÉCIALE

    Le livre était savoureux, explorant notamment la relation compliquée entre le fils et le père. À un très jeune âge, le premier joua le rôle d’homme de main auprès du second, considéré comme l’un des orateurs les plus brillants du Parti démocrate à l’époque où il était lui-même gouverneur de l’État de New York. Mais Andrew Cuomo ne donna jamais suite à ses ambitions présidentielles.

    Or, depuis le début de la crise de la COVID-19, de nombreux New-Yorkais et démocrates américains souhaiteraient le voir à la place de Joe Biden, candidat virtuel du Parti démocrate à la présidence, ou, mieux encore, de Donald Trump. Un peu comme François Legault au Québec, le gouverneur de l’État de New York, âgé de 62 ans, projette l’image d’un leader à la fois compétent, franc et rassurant lors de ses points de presse quotidiens sur l’épidémie.

    Et Michael Shnayerson fait partie des nouveaux admirateurs de cet élu qui a toujours suscité davantage le respect que l’affection chez ceux qui ne le détestaient pas.

    « En écoutant Andrew livrer ses mises à jour, il est facile de fermer les yeux et d’imaginer son père, Mario, à sa place. Mario était le père tout-puissant pour ses fils, aimant mais impérieux, impossible à satisfaire », a écrit le biographe dans un courriel à La Presse.

    « Maintenant, bien sûr, Andrew est le père volubile de tous, aussi éloquent et imposant que Mario. Comme son père, Andrew se montre à son meilleur niveau en temps de crise. En fait, il est meilleur que son père. C’est le domaine où il surpasse vraiment son père. Il nous donne la candeur dont nous avons vraiment besoin ces jours-ci. Il dit ce qu’il pense, sans détour, et il nous calme. »

    PHOTO MIKE GROLL, ARCHIVES REUTERS

    Mario et Andrew Cuomo, en 2011

    L’épicentre de la crise

    L’effet est bienvenu. Car l’État de New York est frappé de plein fouet par l’épidémie de coronavirus. Il comptait dimanche matin plus de 15 168 cas de contamination confirmés et plus de 114 morts.

    La ville de New York, elle, est devenue « l’épicentre » de la crise aux États-Unis, pour reprendre l’expression du maire Bill de Blasio. Un total de 9045 cas de contamination y avaient été confirmés dimanche matin, soit environ le tiers des cas confirmés dans l’ensemble du pays.

    Face à cette explosion, attribuable à la multiplication des tests de dépistage, le gouverneur Cuomo a ordonné vendredi à tous les travailleurs des entreprises non essentielles de rester chez eux, en plus d’interdire les rassemblements dans tout l’État.

    « Cela causera beaucoup de mécontentement, a-t-il dit en conférence de presse. Je comprends cela aussi. J’assume la pleine responsabilité. Si quelqu’un est mécontent, si quelqu’un veut blâmer quelqu’un, qu’il me blâme. Il n’y a personne d’autre qui soit responsable de cette décision. »

    Ceux qui suivent les conférences de presse d’Andrew Cuomo ne peuvent s’empêcher de comparer ses performances à celles de Donald Trump, qui a notamment refusé d’assumer la moindre responsabilité pour les ratés et les retards du dépistage.

    Les deux hommes ont d’ailleurs croisé le fer sur Twitter lundi dernier.

    « Je viens d’avoir une très bonne téléconférence avec les gouverneurs de la nation. Ça s’est très bien passé. Cuomo de New York doit en “faire plus” », a tweeté le président.

    La réplique du gouverneur n’a pas tardé : « Je dois en faire plus ? Non. VOUS devez faire quelque chose ! Vous êtes censé être le président. »

    Les deux natifs de Queens se sont par la suite parlé au téléphone, et le gouverneur a obtenu ce qu’il réclamait : l’aide du Corps des ingénieurs de l’armée et de l’Agence fédérale de gestion des urgences pour construire ou aménager des hôpitaux temporaires à New York.

    « Je suis amoureuse ! »

    « À l’aide, je pense que je suis amoureuse d’Andrew Cuomo ! » Cette phrase coiffait jeudi dernier un article publié sur le site féministe Jezebel. Elle illustrait la réaction de nombreux progressistes américains, hommes ou femmes, qui se surprennent ces jours-ci à admirer un politicien dont ils ont longtemps décrié le centrisme.

    L’ironie veut que ce politicien qualifié par le journaliste Jeffrey Toobin de « misanthrope » soit capable ces jours-ci de trouver les mots pour parler de compassion. Samedi, il a notamment appelé les New-Yorkais à « pratiquer l’humanité », comme ils l’ont fait selon lui après le 11-Septembre.

    Oui, nous pouvons être durs. Oui, nous vivons dans un environnement dense, qui peut être difficile. Mais nous formons aussi la communauté la plus courageuse et la plus solidaire qui soit. Et c’est le temps d’un peu de gentillesse.

    Andrew Cuomo

    Les raisons qui ont incité Andrew Cuomo à renoncer à une campagne présidentielle sont aussi nébuleuses que celles de son père Mario. Chose certaine, son CV est impressionnant : secrétaire au Logement et au Développement urbain sous Bill Clinton, procureur général de l’État de New York de 2007 à 2010 et gouverneur depuis 2011.

    « Il est peut-être hanté par les mêmes doutes qui ont également tenu son père à l’écart », a commenté Michael Shnayerson.

    Maintenant on peut présumer que ses doute tiennent beaucoup plus aux squelettes dans son placard.

    De l’article de Rafaël Jacob:Mercredi matin, l’ex-attachée de presse de Cuomo, Karen Hinton, a publié un texte dans lequel elle dépeint sa relation professionnelle avec le gouverneur comme l’équivalent d’être prisonnière d’un mariage dans les années 1950 — un environnement de travail toxique où règnent l’intimidation et, pour utiliser l’expression de Hinton, la « culture du pénis ». 

    Ce texte a mis la table pour un autre publié plus tard la même journée par Lindsey Boylan, une haut placée du gouvernement de New York, dans lequel elle affirme avoir été victime, ainsi que de nombreuses autres femmes craignant trop Cuomo pour témoigner, d’agression et harcèlement sexuels de la part du gouverneur.

    Ce dernier s’y serait pris verbalement — demandant à Boylan, par exemple, de jouer avec lui au strip poker, ou encore l’invitant seule à son bureau lors d’une fête de Noël pour lui montrer, sourire en coin, une boîte de cigares qu’il aurait reçue de Bill Clinton (de façon à ce qu’elle comprenne très bien la référence évidente à Monica Lewinsky).

    Maintenant on connaît la liste exhaustive de ses victimes et qu’il a officiellement annoncé qu’il ne démissionnera pas,quel sera la réaction des démocrates celles des répugnants on s’en doute.

  17. Carl Poulin dit :

    Cuomo est maintenant politiquement toasté après avoir joué avec les feux de l’amour.

  18. Carl Poulin dit :

    @ Ziggy9361
    Je viens tout juste de résumer en une courte phrase votre article encyclopédique.

    1. Ziggy9361 dit :

      Oui,Carl je sais merci. En passant mon épouse regarde encore les Feux del ‘Amour je ne sais plus combien de dizaine d’années jecrois que les personnages sont morts et ressuscités maintes fois dans des rêves,des jumeaux et de fausses mises en scènes. Un succès qui traverse les générations.HaHaHa

      1. Carl Poulin dit :

        Cela dit, mon commentaire de voulait sans malice Ziggy. Vous faites parti des blogueurs que je li assidûment.

  19. Layla dit :

    HS
    Je suis tellement d’accord avec lui

    « Texas – we hear you. You didn’t want to be part of our electrical grid. And now you’ve removed your mask mandate & are allowing large crowds to gather. We hear you! COVID is a hoax! So u don’t need our precious vaccine. We’ll send it to ppl who are saving lives by wearing masks. »( Michael Moore)

    Texas – nous vous entendons. Vous ne vouliez pas faire partie de notre réseau électrique. Et maintenant, vous avez supprimé votre mandat de masque et vous permettez à de grandes foules de se rassembler. Nous vous entendons! COVID est un canular! Alors tu n’as pas besoin de notre précieux vaccin. Nous l’enverrons aux personnes qui sauvent des vies en portant des masques.

    N.B traduction de Google Chrome

  20. Igreck dit :

    HS… quoique…
    Elle est bien bonne 🤣 Le putin de président de la Sainte Russie qui invite les U$A à ne pas mettre de l’huile sur le 🔥❗️Manque pas de front le dictateur à vie et châtelain de la Mer Noire.

    https://www.journaldemontreal.com/2021/03/03/sanctions-moscou-appelle-washington-a-ne-pas-jouer-avec-le-feu

  21. jeanfrancoiscouture dit :

    «Déception» est le premier substantif qui me vient en tête quand je constate où en est rendu le dossier Cuomo. Quand je l’ai regardé aller l’an passé et admiré la maestria** avec laquelle il menait ses conférences de presse sur la COVID, je n’ai absolument pas hésité à le placer au premier rang des communicateurs sur le sujet «pandémie», à des années lumière devant un Donald Trump et quand même loin devant notre propre cicérone, François Legault et ses acolytes.
    Voilà que l’on nous arrive avec des allégations d’inconduite à caractère sexuel et des constats de ses alliés sur son caractère de prima donna intransigeante incapable de compromis même pour aider les gens de sa propre formation. Ferait-il donc partie de ces politiciens dont Cioran disait: «Tous les hommes sont plus ou moins envieux; les hommes politiques le sont absolument. On n’en devient un que dans la mesure où l’on ne supporte personne à côté ou au-dessus de soi.»?
    Devrais-je dorénavant attendre avant de démontrer quelque admiration à qui que ce soit et plutôt laisser passer du temps afin d’être certain de ne pas être déçu? Cela me ramènerait à mon époque d’adolescent boutonneux où, quand je me décidais à aller demander à une fille de m’accorder une danse, je me disais, pour ne pas être déçu «de toute façon elle va refuser». Et quand la réponse était positive, le plaisir s’en trouvait grandi parce que les attentes étaient minimales voire totalement absentes. 🙂 🙂

    **maestria: n.f. «La maestria désigne la virtuosité, la perfection, le savoir-faire. Quelqu’un qui fait preuve de maestria démontre un certain talent, maîtrise un art ou l’interprétation d’une œuvre qu’il exécute avec brio. Synonymes : adresse, dextérité, habileté.

    1. Haïku dit :

      Excellents propos !
      Chapeau. 👌👌

  22. citoyen dit :

    pour éviter de créer des clans ou des impressions, la démocratie devrait séparer représentant, sénat, procureur, gouverneur et les médias qui vont avec.

    1. gl000001 dit :

      C’est déjà fait. Les représentants sont à la chambre, les sénateurs au sénat, les procureurs dans leurs bureaux, les gouverneurs aussi et les médias dans leur salle de presse ou salles de nouvelles.
      Vous êtes weird !!!

      1. constella1 dit :

        gl000001
        Hahaha
        👍

  23. sousmarin dit :

    Un politicien sans égo démesuré est aussi rare qu’une huitre avec une perle…

    L’attaque qu’il a subie lance le coup d’envoi des primaires de la présidentiel 2024.
    Dans un pays intelligent, on l’aurait attaqué sur sa gestion de la pandémie, qui a été admirable en paroles mais mauvaise en actions.

  24. Maintenant que toutes ces histoires de harcèlement sexuel et d’entourloupettes concernant la gestion de la pandémie sont sortis, on va apprendre plein de « révélations » sur le côté sombre de Cuomo.

    Son navire a frappé un iceberg et il y a de fortes chances qu’il sombre au fond de l’océan avant la fin de l’année 2021.

    Il va se battre jusqu’au bout car il a une forte personnalité et un ego surdimensionné.

    Ça risque de laisser des traces sur le Parti Démocrate.

    Parlant d’égo, Michael Moore ne donne pas sa place.

    Son tweet assassin sur le Texas (voir tweet de M. Hétu) est du « Moore tout craché ».C’est un esprit libre qui dit ce qu’il pense et tant pis si ça déplaît.

    Ceci dit, je suis loin d’être totalement en désaccord avec ses propos. Les Texans ont élu des connards qui ont pris des décisions de connards.

    Qu’ils en assument les conséquences. Gardons les vaccins pour ceux et celles qui sont respectueux des autres et qui suivent, même si ce n’est pas toujours agréable, les consignes de la Santé Publique.

    Qu’ils se démerdent avec leurs problèmes ou plutôt « qu’ils aillent se faire foutre !!

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