Le blogue de Richard Hétu

L'Amérique dans tous ses états

«Il fut un temps où la science et l’exploration spatiale capturaient l’âme de l’Amérique. Le problème c’est qu’il est facile de dire ‟Retournons sur la Lune ou sur Mars” mais, comme on avait l’habitude de dire à la NASA : ‟No bucks, no Buck Rodgers”.»

Douglas Brinkley, historien de la présidence et auteur d’un nouveau livre sur John Kennedy et le programme spatial, American Moonshot, expliquant pourquoi aucun successeur du 35e président n’a transformé en réalité sa vision d’envoyer des humains sur Mars ou de retourner sur la Lune.

(Photo Neon)

187 réflexions sur “La citation du jour

  1. gl000001 dit :

    Les guerres sont plus profitables ?

    1. Haïku dit :

      Avec un pourboire en sus ?

  2. treblig dit :

    Les ordinateurs de l’époque étais beaucoup moins puissants que mon iPhone mais l’état d’esprit, la conquête spatiale, était beaucoup plus fort qu’aujourd’hui

    1. A.Talon dit :

      «mais l’état d’esprit, la conquête spatiale, était beaucoup plus fort qu’aujourd’hui»

      C’est parce qu’il répondait aux exigences de la Guerre Froide, ne l’oublions pas.

  3. jeani dit :

    « No bucks, no Buck Rodgers »

    La différence, c’est qu’aujourd’hui on fait affaire avec un bucké qui n’a aucune idée de ce qu’il fait mais, qui se pense plus fin que tout le monde.

  4. Réal Tremblay dit :

    Il serait intéressant qu’on demande à l’actuel Président de donner son opinion sur 2 sujets controversés: Est-ce que l’homme est allé sur la lune? La terre est-elle plate?

    1. Richard Desrochers dit :

      Lors du fameux dîner de correspondants auquel trompo assistait et où Obama avait fait un discours, ce dernier, après avoir réglé le cas de son lieu de naissance, avait ajouté : « Maintenant Trump va pouvoir revenir aux questions qui l’intéressent comme « somme-nous allés sur la Lune ? » » (et d’autres questions que j’ai oubliées).

      1. simonolivier dit :

        @M. Desrochers Que s’est-il vraiment passé à Roswell et où sont Tupac et Biggie (The notorious B.I.G.)

    2. vieil'art dit :

      🤣

    3. Lecteur-curieux dit :

      Non Donald Trump n’est jamais allé sur la lune.

      Pour ce qui est de la Terre plate tant que son coke diète n’est pas flat la Terre n’est pas trop plate.

      😊

      1. Haïku dit :

        Lecteur_curieux
        👏👏👏 !

  5. karma278 dit :

    En effet, les fais de tournage ont explosé depuis l’époque…
    😁😁😁😁

    1. Haïku dit :

      karma278
      👏👏👏.

    2. gigido66 dit :

      Sens de l’expression:
      no bucks, no Buck Rogers. No money, no space travel. The phrase comes from The Right Stuff, a movie about the beginnings of US space exploration. « Bucks » is a slang term for money, while « Buck Rogers » was a space-traveling comic strip character in the early 20th century.
      https://idioms.thefreedictionary.com › …
      No bucks, no Buck Rogers – Idioms by The Free Dictionary

      Autrement dit à une autre époque que la nôtre…on ne se battra pas pour… « Quelques arpents de neige ou. « Pas d’argent à faire là… »

      1. gigido66 dit :

        Oups, j’ai mal lu…il doit faire trop chaud ….alors ma simplification de l’expression se retrouve à des années lumière de la bonne explication…

      2. 430a dit :

        Ah! Ah! Ah! En fait, faudrait dire: Pas pour des prunes…

      3. simonolivier dit :

        @430A ou ben no money, no candy

    3. gl000001 dit :
  6. PROBERT dit :

    Au temps de la course à la lune j’étais un adolescent. Nous étions convaincus que le futur serait nettement meilleur que le présent. Il y avait beaucoup d’optimisme face au futur. Aujourd’hui, le futur est devenu une grande source d’inquiétudes avec entre autres le réchauffement climatique. Le goût de l’aventure et de la découverte de l’inconnu ne sont plus la première chose qui meuble notre esprit. On se questionne plutôt sur notre survie à long terme.

    1. jcvirgil dit :

      C’est bien vrai. J’étais aussi adolescent lorsque Neil Amstrong a marché sur la lune. C’était à l’époque ou on croyait que l’homme conquerrait l’espace, que notre génération mettrait fin aux guerres, que l’entraide et l’amour triompherait du racisme et de l’ignorance, que le Québec prendrait en main sa destinée. C’était le début de ce qui devait être l’ère du Verseau.

      On a bien déchanté depuis… Mais c’est à la jeune génération de dessiner le monde de demain que nous ne connaîtrons pas même dans nos rêves comme disait le poète Kahlil Gibran_____si on leur en laisse la chance…

    2. ddescarreaux dit :

      On était plus optimiste seulement si on faisait abstraction des milliers d’ogives nucléaires qui risquaient d’annihiler l’humanité à tout moment. Annihilation qui a été évité in extremis à plusieurs reprises, notamment pendant la crise des missiles, n’eut été du discernement de l’officier sous-marinier Vassili Arkhipov.
      https://fr.wikipedia.org/wiki/Vassili_Arkhipov

  7. Lecteur_curieux dit :

    Comme tout programme gouvernemental il faut justifier l’utilisation de fonds publics.

    Bon c’est la rentabilité politique qui joue aussi ?

    N’empêche que même socialement et scientifiquement après avoir été sur la lune avec plusieurs missions la rentabilité diminuait. Il y a quand même eux des missions spatiales.

    Et le retour sur la lune est maintenant plus envisagé en préparation pour aller sur Mars. Même s’il y a toujours des découvertes possibles.

    Sur l’ortographe des noms je me mélangeais avec la série que j’aimais regarder et l’ex-gérant des Expos. Et on y avait fait allusion à l’école lors de notre cours d’anglais dans un travail d’équipe au secondaire. Buck venait d’être nommé gérant des Expos.

    Plutôt que cet série de sci-fi ou baseball je penserais plus à Sinatra :

     » Fly me to the moon  » et cette chanson dans la bande-son d’un film.

    Sinon pour nous c’est plus Tintin qui va sur la lune qui fait partie de notre psyché. Mais plusieurs autres films avec des astronautes. La fiction plus intéressante que la réalité? Pas scientifiquement mais il faut que cela soit dans l’actualité vécue pour que cela marque la personne.

  8. Lecteur_curieux dit :

    Buck Rogers est la série:

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Buck_Rogers_(s%C3%A9rie_t%C3%A9l%C3%A9vis%C3%A9e)

    Buck Rodgers est l’ex-gérant des Expos. Voyez Richard Hétu a déjà été journaliste sportif.

  9. Lecteur_curieux dit :

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Buck_Rodgers

    L’ex-gérant des Expos bien que Felipe Alou soit mon préféré, Buck est le second mais ceux avant Bill Virdon je ne les ai pas assez connus comme gérants.

  10. fallaitquejteuldise dit :

    L’Homme a toujours su se montrer fort à relever des défis devant l’adversité: la compétition, un bon leitmotiv. Les russes n’étant pas de la partie contre les américains en vue de la conquête de mars, la satisfaction personnelle d’un président à atteindre ce but à courte échéance a bien peu de valeur.

    Il reste à savoir si les connaissances acquises de ce défi auront les mêmes répercussions que celles des années 60. La miniaturisation à jouer un grand rôle dans notre qualité de vie présente; reste à savoir si la conquête de mars répondra à des besoins qui n’ont pas encore trouvés de solutions.

    1. Achalante dit :

      Nous n’avons pas encore envoyé de personnes sur Mars, mais nous avons envoyé des robots. Je doute que des êtres humains nous apprenne plus que ce que nous savons déjà; c’est l’équipement embarqué qui fait la différence, pas l’opérateur.

      Alors, à moins que le but soit de préparer une colonie spatiale, ce qui devrait être fait en collaboration avec tous les pays capables de contribuer, une mission habitée est une perte de temps et d’argent. C’est dommage? Non. C’est plus sécuritaire et plus économique. D’ici à ce que nous soyons prêts à coloniser la Lune et Mars, les missions robotisées permettront de perfectionner les technologies nécessaires.

      1. A.Talon dit :

        «Je doute que des êtres humains nous apprenne plus que ce que nous savons déjà»

        Inexact. Les Humains sont très versatiles et ont de multiples talents. On peut élargir très rapidement la gamme des explorations/expérimentations avec des astronautes alors que ce n’est pas le cas avec des robots. Les missions robotisées doivent êtres planifiées des années d’avance dans les moindres détails (et parfois des mois d’avances juste pour se sortir d’une trappe de sable) mais les missions humaines peuvent être improvisées au quart de tour (la mission Apollo XIII en fut l’exemple ultime). Il y aura toujours beaucoup plus d’avantages à expédier une équipe scientifique sur place qu’à se contenter de simples robots. Sauf en milieu extrêmement hostile, bien entendu.

      2. A.Talon dit :

        «Alors, à moins que le but soit de préparer une colonie spatiale, ce qui devrait être fait en collaboration avec tous les pays capables de contribuer, une mission habitée est une perte de temps et d’argent.»

        Isabelle de Castille et Ferninand d’Aragon ont donné sensiblement la même réponse à Christophe Colomb en 1486 et 1491 avant de finalement changer d’avis après mûres réflexion. Une décision qui fut hautement profitable à l’Espagne et qui changea pour toujours la face de l’Humanité et celle du Monde. Nous tous dans les deux Amériques, nous vivons encore présentement sur l’héritage de cette décision des souverains espagnols du XVe siècle.

        «La Terre est le berceau de l’humanité, mais on ne passe pas sa vie entière dans un berceau.» (Constantin Tsiolkovski)

      3. Haïku dit :

        A.Talon 16:30
        RE: Tsiolkovski.
        Merveilleuse citation ! Merci.

      4. Achalante dit :

        @A. Talon : Oui, une mission humaine peut s’adapter plus facilement que seulement des robots. Mais Apollo XIII s’est déroulé en banlieue de la Terre, et l’accident a changé la mission de « explorer la lune » à « ramener les astronautes en vie ». Si quelque chose tourne au vinaigre sur Mars, le délais de communication ne sera pas de six secondes, mais plusieurs minutes. Et comme ils n’auront probablement pas accès à des usines pour créer des pièces de rechanges, celles-ci devront êtes envoyés en même temps que l’équipage.

        Dans les missions spatiales, c’est le poids qui détermine le coût. Envoyer des humains, c’est le poids d’au moins trois personnes, les systèmes de survie, de recyclage d’eau et d’air, de nourriture… Et les pièces de rechange. Et si quelque chose foire, c’est l’ensemble qui est perdu. Il serait beaucoup plus efficient d’envoyer plusieurs missions robotisées, quitte à en perdre une ou deux, pour préparer le terrain, et n’envoyer des astronautes qu’une fois qu’il y a une base sur place, testée en mode automatique. Bref, une colonie scientifique.

      5. Lecteur-curieux dit :

        Nous sommes déjà trop robotisés et pas assez en même temps.

        Les robots devraient travailler à l’usine ou même au bureau à notre place pendant que nous et payés pour avec la productivité des robots on irait à la pêche, au cinéma, au théâtre, jouant à la pétanque, prenant un verre aussi, ayant du bon temps.

        Alexandre le bienheureux, la Soupe aux choux ou bien Plume Latraverse  » Tant qu’on pourra se passer du cimetière « .

        Les missions spatiales sans humains juste pour la connaissance pure cela manque de passion. L’astronaute doit être un héros, une inspiration. Un humain qui nous représente tous dans notre quête d’excellence ou de dépassement de soi comme les champions olympiques.

        Assumer le génie, la folie et aussi parfois l’exceptionnelle rentabilité qu’il y aura à partir des découvertes. Il n’y a aucune garantie d’avance mais on sait qu’il va y en avoir.

        Mais sinon c’est le héros qui parle au grand public. L’homme de 6 millions était un astronaute, Jack Nicholson dans un film en joue un.

      6. A.Talon dit :

        @ Achalante 22h14
        «Si quelque chose tourne au vinaigre sur Mars, le délais de communication ne sera pas de six secondes, mais plusieurs minutes.»

        Ce n’est pas un argument. En quoi est-ce pire que les anciennes missions polaires du tournant du XXe siècle, missions pouvant durer parfois plusieurs années?

        «Et comme ils n’auront probablement pas accès à des usines pour créer des pièces de rechanges,…»

        Et l’impression 3D (3D printing), vous connaissez? Il est déjà possible d’«imprimer» des objets métalliques sur Terre et une imprimante de matériaux plastiques se trouve déjà à bord de l’ISS pour expérimenter la technologie en micro-gravité. Quant aux plans nécessaires, ils pourraiennt facilement être transmis au transporteur martien par ondes radio.

        «Envoyer des humains, c’est le poids d’au moins trois personnes, les systèmes de survie, de recyclage d’eau et d’air, de nourriture…»

        Il y aura sûrement plus que 3 personnes dans cette première mission martienne et leurs poids aura peu d’importance compte tenu de la taille des transporteurs martiens. Ces derniers seront immenses par rapport aux vaisseaux spatiaux existant présentement, à l’exemple du vaisseau représenté dans le film «The Martian», compte tenu de la durée des voyages considérés (2 ans minimum).

        «Et si quelque chose foire, c’est l’ensemble qui est perdu.»

        C’est un risque calculé, à l’instar des missions polaires ou transocéaniques du passé.

        «Il serait beaucoup plus efficient d’envoyer plusieurs missions robotisée»

        L’un n’empêche pas l’autre, bien au contraire. Les futures missions humaines se feront conjointement avec des missions robotisées, chacun sa spécialité. Parfois même, les robots feront partie de l’équipage des mission humaines (comme l’Astrobee se trouvant présentement sur l’ISS).

        «et n’envoyer des astronautes qu’une fois qu’il y a une base sur place, testée en mode automatique.»

        Ce n’est pas demain la veille qu’une base spatiale pourra se construire d’elle-même ou avec l’assistance de robots, oubliez ça. C’est l’exemple typique d’un projet où l’intervention humaine est nécessaire. Pensez à la construction de l’ISS en cours depuis une vingtaine d’années…

      7. Achalante dit :

        @A. Talon: La science fiction est d’abord et avant tout de la fiction. Ils peuvent se permettre d’envoyer de gros vaisseaux, parce que gros ou petit, les effets spéciaux ont le même coût. En réalité, ce genre de vaisseau est impensable dans l’état actuel des choses. Juste le carburant nécessaire pour accélérer *et* décélérer cette masse serait énorme, et une masse de plus à accélérer et décélérer pour faire le retour. La navigation spatiale « à voile » serait alors une option, mais elle est très lente. Même une propulsion atomique utiliserait la quasi-totalité de nos réserves d’uranium. Avant de pouvoir envoyer ce genre de missions, il nous faudra une base permanente sur la Lune(où la gravité est plus faible, donc le carburant nécessaire pour atteindre la vitesse d’échappement beaucoup moindre), ou mieux encore, sur un point Lagrange (là où la gravité de la Terre et de la Lune s’annulent.)

        Nous avons présentement du mal à maintenir une petite station de recherche en orbite terrestre.

        Pour les imprimantes 3D, leur précision est insuffisante pour des pièces électroniques, ou autres pièces à très hautes prévisions faits présentement dans des « salles blanches », hautement contrôlées pour éviter la poussière.

        Quand à votre comparaison avec les expéditions polaires, combien de personnes y sont mortes? Et le coût de ces expéditions étaient beaucoup moindre (quoique encore très élevé) que ce que coûteraient une mission de grande envergure vers Mars.

        Non, la technologie n’est pas encore au point. D’où ma prévision qu’il y aura encore beaucoup de missions robotisées avant une mission habitée. (Je suis persuadée que si des robots avaient été disponibles il y a 150 ans, c’est ce qu’ils auraient envoyé aux pôles…)

      8. A.Talon dit :

        @ Achalante 11h16
        «En réalité, ce genre de vaisseau est impensable dans l’état actuel des choses.»

        Ah bon? Et que faites-vous de la Station Spatiale Internationale? 110 mètres de longueur, 74 mètres de largeur et 30 mètres de hauteur pour une masse totale de 400 tonnes. Un transporteur martien n’est guère différent par nature et pourrait être construit de la même façon, module par module.

        Les missions martiennes seront au minimum de 2 ans: 6 mois aller, 1 an à la surface de Mars et 6 mois retour. Ou alors un multiple de 2 puisque Mars ne se rapproche de la Terre qu’à tous les 2 ans. Que cela vous plaise ou non, il faudra bel et bien de gros transporteurs pour accommoder tout l’équipage, ses provisions, son équipement et ses pièces de rechange.

        «Même une propulsion atomique utiliserait la quasi-totalité de nos réserves d’uranium.»

        N’importe quoi. Affirmation tout à fait ridicule. Vous ne savez visiblement pas de quoi vous parlez. Les moteurs nucléaires seraient économiques en matériaux fissiles et consommeraient surtout de l’hydrogène comme propulseur. Hydrogène pouvant être produit à la surface même de la Lune ou de Mars, par ailleurs.

        «Pour les imprimantes 3D, leur précision est insuffisante pour des pièces électroniques»

        Elles sont parfaitement adaptées à la confections d’outils mécaniques les plus divers, incluant tout ce qui est micro-mécanique. Quant aux composantes informatiques, elles sont aisément stockables dans le transporteur de par leurs modestes tailles.

        «Quand à votre comparaison avec les expéditions polaires, combien de personnes y sont mortes?»

        Que ce soit par accident ou par maladie, il y aura des mortalités dans l’espace dans un avenir plus ou moins lointain. Les astronautes sont déjà préparés à cette éventualité depuis fort longtemps, le grand public en fera autant le moment venu. Aucune tentative d’exploration/colonisation n’en fut exempte au cours de l’histoire humaine. Bête de même. Faites-vous à l’idée. Reste plus qu’à limiter les risques au maximum à chaque fois qu’on en aura l’occasion et, oui, la robotique pourra jouer un rôle précieux à cet égard.

        «D’où ma prévision qu’il y aura encore beaucoup de missions robotisées avant une mission habitée.»

        Correction: il y aura dans l’avenir beaucoup de missions robotisées DE CONCERT avec les missions habitées. Ces types de mission ne sont pas mutuellement exclusives mais complémentaires.

      9. Lecteur-curieux dit :

        Citation intéressante sur le berceau de l’humanité mais je comparerais plus cela au berceau de l’Abitibi au Québec donc la ville d’Amos.

        C’est toute la région au complet qu’il faut développer et on ne compare pas les habitants actuels de la ville à des bébés car ils habitent encore le berceau. C’est le berceau seulement de façon métaphorique en faisant allusion aux débuts. Et c’est bien de se rappeler l’Histoire et les origines.

        Pour l’univers si c’était seulement aussi simple que de prendre le métro… On pourrait avoir autant de planètes que de stations.

        Bon demain on va faire un pic-nic sur Mars et mercredi une ballade sur Neptune et même plus que cela on explorerait plusieurs galaxies.

        Et heureusement le capitaine Flam serait là.

      10. Lecteur-curieux dit :

        https://youtu.be/NtxZsN6Em3g

        Bon les dessins animés aussi ?

        Ce sont les idéaux derrière.

        On pourrait aussi aller avec la série Il était une fois… L’Homme et qui se prolongeait en Il était une fois…l’Espace.

        On veut toujours aller plus loin. Du moins vouloir grandir, s’améliorer.

    2. Lecteur-curieux dit :

      Cela a aussi fait progresser la réduction de l’humain à l’état de chose.

      C’est là que Georges Bataille reste très pertinent. Oui il faut que la science et la technologie avance mais elle est souvent au service de l’utilitarisme et du productivisme. Il faut donc faire tout cela avec la pleine conscience de soi.

      Et attention à l’avant-garde ce qui est le véritable garant est la dépense improductive. La consumation de la richesse en pure perte.

      Notre puritanisme nous dit Benjamin Franklin ou notre prudence notre affirmation divine mais sans Dieu chez Bataille nous dit de retrouver le sacré ce qui autrefois dans des sociétés primitives était donné à Dieu en sacrifices. Une partie de la récolte détruite en pure perte mais en faisant la fête et en la dédiant à Dieu.

      Les humains n’ayant pas la pleine conscience de soi versent là-dedans sans le savoir mais là cela devient dangereux.

      Appelez pas cela la religion mais le sacré. Une Église comme l’ Église catholique est encore dans la négation de la vie alors que le sacré est de retrouver notre part d’animalité, la part maudite bien qu’on a sûrement des lecteurs par ici nous c’était Théorie de la religion. Il y a pareil des philosophes et autres intellos sur France Culture qui en parlent. Les vrais intellos c’est à France Culture qu’on les trouve et non pas à l’émission de l’ami Ruquier. Bien qu’il y a une part d’intellectualité.

      Un intello peut limite avoir une chronique dans le Journal de Montréal mais le plus souvent il va doit se caricaturer, se peinturer ou se prostituer. Le format ne permettant pas la véritable réflexion ni la discussion. C’est plate mais c’est cela. Il en faut pareil mais… Occasionnel serait mieux que régulier.

  11. Alexander dit :

    Aller sur mars ou sur la lune, ce n’est peut-être pas la priorité maintenant.

    Mieux utiliser l’espace immédiat, les satellites en orbite, à la limite les moyens de défense et offensifs militaires de l’espace, c’est ce qui semble être devenu la priorité pour nos décideurs.

    Nous utilisons les satellites pour nos communications, nos téléphones, nos GPS et le reste quotidiennement. Et on ne pourrait pas s’en passer.

    Question de choix et de budgets.

    Mais des choix qui se défendent.

    1. A.Talon dit :

      «Mieux utiliser l’espace immédiat, les satellites en orbite, à la limite les moyens de défense et offensifs militaires de l’espace, c’est ce qui semble être devenu la priorité pour nos décideurs.»

      C’est ce qu’on fait pourtant depuis le début des années ’70. Il est temps de faire plus et mieux, d’avoir plus d’ambitions.

  12. Apocalypse dit :

    @PROBERT – 14:42

    Excellent post!

    Effectivement, à l’époque de grands espoirs pour le futur, mais maintenant, pour ceux qui suivent l’actualité, beaucoup d’inquiétude pour l’avenir. Lorsqu’un homme comme Donald Trump est président des Etats-Unis, il y a de quoi être inquiet et pas seulement pour ce pays.

    Les politiciens à travers le monde, ça vole toujours plus bas.

  13. P Lacerte dit :

    Quant à moi la citation du jour est celle de Joe Biden:

    Joe Biden: « I know President Trump likes to take credit for the economy… Just look at the facts, not the alternative facts.Trump inherited an economy from Obama-Biden administration that was given to him — just like he inherited everything else in his life. »

    1. Lecteur-curieux dit :

      Pour moi c’est du vieux stock cela et ne convainquait que des démocrates déjà acquis à cette idée.

      L’économie ce n’est pas les politiciens ils ne peuvent que lui nuire d’une certaine façon.

      Par ailleurs, la véritable économie je l’ai apprise avec Benjamin Franklin dès l’enfance ce qui est appelé l’économie mesurée notamment par la taille du PIB est plutôt le commerce. Le commerce est plutôt une bonne chose mais doit reposer sur des bases solides. La notion a été pervertie avec l’après-guerre et l’avènement de la société de consommation. Et avec le crédit facile. La vraie économie prudente au sens de Ben Franklin repose sur le travail et l’épargne, les bases puritaines et avec Dieu qui le veut aussi même s’il n’est pas dans le même Dieu que les religions monothéistes.

      Pour l’administration Trump sur le plan du commerce intérieur ils sont des adeptes de la théorie de l’offre et donc réduction du fardeau fiscal et de la réglementation. Automatiquement vous booster, dopez l’économie ou le commerce en faisant cela. Mais est-ce que cette croissance est soutenable à long terme ? Non.

      Au surplus, nous consommons plus de ressources que la Terre peut en produire.

      Alors le véritable progrès passerait par un décroissance soutenable. Une réduction même du PIB aux États-Unis et avec une réduction majeure des inégalités. Oups je suis alors plus à gauche que Warren ou Sanders ou la Squad. Ou encore une croissance mais par une économie avec des valeurs bien différentes et un mode de vie différent. Mais les gens se metteraient à payer pour cela.

      Une population allant plus au théâtre et étant plus cinéphile. Il y aurait des humoristes pareil mais leur succès serait moindre.

      Les prix de l’essence qui grimpent on s’en fouterait nous aurions moins d’automobiles.

      Au Québec on donnerait raison à Catherine Dorion sur le troisième lien.

      Biden a beau être décrit comme un modéré il est aussi au service du pouvoir et de forces capitalistes qui sont conservatrices. N’empêche qu’il n’est pas un adepte de la théorie de l’offre.

      Une approche plus équilibrée qu’il a mais convenant mieux aux années ’70 qu’à 2019 étant donné l’urgence climatique. Et même dans les années ’70, le club de Rome en 1973 avait donné les avertissements. Bon mais demander l’avant-garde à des politiciens. Très peu vont réussir.

      Trump lui est soutenu par l’ Amérique réactionnaire et en affaires outre la théorie de l’offre toutes les fausses conceptions de la vie et de la compétition qui doit alors primer.

       » Les gros mangent les petits  » Et comme vérité à accepter.

       » L’écureuil fait des provisions de noisettes  »

      Même l’image des fourmis. Des gens susceptibles d’appuyer Trump ou ses politiques. Toutes ces fausses visions de la biologie et de l’écologie dénoncées dans le livre d’Omar Aktouf.

      Lutter contre Trump ? Ce n’est pas qu’une lutte contre lui c’est un changement des paradigmes et des mentalités, de la culture qu’il faut.

      Biden est juste moins pire mais devrait être très dépassé. Trump lui n’avoir aucune allure et être automatiquement disqualifié sinon en entrepreneuriat et en motivation représenter une vision très incomplète.

      Cela prend de la volonté, de l’ambition et de la confiance en soi et même un esprit compétitif mais énormément d’autres choses aussi pour connaître un véritable succès durable.

      Incomplet pour le monde des affaires complètement inapproprié et pas juste lui l’entièreté de son Cabinet et surtout leur philosophie de gouvernance pour diriger un pays.

      Les républicains sont carrément toxiques en moyenne comme diagnostic général. Les démocrates eux sont à la traîne pour avoir une véritable gouvernance moderne, pro-active, verte, diversifiée.

      C’est la culture américaine qu’il faut améliorer mais cela peut prendre des décennies alors qu’il y a urgence et ce n’est pas de l’alarmisme de le dire. Cela ne veut pas dire la disparition de l’humain mais des pertes irrémédiables pour l’environnement dont nous faisons tous partie.

  14. Apocalypse dit :

    @jcvirgil – 14:58

    ‘J’étais aussi adolescent lorsque Neil Amstrong a marché sur la lune. C’était à l’époque ou on croyait que l’homme conquerrait l’espace…’

    Conquérir l’espace … un rêve qui semble de plus en plus loin avec notre connaissance grandissante de l’univers. Déjà que se rendre la Lune a été tout un extraordinaire exploit et cinquante(50) ans plus tard, nous n’avons toujours pas mis le pied sur Mars et nous en sommes encore loin. On se demande si on va voir cela de notre vivant.

    1. jcvirgil dit :

      C’est vrai mais quand on voit ce que les scientifiques de la NASA ont réussi en partant de rien dans les années 60, on se dit que tout est une question de volonté.

      Avec les avancées incroyables de l’intelligence artificielle appelées à changer complètement le monde que nous connaissons actuellement tel que décrit par l’auteur israélien Yussaf Harrari dans son essai *Homo Deus*, l’évolution nous dirige vers une nouvelle ère où nous deviendrons des Dieux , si l’humanité et c’est un gros si, prend maintenant en main le défi pour vaincre les changements climatiques et celui d’une croissance infinie dans un monde où les ressources s’épuisent plus rapidement qu’elles ne peuvent se régénérer.

      1. Lecteur_curieux dit :

        Juste sur le terme de la croissance infinie. Omar Aktouf dit aussi cela en blâmant l’économie néolibérale et néoclassique.

        Cependant en sciences économiques, une des premières choses qu’on apprend c’est que les besoins sont illimités mais que les ressources sont rares.

        L’économie est là pour décider de l’allocation des ressources à partir du mécanisme de prix.

        Ensuite pour un pays donné en macro comme en micro on trace la courbe des possibilités de production. Et l’économiste vous dit simplement que si vous êtes sur cette courbe les choix de votre société sont efficaces économiquement.

        Pour ce qui est de déterminer ce qui est juste le débat est politique. L’économiste pour un même niveau de justice va recommander le choix qui s’éloigne le moins de cette courbe.

        Mais on peut faire déplacer la courbe et en étant plus productif et augmenter alors le bien-être collectif ? Selon les mesures économiques oui.

        Mais on doit absolument tenir compte des échecs du marché comme les externalités et les bien publics.

        Pour la pollution reprenons l’exemple des droits de pollution. C’est au gouvernement à décider le niveau de pollution acceptable dans la société et on émet le nombre de droits de polluer en conséquence. Le marché lui ne fait que décider qui peut les avoir.

        Plusieurs vont encore considérer cela injuste.

        Mais le problème de la croissance dite infinie est d’abord politique plus qu’économique et même si on était plus fortement néoclassique.

        La population pense plus à elle qu’aux générations futures. Les politiciens vont émettre trop de droit d’émissions de GES sur le marché. La taxe sur le carbone ils ne la monteront pas suffisamment.

        L’économie c’est de viser l’efficacité, la productivité n’est pas forcément de travailler plus c’est de gagner plus par heure travaillée.

        Ensuite si la société valorise le travail ou le loisir cela la regarde. Cela est même une question morale chez les puritains avec l’éthique protestante du travail.

        Alors que l’économie est amorale. Ce n’est pas à l’économiste de décider des valeurs.

        N’empêche que l’efficacité et l’homo oeconomicus reposent aussi sur des valeurs.

        C’est juste que le blâme pour la croissance infinie ne doit pas forcément revenir aux néoclassiques.

        Ils vous le disent quoi faire mais politiquement les décideurs ne peuvent pas le faire suffisamment sinon ils vont perdre leurs élections.

      2. jeanfrancoiscouture dit :

        Malgré l’admiration que l’on peut éprouver pour les gens de la NASA, leur défi n’était que technologique. L’idée était de construire, à partir de presque rien, un taxi capable d’amener un humain sur la lune et surtout, de le ramener sain et sauf.
        Quant à la théorie de Yuval Noah Harari, c’est autre chose. Tous les «Sapiens» évoluant jusqu’à devenir «Deus»? Ou plutôt ne serait-ce pas plutôt quelques «Sapiens» maîtrisant suffisamment les ressources et surtout les technologies pour réduire à la marginalité voire à l’inutilité les «Sapiens ordinaires»? Là, nous tombons dans une forme avancée de science fiction dont certaine bandes dessinées nous abreuvaient déjà il y a près de trois quarts de siècle.
        Et entre le «Dieu» des religions dites «grandes» qui est réputé avoir créé non seulement la terre et son «Sapiens» mais tout l’univers connu et inconnu, il faut avoir du front pour penser que l’ensemble de ces «Sapiens» atteindront semblable statut alors qu’ils ne sont même pas capables de prédire la météo plus d’une semaine à l’avance et les tremblements de terre entre 10 et 45 secondes.
        En attendant, il est loin d’être réconfortant de penser qu’un plus ou moins lointain, ce sera les créateurs d’algorithmes qui mèneront le monde. Le servage, version non pas 5G mais peut-être 25G, merci pour moi.

      3. jcvirgil dit :

        @lecteur curieux
        Intéressant mais un monde nouveau présentant de nouveaux defis demande aussi de nouvelles façons de penser l’économie.

        Vous avez vous-même mis un lien dans lequel le professeur Omar Aktouf nous fait part qu’on épuise chaque année de plus en plus rapidement les ressources de la planète en ne permettant plus à la nature de les renouveler.

        C’est sur ce fait établi que les politiciens,les économistes ,les scientifiques et les entrepreneurs doivent désormais travailler.

        @JF Couture

        Je vois que vous avez lu Harrari. Il avance dans son essai une vision de l’avenir soutenue par les dernières découvertes de la science informatique et générale.

        C’est évidemment une vision de l’avenir en regard avec l’evolution rapide des dernieres années dans ces domaines et surement pas une certitude
        Elle ouvre cependant la voie à la discussion et à ceux qui comme vous craignent une espèce de servitude devant les algorithmes qui prennent de plus en plus de place fans nos vies.

        A suivre comme dirait l’autre. .

      4. Lecteur_curieux dit :

        Pour Omar Aktouf, il était le responsable de la filière management quand nous étions étudiants et son ouvrage le management entre tradition et renouvellement était étudié en même temps que celui de Gareth Morgan Images de l’Organisation.

        Voyez pour l’économie néoclassique et la finance aussi avec la théorie du portefeuille, la maximisation de la richesse des actionnaires, le calcul des valeurs actuelles nettes, les betas, etc. Et d’autres cours aussi comme en gestion des opérations et de la logistique.

        Tout cela peut entrer dans la philosophie du management traditionnel dont il critique les lacunes et on doit aller vers un management renouvelé mais sans pour autant autant abolir ce management traditionnel. Chez Gareth c’est appelé la métaphore de la machine. Hervé Fisher lui parle de la pensée linéaire plutôt qu’en arabesque. Il faut les deux. La pensée complexe aussi chez. Edgard Morin.

        Les modèles du management traditionnel ou de la finance ou de l’économie néoclassique ne sont pas forcément mauvais tant qu’ils ne deviennent pas des dogmes, des doctrines, une idéologie.

        Mais on n’y échappe pas ? Avec Morgan on adopte une approche constructiviste et en voyant plusieurs métaphores.

        Voyez dans l’ouvrage d’Aktouf édition de 1989, il vante le Japon et sans dénigrer les techniques japonaises mais ce qu’on les conseillers en gestion en ont fait par la suite on perd la philosophie pour être dans l’obsession de la mesure et des chiffres. Donc au final du taylorisme appelé maintenant méthode Toyota. Alors que tout dans les cercles de qualité et tout doit impliquer une coopération.

        Ces modèles de société qu’il met de l’avant se rapprochent tous de la sociale-démocratie.

        Avec les frères Chanlat c’est l’approche humaniste qui doit primer.

        Un titre d’un des livres comportait les mots compétition et coopération, un des deux Chanlat.

        Les républicains ce n’est que la compétition dans leur modèle de gouvernance. Nos banques quand elles abordent la rémunération des hauts dirigeants ne parlent que de la compétition et ne diront jamais qu’ils sont trop payés et non pas les meilleurs mais des gourmands qui le sont trop.

        Et on revient aux cours de philo du cégep.

      5. jcvirgil dit :

        @lecteur curieux 18h28

        J’ai suivi le cours de Management d’Aktouf aux HEC en cours du soir en 90-91.Ca nous rajeunit pas.

        C’est certain que son approche axée sur la complicité avec l’employé qui devient un complice actif dans la direction de l’entreprise dans son style de gestion est plus axée sur l’humain que sur la tâche.

        Son approche politique est aussi sociale-democrate. D’ailleurs il s’est deja présenté sous la bannière du NPD dans Outremont.

        La sociale-démocratie n’est-elle pas la forme la plus évoluée de système politique pour assurer un partage optimal de la richesse générée par le travail , à l’opposition du système économique capitaliste wasp qui prône l’accumulation de richesses au sommet de la pyramide sociale et un ruissellement postérieur vers le bas qu’on attend toujours ?

        D’ailleurs le coefficient Gini de L’ONU qui mesure l’indice de bien-être des populations de la planete, démontre chaque année que les pays où il fait le mieux vivre adoptent cette forme de gouvernement.

      6. Lecteur-curieux dit :

        Le coefficient de Gini mesure l’égalité/inégalité. L’indice de bonheur est mesuré autrement mais celui de Gini est un des facteurs soit être plus égalitaire.

        Je ne suis pas en débat avec Omar Aktouf. Il est une de mes/nos influences, on ne suit pas à la lettre ou on n’adhère pas à 100% à tout ce qu’il dit. Par contre, il n’a vraiment pas été assez écouté par nos dirigeants parmi les plus influents. Son influence n’est pas nulle mais ce qu’il dénonçait avec vigueur est encore pire ici en Amérique du Nord, nos dirigeants ne l’ont écouté que très peu mais c’est moins pire qu’aux États-Unis bien qu’ils en ont des gens vraiment ouverts et plus encore que les frères Lemaire qui étaient un bon exemple. Mais en lisant cela le livre sur la philosophie du respect j’y voyais un forme de paternalisme. Un prof qui avait contribué au livre d’Aktouf voyait la même chose. Sauf que personne n’est parfait

        Aktouf était le responsable de la filière et on étudiait son livre dans le premier cours les gestionnaires et les organisations. Plusieurs étudiants dans les formulaires d’évaluation avaient demandé à le rencontrer dont moi. Et pour le cours suivant j’avais dit que l’ordre des cours devrait être modifié et ils l’avaient fait. Ils les lisaient en svp les commentaires et suggestions des étudiants. Le hic c’est qu’ il faudrait qu’il revienne à la fin du B.A.A. et aussi que cela reste présent pendant toute la carrière du dirigeant. Chez beaucoup, il semble que rester 1 ou 2% de Aktouf c’est la mentalité dominante de la finance et de la maximisation des profits qui prend le dessus. Malgré certains discours le niant.

        Aktouf quand il était venu nous rencontrer avait fait un commentaire sur Pierre Péladeau qu’il n’aimait pas du tout alors que moi je l’aimais bien. Pas grave. Il incarne une chose opposée. Quelques années après notre diplôme des étudiants avaient eu pour « bonne » idée de faire rencontrer Foglia et Aktouf. Je m’en doutais tout de suite que cela ne cliquerait pas. Grand lecteur de Foglia que j’étais depuis 1988. Je n’étais pas du tout d’accord avec le texte de Foglia et c’était une des premières fois bien qu’avant dans un autre texte je l’avais trouvé rude envers une personne, une femme. Tout est dans l’interprétation, elle admirait Foglia mais lui envoie toute son œuvre à elle. Elle aussi elle avait mal compris Foglia. Pour le fameux texte, Aktouf est un véritable intellectuel alors qu’Amir Khadir est plus un militant. Foglia lui avec les typographes au départ est issu d’une forme de syndicalisme de combat. Aktouf dans son livre donnait comme modèles la Suède, le Japon et l’Allemagne de l’Ouest. Un des facteurs de succès d’une véritable sociale-démocratie est que patrons et syndicats marchent main dans la main.

        Vous voyez tout de suite que ce n’est pas la même gauche. Aktouf lui continuait à donner ses conférences et à des dirigeants. Il me faisait alors penser à un bon curé faisant son sermon et l’assistance semble réceptive mais aussitôt la messe finie ils retombent dans le péché.

        Aktouf était plus pédagogue maintenant il montre une urgence d’intervenir par les gouvernements.

        Pour la social-démocratie et le Québec je considère que le PQ de René Lévesque était sur cette voie mais que la crise du début des années ’80 et que Reagan et Tatcher ayant une grosse influence dans le monde avec à la fois une vision néolibérale et conservatrice cela a forcé le PQ et Jacques Parizeau s’est mis les fonctionnaires dont les enseignants à dos. Et le PLQ se préparait alors à revenir.

        La social-démocratie véritable n’a jamais été atteinte au Québec mais plus un libéralisme modéré par la suite et avec des éléments de sociale-démocratie. Certains disent que nous sommes trop consensuels alors que nous le sommes pas assez. Ou encore on met le couvercle ou on abrille le débat. On cesse de discuter alors que le problème n’est pas réglé. Ce n’est pas cela un consensus.

        Dans un vrai consensus, on peut avoir fait des compromis mais on est d’accord sur la solution mise de l’avant même si imparfaite. Dans un faux consensus on se dit la chicane se n’est pas beau et le problème cesse d’être discuté.

        ———–

        Les influences multiples. Il faut essayer de toutes les intégrer mais c’est difficile à résumer. Cela doit plus se vivre que s’écrire.

        Sinon lisez aussi le site de Michel Morin artiste-philosophe et allez lire des archives dans La Presse et Le Devoir quand il était encore un étudiant en philo. Et leur groupe agissant en dissidents intellectuels lors de la Nuit de la poésie.

        Alors que Raoul Duguay est de l’autre bord. Une autre grande influence.

        Vous prenez aussi Richard Desjardins versus Pierre Péladeau s’opposant. Je suis du bord de Desjardins à 100% dans cette confrontation. L’entrepreneur ou l’industriel doit se sentir concerné par la santé des forêts.

        Il y en a tellement d’influences. On ne peut pas être d’accord avec eux sur tout. Ce sont des influences, des inspirations mais non des gourous. Certains parmi eux le sont mais pas pour moi dans ma relation avec eux.

        Cela avait donc du bon que je commence à ne pas être toujours d’accord avec Foglia.

        Mais voyez François Richer à HEC était aussi lecteur de Foglia. Sympa par ailleurs mais je n’ai pas la même vision de la vie que lui. Ce CPA-CA est un libertarien même s’il est issu du milieu artistique et que sa cousine est une journaliste/chroniqueuse bien connue à La Presse.

        On ne déteste pas Richer on ne pense pas comme lui bien qu’une partie oui. Jamais parfaitement d’accord, jamais en désaccord sur tout.

        Nos autres influences parmi elles Boy George et Michael Jackson ?

         » I am a man without conviction  »

         » It doesn’t matter who’s wrong or right »

         » I’m a lover not a fighter « 

      7. Lecteur_curieux dit :

        @jcVirgil

        Je préfère le terme théorie de l’offre et j’ai transcrit hier des passages de notre livre d’économie microéconomie de Baumol et consorts du cégep.

        Il y a bel et bien une partie de la richesse qui descend vers le bas, un graphique sur un lien l’explique bien mais des pinottes.

        Dans la théorie de l’offre on stimule l’économie par les réductions d’impôt et cela fonctionne mais ces tenants veulent cela en tout temps. Et non comme mesure temporaire et pas ciblée non plus.

        La théorie de l’offre est basée sur la compétition et les inégalités si on est trop égaux on n’est pas incité à travailler plus fort ou intelligemment.

        La gauche elle c’est la justice sociale qui compte et donc plus d’égalité.

        Temporairement des travailleurs peuvent aimer un peu de théorie de l’offre qui fait grossir la tarte même si les dirigeants s’en accaparent une plus grosse part. Eux aussi reçoivent des salaires qui augmentent. Mais pinottes ou vu comme injustes car les gros ont la part du lien.

        Un gouvernement doit plutôt avoir une politique économique et fiscale équilibrée et juste. En macro il y avait des politiques sectorielles possibles.

        Leur problème c’est d’être doctrinaires et dogmatiques. Il faut avoir la bonne politique fiscale, réduire le fardeau quand cela est approprié.

        Bon eux l’administration Trump l’ont réduit pour des gens ou entités qui en payaient déjà pas assez. Par contre, certains en ayant bénéficié on pourrait juger cela juste.

        Une réduction d’impôt reste une stimulation mais est-ce qu’ils font avec l’argent ce que plusieurs désireraient ? Non, ils font ce qui est le plus avantageux pour eux.

        C’est pareil pour la déréglementation. Des entreprises ont déjà tout intégrés les coûts liés. La réglementation ne leur nuisait même pas. Alors que pour des plus petits elle est vraiment lourde.

        Je reviens au management et à la sociale-démocratie mais aussi à l’exemple des frères Lemaire qui sont des patrons mais ne veulent pas avoir de privilèges ou trop. Ne pas avoir des bureaux ultra-luxueux ou je crois l’exemple d’avoir une Ferrari avait été donné dans le livre de Gérard Cuggia je crois le nom de l’auteur. Je crois qu’un des frères a fini par en avoir une mais en demandant la permission à ses employés. Et eux mettaient la main à la pâte et tout. Les employés étaient alors :  » voyons boss vous le méritez amplement « .

        Dans la théorie de l’offre et chez le Donald Trump des années’80 il va se pavaner avec ses joujous et étalant sa réussite à tous. Certains aiment peut-être mais… Le sentiment peut être:  » gros cochon qui se vautre dans le luxe alors que d’autres crèvent de faim « .

        Et pire que pire même en faillite il continuait à vivre dans la richesse ostentatoire.

        C’est tout cela qui est lié à la théorie de l’offre en le voyant réussir ils vont vouloir faire pareil.

        Et en réduisant la fiscalité et en croyant que trop d’impôts tues l’impôt. Avec des endoctrinés il y aura toujours trop d’impôts mais on peut aussi le dire chez la gauche il y en a jamais assez.

        Quand on vit dans un monde binaire d’opposition. Dans une vraie coopération même si les positions respectives sont plus d’impôt côté syndical, être en faveur de et moins chez les patrons. Une forme d’accord de consensus, de compromis se fait.

         » Chacun son tour l’assiette au beurre  » disait ma parenté dans la classe populaire. Même si c’est juste à un repas de famille. Le père veille au bien-être de tous. Et il pense aux petits en premier.  » Laissez-en pour les petits « .

        C’est philosophique des riches qui savent faire preuve au moins d’une certaine humilité versus ceux avec leur succès et leur richesse écrasent les autres et les traitent de perdants. Les deux fils aînés de Trump ont exactement cette face et attitude d’arrogants.

        Heureusement les riches ne sont pas tous comme eux mais la tentation de l’être est présente. Ceux qui ne le sont que légèrement ce n’est pas trop pire.

        Mais on apprenait cela dans nos livres d’enfance comme Elizabeth Fry allant visiter des femmes en prison, elle s’habille modestement. Ne pas faire comme une genre de Melania et aller étrenner une nouvelle griffe d’habits dispendieux.

        Imaginez des femmes de milieux populaires et difficiles qui la voit arriver avec ses beaux vêtements:

         » Je m’en va l’étamper la sodite baveuse. Kosse ka l’a d’affaire à venir nous niaiser icitte « .

        Une forme de justice sociale et d’égalité mais sans en faire une idéologie de l’égalitarisme.

      8. Lecteur-curieux dit :

        https://en.m.wikipedia.org/wiki/Supply-side_economics

        Sur l’économie de l’offre. Je trouve qu’on insiste trop sur l’opposition entre les deux écoles de pensée et demand side c’est plus Keynes.

        En macroéconomie à l’université on voyait à la fois Keynes et l’école monétariste de Milton Friedman et les deux théories se tiennent même si on fait l’inverse et on fait les graphiques.

        Alors quoi on se met dans la peau du gouvernement et de la Banque du Canada? C’est sûr que les deux en même temps tu peux annuler tes effets sur l’économie.

        Cela prend du jugement et du doigté alors parfois une et parfois l’autre. Ou même les deux mais en jaugeant et en jugeant les effets.

        Dans le texte sur Wiki ils parlent de Kennedy bien d’après ce qui est écrit il avait raison de réduire les impôts. Alors que pour Reagan son programme est fortement idéologique à droite.

        C’est comme conclure que Keynes ne fonctionne pas, c’est plus que les gouvernements font presque toujours des déficits alors que lui dit en faire en récession seulement et de faire des légers surplus en période de croissance.

        Alors c’est une approche équilibrée sur le long terme. Et dire que l’on parlait d’austérité et d’obsession du déficit zéro alors que cela devrait être dans une approche équilibrée.

        Cependant cela reste politique. La dette est-elle vraiment trop élevée ou pas ? Jeune au cégep je voulais la réduire de beaucoup et même parfois imaginer l’inverse alors le revenu minimum garanti est facile à donner avec un avoir net positif pour le gouvernement plutôt que des déficits cumulés.

        Bon mais cela va au-delà de cela. Ce n’est pas être tous des rentiers. Est-ce trop de dette ? C’est politique car c’est qui qui paye en bout de piste?

        Au Japon cela ne semblait pas trop les inquiéter.

        Les discussions politiques peuvent être musclées plutôt que de regarder calmement les effets possibles.

        C’est la même chose avec toutes les politiques c’est une approche équilibrée qui est souhaitable. Bon mais on la définit comment?
        Par la discussion, la négociation et le débat plutôt qu’être fixée dans le temps.

        Si seulement c’était vraiment comme cela. Il y aurait moins des dialogues de sourds. C’est pareil comme en relations de travail. Le prof nous parlait du secteur privé où les conventions collectives se négociaient bien dans la majorité des cas. Oui il reste pro-patronal mais on voyait pareil le film de Michael Moore Roger & Me et c’est la direction qui est blâmée par le prof et non juste par Moore.

        Pour la division Saturn du temps pour les relations de travail ils étaient positifs mais cela prend plus.

        C’est la même chose en économie et politique qu’en relations de travail. Parfois c’est la direction, parfois c’est le syndicat qui a raison. D’autres fois on ne s’entend pas sur les objectifs visés d’autres fois sur les moyens pour les atteindre.

        Les conflits peuvent être positifs mais à la condition de les solutionner ou de les résorber ou les atténuer. De trouver un compromis réellement acceptable et non une frustration plus grande pour tous.

  15. Apocalypse dit :

    @Lecteur_curieux – 14:56

    Conquérir l’espace aurait toujours dû être une priorité et pas seulement pour les Etats-Unis, mais pour toute l’humanité, Il aurait fallu travailler pour s’installer ailleurs, car de sérieux dangers guettent la Terre et je ne parle pas seulement des changements climatiques (ex. astériodes). Comme toujours, on pense à court terme et regarder où nous en sommes, plutôt désolant.

    1. Lecteur_curieux dit :

      Intéressant l’utilisation du mot conquête… Et qui est en partie la raison pour laquelle on détruit notre planète et on crée des injustices.

      Conquérir l’espace, coloniser une autre planète. Par chance, il n’y a pas d’habitants sinon on reproduirait les mêmes défauts.

      Il faut continuer à EXPLORER l’espace et même faire comme dans Cosmos 1999 mais pas trop avec une mentalité de conquérants et donc de dominateurs.

      Bon mais cela reste un défi technologique, scientifique. Un peu l’esprit de conquête mais pas trop.

      Ah des conquêtes amoureuses ? Les deux personnes doivent tomber amoureuses.

      L’humain n’est pas là pour soumettre ou dominer la nature ou l’espace mais réaliser en faire partie. Et alors oui continuer son évolution et donc ses progrès dans tous les domaines. Mais en étant dans la destruction de nos ressources et allons donc en trouver d’autres sur une autre planète.

    2. A.Talon dit :

      «Il aurait fallu travailler pour s’installer ailleurs, car de sérieux dangers guettent la Terre…»

      Je ne crois pas que trouver de d’autres mondes à coloniser pour mettre en sécurité l’Humanité doit être la motivation première pour conquérir l’Espace. Disons plutôt que la conquête de la Lune fut très fructueuse aux plans scientifique et technologique (nous vivons en effet toujours sur l’héritage de la recherche spatiale des années ’60) et qu’il en serait de même pour la conquête du système solaire au cours du XXIe siècle. Et plus nous développerons nos connaissances scientifique et technologique, mieux nous serons équipés pour faire face aux aléas de la vie sur notre bonne vieille Terre, les changements climatiques au premier chef.

  16. A.Talon dit :

    «mais, comme on avait l’habitude de dire à la NASA : ‟No bucks, no Buck Rodgers”.» (D.Brinkley)

    Exactement. On demande l’impossible à la NASA (ex: retour sur la Lune dès 2024) mais sans lui donner les moyens financiers nécessaires. Pas surprenant que le développement du lanceur SLS et du module de commande Orion soit si lent: plus d’une douzaine d’années déjà qu’on planche sur ces projets et on on a encore pour au moins 3 ans avant de voir un vol habité à bord d’Orion. Et pour épargner, on a même dû demander aux Européens de prendre en charge (finances et techno) le développement du module de service d’Orion, module complexe et très dispendieux. Par dessus le marché, on n’a toujours pas le moindre projet officiel d’alunisseur à moins de 5 ans de la date visée par les «génies stables» de la Maison Brune. Bref, on est très loin politiquement de la compétence des administrations démocrate et républicaine des années ’60.

    https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/201907/19/01-5234467-les-lecons-dapollo-ou-comment-une-organisation-peut-decrocher-la-lune.php

    1. A.Talon dit :

      J’ai oublié de mentionner le manque de scaphandres utilisables pour les nouveaux défis imposés à la NASA.

      Voici un article de presse nous rappelant l’urgence de développer de nouveaux scaphandres taillés sur mesure pour le retour à la Lune et les premiers pas de l’Homme sur Mars.

      «Pour retourner sur la Lune, l’urgence de nouvelles combinaisons spatiales»
      https://www.lapresse.ca/actualites/sciences/201907/19/01-5234495-pour-retourner-sur-la-lune-lurgence-de-nouvelles-combinaisons-spatiales.php

      Un scaphandre, c’est comme un véritable vaisseau spatial en miniature. C’est long à développer et ça coûte une fortune à fabriquer. Ceux que la NASA utilise présentement sur la station spatiale internationale datent déjà d’une bonne quarantaine d’années et aucun nouveau modèle n’a encore été développé depuis la fin des années ’70. Là aussi, on constate le manque de cohérence des décideurs politiques des années 2000, la bande de kkklowns de la Maison Brune au premier chef.

  17. Denis Bergeron dit :

    L’ignorance facilite bien le contrôle de la population, on peut leur faire accroire que la lune n’existe pas.

    1. Haïku dit :

      @Denis Bergeron 16:00
      Bonne éclipse !👌

  18. Apocalypse dit :

    @A.Talon – 15:51

    Avez-vous pensé, et je sais que dans votre cas, la réponse est oui, aux miliards et milliards et milliards que les Etats-Unis et les autres pays de la planète ont mis dans les armements de guerre. Si on avait pris qu’une petite portion de cette argent pour l’exploration spaciale, on serait sur Mars depuis un moment.

    On regarde aller l’humanité et ça donne le goût de sortir la bouteille et de prendre un verre ou … dix|(10).

    1. A.Talon dit :

      Argument classique mais combien vrai. C’est bizarre comme les cordons des bourses des États se délient facilement quand il s’agit d’achat d’armement. Tout aussi bizarre comme les cordons de ces mêmes bourses sont difficiles à délier quand il s’agit d’investir dans l’éducation publique, les systèmes de santé et le développement de la connaissance scientifique.

      La nature humaine est parfois bien exaspérante. Espérons que l’Humanité saura franchir le cap de l’adolescence sans trop de dommages. Je ne voudrais pas qu’une catastrophe planétaire quelconque accompagnée d’une réduction drastique de la population (pensez à la ligne du temps de Star Trek, par ex.) soient nécessaires pour nous ramener définitivement sur la voie de la sagesse.

    2. Louhutch dit :

      Et si on avait pris cet argent pour nourrir tous les enfants qui meurent de faim dans le monde?

  19. Apocalypse dit :

    @jcvirgil – 15:55

    ‘C’est vrai mais quand on voit ce que les scientifiques de la NASA ont réussi en partant de rien dans les années 60, on se dit que tout est une question de volonté.’

    De la volonté, de l’argent, des objectifs clairs et les humains, qui sont d’incroyables ‘problem solver’, peuvent faire de grandes choses, de grandes découvertes comme on l’a souvent vu au cours de l’histoire.

  20. Alexander dit :

    On remarquera que la course à la lune et à mars a largement ralenti dans les années 1970. Ce n’est donc pas une affaire de parti politique car les deux grands partis se sont échangés le pouvoir depuis 40 ans.

    C’est une plus une question de priorisation des budgets et objectifs.

    Et dans un état guerrier comme les EU, les priorités militaires ne sont jamais loin. C’est leur façon de tenter de dominer le monde. Qu’on soit d’accord ou pas. Et peu importe le parti.

  21. chrstianb dit :

    Le retour sur la Lune? Mars? Je suis très peu convaincu.
    Le budget de la NASA dans les années 60 était astronomique. Au max, en 1966, il a atteint, en $ actualisé de 2014, le montant de 45 milliards $ pour 4.5 % du budget du gouvernement fédéral.
    https://www.wikiwand.com/en/Budget_of_NASA
    Aujourd’hui, le budget de la NASA est autour de $ 20 milliards $ US soit moins de 1% du budget fédéral. Et ils veulent aller sur Mars avec ça?

    En passant, il y a un live en temps réel de la mission Apollo 11 sur la chaine YouTube Stardust (français). Avec les films 16 mm, photos, dialogues enregistrés et les transcripts. Génial.
    Le module lunaire vient de se poser sur la Lune. Sortie d’Amstrong et Aldrin vers 22h00 ce soir.

    1. A.Talon dit :

      Voir aussi «Moonscape – The Apollo 11 Moonwalk in HD» avec toutes les phases de la mission Apollo XI téléchargeables en haute définition (1080p) avec sous-titres en langues anglaise ou italienne.

      https://moonscapemovie.blogspot.com/

      1. A.Talon dit :

        Voir aussi le «Apollo XI Lunar Surface Journal» avec la transcription complète (et commentée) des communications des phases les plus importantes de cette mission spatiale historique.

        https://history.nasa.gov/alsj/a11/a11.html

        Évitez cependant la traduction française proposée sur cette même page. Tentative intéressante mais ratée puisque le résultat final est tout simplement atroce. Tout est à refaire selon moi.

  22. AB road dit :

    Bin en tout cas, si les Américains veulent un jour envoyer quelqu’un sur Mars pour un voyage aller-seulement, c’est bien leur Président actuel qui serait leur meilleur candidat.

    Lui, qui rêve toujours de passer à l’Histoire comme étant le Plus Grand.

    Voilà son occasion…

    1. Michèle dit :

      Bonne idée…mais compte tenu de son état physique, il ne survivra pas au décollage 😉🙄🤣

      1. z6web dit :

        Pas vraiment grave 😁

    2. gigido66 dit :

      Et surtout le PREMIER POTUS!

  23. spritzer dit :

    Dans un monde immaculé, l’homme débarque en 1969 et après six petites missions il a déjà laissé des tonnes de déchets sur place. L’humanité n’est pas assez évoluée pour mettre les pieds sur d’autres planètes, on va y faire plus de dégâts qu’autre chose.

    À propos de ce qui est resté sur la Lune, quand d’autres y retourneront c’est impératif qu’on nous montre un jour de ces déchets pour prouver que les missions Apollo ont bien eu lieu. Je ne dis pas que je suis un sceptique, mais beaucoup le sont et ils ont des arguments.

    1. spritzer dit :

      Ça me rappelle ces photos du majestueux mont Everest, avec un champs d’ordures à sa base.

    2. kintouai dit :

      Paraît qu’y a sur la Lune un sac d’ordures avec l’inscription GLAD, mais que des Russes sont passés par là et ont changé le «G» par un «V».

      1. Haïku dit :

        kintouai
        Touché !👏👌

    3. A.Talon dit :

      @ spritzer 17h42
      «Dans un monde immaculé, l’homme débarque en 1969 et après six petites missions il a déjà laissé des tonnes de déchets sur place.»

      Faut pas voir un drame là où il n’y en a pas. La surface de la Lune est plus grande que celle de toutes les terres émergées sur notre propre planète. Ce n’est donc pas l’espace qui manque pour accumuler les dépotoirs, d’autant plus qu’il n’y a aucune écologie à protéger sur place.

      1. Richard Desrochers dit :

        Bonne idée… on pourrait au lieu d’y envoyer des hommes y envoyer tous nos déchets non recyclables.
        Parlant de déchets, je viens de me rendre compte qu’on peut y compter aussi des hommes…

      2. A.Talon dit :

        @ Richard Desrochers 8:58

        Je ne parlais pas d’expédier des déchets sur la Lune. Je disais seulement qu’on n’avais pas à craindre d’y accumuler des déchets suite à l’activité humaine sur place. Mais quelque chose me dit qu’on en produira somme toute très peu dû à la nécessité de recycler au maximum tout ce qui peut l’être au lieu de tout importer de la Terre à des prix prohibitifs.

      3. Richard Desrochers dit :

        Je ne vous attribuais pas cette idée, vous ne l’avez pas du tout exprimée.

      4. spritzer dit :

        @A.Talon

        « La surface de la Lune est plus grande que celle de toutes les terres émergées sur notre propre planète »

        Mais non, l’Asie est plus étendue que la surface de la lune, 44,4M km² contre 37,9M km²
        https://www.universetoday.com/20489/moon-compared-to-earth/

        Quant à la pollution qu’on y laisse, à mon sens c’est une question morale qui indique bien qu’on est pas prêt à débarquer sur d’autres astres. Si c’était une question de survie ce serait différent mais ça ne l’est pas, et en plus ces missions profitent essentiellement au secteur militaire sous l’égide du Pentagone.

      5. A.Talon dit :

        @ spritzer 16h14
        «Mais non, l’Asie est plus étendue que la surface de la lune, 44,4M km² contre 37,9M km²»

        OUPS! Vous avez parfaitement raison. Il n’y a pas que M. Hétu à avoir fait une bourde aujourd’hui. 😉

        Superficie des terres émergées : 149,4 millions de km2
        Superficie de la Lune: 38 millions de km², soit la superficie des deux Amériques réunies

        Toutes mes excuses. J’ai probablement confondu avec la planète Mars et ses 144,8 millions de km2. J’aurais dû vérifier avant de publier. Il n’en reste pas moins que cela fait beaucoup d’espace disponible sur l’astre de la nuit et qu’il ne faut pas dramatiser outre mesure la présence des «déchets» qu’on y a laissé il y a 50 ans. «Dépotoirs» récemment promus au rang de sites historiques par l’administration américaine, faut-il préciser.

        https://www.whitehouse.gov/wp-content/uploads/2018/03/Protecting-and-Preserving-Apollo-Program-Lunar-Landing-Sites-and-Artifacts.pdf

  24. 430a dit :

    N’empêche…

  25. InfoPhile dit :

    «on serait sur Mars depuis un moment»

    Mais pour y faire quoi ?

    Au pire, colonisons le Sahara, l’Antarctique ou le fond des océans. Encore que le plus raisonnable consiste à contrôler la démographie humaine et d’en limiter la consommation matérielle, mais non pas culturelle, intellectuelle ou même spirituelle au sens le plus large dans ce dernier cas ( soit la dimension biologico-philosophico-psychologique, là où le sagace Boris Cyrulnik porte ses efforts).

    À mon avis, l’humanité en apprend incomparablement plus avec les divers télescopes qu’elle met au point et place un peu partout, y compris en orbite terrestre, et avec les collisionneurs de haute énergie.

    Hubble nous a obligé à reconsidérer de quoi est composé l’Univers (matière noire, énergie noire). Tandis que le collisionneur du CERN a réalisé un exploit extraordinaire en confirmant l’existence du boson de Higgs et Co.

    L’espace ? Au mieux, si on a du cash de lousse, c’est une affaire de sondes.

    Et qui sait, on en apprendra peut-être davantage grâce à l’intelligence artificielle que nous sommes à mettre au point ?

    Les écosystèmes de la terre se dégradent. Il vaut mieux y consacrer le peu d’énergie dont nous disposons dans le but de contrer ce phénomène, voire de l’inverser.

    Entièrement d’accord quant à la déraison sous-jacente à la sur-militarisation sévissant dans de trop nombreux pays depuis trop longtemps.

    1. Achalante dit :

      Pour contrôler la démographie, rien de tel qu’un peuple éduqué, une faible mortalité infantile, des soins de santé accessibles. Ce n’est pas un hasard que les sociétés dites « riches » ont une faible natalité alors que celles en voie de développement ou en état de guerre civile (donc avec un haute mortalité) one de grosses familles. C’est la préservation de l’espèce, pure et simple. Si toutes les nations de la terre étaient en paix et égalitaires, la population de la Terre 🌏 plafonnerait rapidement.

  26. mhbdotblog dit :

    à A. Talon 16:30 J’aime!
    Quelle aventure, Et qui croyaient à l’époque que la terre était plate …. tout comme « certains abrutis » y croient à notre époque 😉

  27. Carl Poulin dit :

    Des milliards et des milliards de dollars pour financer l’armement, la conquête spatiale, les biotechnologies agricoles douteuses et des guerres soit-disant religieuses. Et j’en passe.
    Que serait l’humanité d’aujourd’hui si on avait investi tout ces milliards dans une saine planification du bien-être de notre planète et de ses habitants? Il y a trop peu de ressources naturelles sur la Terre pour subvenir aux besoins de tous. Quelles soient alimentaires, médicales ou matérielles, on en est rendu au point où on ne peut même pas espérer atteindre une qualité de vie rudimentaire pour l’ensemble de la population terrienne. Dans ces circonstances, je crois que notre futur collectif est plus que sombre et ma seule consolation, c’est que mes filles ne me donneront pas de descendents qui pourraient souffrir l’innévitable apocalypse humanitaire dans un avenir plus proche qu’on peut se l’imaginer.

    1. Carl Poulin dit :

      Malheureusement, homo sensus n’à pas encore remplacé l’homo erectus.

      1. gl000001 dit :

        L’homo erectus pense avec son sexe 😉

      2. Haïku dit :

        @gl000001 21:01
        « Le sexe, la violence et le terrorisme devraient être interdits »(V.Poutine).
        Hahaha.

  28. Ziggy dit :

    En 1969 j’avais 13 ans j’étais en vacance comme d’habitude à l’époque àOld Orchard beach au camping « Pine Crest » si je me souviens bien.Alors que mon père mà mère et mon petit frère étions assis autour du feu à manger des guimauves le voisin de camping tout exité un américain bedonnant baragouinait à mon père en lui montrant là t.v.installer sur la table de pic nic q’il était sur le point de présenter l’alunissage du vaisseau américain sur la lune ,en deux seconde ont avaient tous les yeux rivés sur l’écran une fois l’astronaute au sol le gros bonhomme embrassait tout le monde moi à partir de ce moment j’ai pratiquement mis ma carabine à air comprimé qui tirait des bouchons de liége que mon père m’avait offerte àpres une journée de harcèlement, je voulais maintenant étre astronaute ,àméricains, manger des oeufs avec du ketchup et du steak haché comme notre voisin.C’était dans le temps que les USA était le phare du monde libre.J’avais vu à l’expo universelle de 1967 au pavillon américain un vaisseau Gémini , un allunisseur et surtout un scaphandre d’astronaute avec un casque et au pavillon Russe le Vostok qui avait le premier quitté l’atmosphére terresse.. avec le cosmonaute Gagarine.Quand ont jouaient mon frère était toujours un cosmonaute et moi je vous le dit pas.

    1. Carl Poulin dit :

      @ Ziggy
      On a tout les deux des souvenirs communs de ces deux merveilleux événements.
      J’suis pas devenu astronaute mais je suis quand même quelque part sur la station spatiale internationale grâce aux rêves et à la passion qu’ont engendré chez moi ses deux pans de notre histoire Québécoise. M. Lebrun dont j’ai bu ses paroles jusqu’à très tard le soir de l’l’alunissage à été le détonateur du choix de ma future carrière. Les deux magnifiques pavillons des États-Unis et de l’URSS
      avec leurs artefacts scientifiques en ont été le germe.
      Mais cette fameuse Expos 67 a aussi été à l’origine de ma curiosité culturelle et du respect pour d’autres nations présentes. Les magnifiques assemblages de céramiques multicolores du pavillon de l’Iran, les musiciens déjantés et très colorés des pays d’Afrique présents et leur bouffe épicée à vous faire danser joyeusement jusqu’à l’épuisement. Mais surtout, le souvenir de ma grand-maman et de ma mère qui étaient ébahies devant tant de beautés.

    2. Haïku dit :

      Ziggy
      Anecdote très à propos. Merci.👍

    3. gl000001 dit :

       » et moi je vous le dit pas. »
      Hugh Hefner ?

      1. Haïku dit :

        Je ne lis que la chronique.😉

  29. chrstianb dit :

    Pour revivre la mission Apollo 11 de -1min jusqu’au retour:
    https://apolloinrealtime.org/11/

  30. Lecteur-curieux dit :

    Il y a des débats ou sous-débats abordés dans plusieurs messages ici.

    Une lecture donnant une explication du cheminement de l’humanité pourrait être Théorie de la Religion de Georges Bataille et dont l’ouvrage écrit en 1948 mériterait une cinquième partie.

    Prenons pareil les titres des chapitres 4, 5 et 6 de la partie IV :

    4. L’accomplissement de la conscience claire de la chose ou la science.

    5. La conscience de soi.

    6. La destruction générale des choses.

    Allez une petite citation à la page 135 du chapitre 6 :

     » Il n’est pas en ce monde d’immense entreprise qui ait d’autre fin qu’une perte définitive dans l’instant futile. »

  31. A.Talon dit :

    Voici de quoi faire réfléchir les vendeurs d’huile de serpent, les théoriciens de la conspiration et autres trumpeux mettant en doute l’exploit de la NASA dans les années ’60: «Moon Hoax: Debunked!», un bouquin en ligne entièrement dédié à répondre aux objections parfois franchement loufoques des idiots orangés et autres adorateurs de «fakkke news».

    http://www.moonhoaxdebunked.com/

    1. spritzer dit :

      C’est un site intéressant et il faut avouer que sans des connaissances assez pointues, il est difficile de répondre à certaines objections des sceptiques. Ce site le fait bien en autant que je peux le constater.

      Deux points m’intriguaient: Pas de cratère sous le LEM, et pas de poussière sur les pieds du LEM.
      https://www.moonhoaxdebunked.com/2017/07/811-why-is-there-no-dust-on-apollo-11s.html

      1. gl000001 dit :

        « Tu retourneras en poussière »
        Il n’y a pas eu mort d’hommes sur la Lune. Donc pas de poussière. CQFD !

  32. Lecteur-curieux dit :

    Un astronaute a aussi besoin de fantaisie:

    https://en.m.wikipedia.org/wiki/I_Dream_of_Jeannie

    La science capturant l’âme? Ne devenait-elle pas alors aussi poétique? Cela va au-delà de la science cette quête.

    1. spritzer dit :

      C’est un angle original qui n’avait pas été abordé quand on parle des astronautes: l’émission Jinny… 🙂

      1. Lecteur_curieux dit :

        L’imaginaire collectif est marqué par cela donc la culture sous toutes ses formes y faisant allusion et plus fortement.

        Donc c’est une vision holiste du monde tout est relié.

  33. Daniel Legault dit :

    Les diverses sondes qui ont été envoyées un peu partout dans le système solaire nous ont appris beaucoup de choses. Et on a pas fini d’étudier toutes les données qui ont étés recueillies.

    Ce sont les échéanciers très court de la course à la Lune qui ont beaucoup augmentés le prix du programme Apolo.

    Si on veut vraiment s’en sortir, il faut se débarrasser des abrutis un peu partout qui ne croient pas la situation est grave. L’être humain peut faire preuve d’une grande intelligence. On en a un gros abruti aux États-Unis, mais au Canada, on en a 3 au minimum, un en Ontario, un candidat fédéral et un en Alberta, etc.

    En priorité, il faut contrôler l’augmentation de la population. Donc développer l’utilisation de la contraception, permettre les avortements, instruire les filles (les filles instruites ont moins d’enfant). Dans le sud de l’Amérique, on développe dans cette direction? ou on recule.

    En ce qui concerne les ressources, il se diriger vers une utilisation parcimonieuse de nos ressources. Éliminer l’obsolescence programmée.

    Il faut poursuivre les recherche sur les énergies renouvelable et sur la fusion pour ne plus utiliser des sources d’énergie qui émettent du carbone. On pourrait utiliser le nucléaire comme transition. On s’énerve pour des déchets qui pourrait être dangereux dans 500 000 ans alors qu’avec les énergies du carbone, on va être en gros problème d’ici 30 ou 50 ans.

  34. noirod dit :

    Heille ! Mais c’ est il y a 50 ans ! Me souviens parfaitement ou j étais mais c’ est il y a 50 ans !

  35. Haïku dit :

    « Nous n’arrêtons jamais d’explorer,
    et le terme de toute exploration sera le retour au point de départ »(T.Stearns Eliot).

  36. Gilbert Duquette dit :

    La conquête de l’Espace ou plutôt la port de sortie pour partir de la terre et trouver un endroit ou vivre.

    Si on regarde les sommes astronomiques dédiés à la recherches de planètes habitables.
    SI on regarde les sommes immenses dédiés à comprendre comment l’humain pourrait survivre dans l’espace (des humains et lerus descendants, des embryons congelés, des humains congelés.)
    Si on regarde les sommes investies dans la croissances de végétaux dans l’Espace

    Tout cela pointe dans une direction : Comment trouver la meilleure façon de trouver et de se rendre sur uen nouvelle terre advenant que celle-ci soit trop épuisé par les stupidité de l’humain.

    1. A.Talon dit :

      Ah bon? Ça sent plutôt la théorie de la conspiration votre affaire. Il serait plus simple d’appliquer le rasoir d’Ockham et d’admettre que la quête de connaissances sur les planètes extra-solaires fait partie intégrante de la nature humaine et de son besoin de connaître sa place dans l’Univers. En passant, c’est pas demain la veille qu’on sera capable de faire des voyages interstellaires.

    2. kintouai dit :

      D’ailleurs, si on lit Hariri (L’histoire de l’humanité), on se rend compte qu’«homo sapiens» — les humains que nous sommes — est un destructeur. Il a anéanti les autres espèces humaines, les grands animaux qui restaient du passé et s’apprête à détruire sa propre planète.

      On apprend dans ce livre, entre autres, que les Amérindiens sont aussi des «sapiens» et que leur venue en Amérique a bizarrement coïncidé avec la disparition des grands animaux ayant survécu aux ères précédentes. Alors, moi, l’idée du «bon sauvage» et de l’«Amérindien écolo avant l’heure», foutaises ! Les Amérindiens sont des «sapiens». La seule chose qui les fait passer pour soi-disant «en harmonie avec la Nature», c’est qu’ils étaient très peu nombreux sur un immense territoire. Ils pouvaient donc épuiser les ressources à un endroit et n’avaient qu’à se déplacer quelques kilomètres plus loin pour tout saloper. La seule différence avec les Blancs, c’est qu’ils n’ont jamais eu la technologie ni connu l’industrialisation. Sinon, ils auraient pollué l’Amérique aussi rapidement que nous. Ce ne sont donc pas des exceptions dans la race humaine. Ce ne sont que des «sapiens», aussi destructeurs que les autres.

      Vivement que l’«homo sapiens», bien mal nommé, disparaisse !

      1. jcvirgil dit :

        @Kintouai 22h59

        Vous êtes un peu extrémiste dans votre approche ….vouloir la disparition de l’homo sapiens c’est souhaiter la disparition de nos descendants !!! Il y a un côté sombre et un coté lumineux chez l’homme en général . On peut souhaiter que l’évolution l’amènera plus à développer son côté*lumineux* qui est ce que souhaite aussi Harari en fin de compte quand il analyse son évolution.

        Pour ce qui est des premières nations , excusez moi de vous le dire vous êtes dans les patates 🙂 De nouvelles études démontrent que loin d’être un continent peu habité les Amériques avaient une population plus grande en nombre que l’Europe au moment où ces derniers ont débarqué sur le continent. On estime à plus de 30 millions le nombre de ses habitants qui ont été dévastés par les maladies et la supériorité militaire des envahisseurs.

        Ces peuples vivaient en symbiose avec la nature. qui était la mère de leurs nations . ils la respectait , de même que les animaux dont ils géraient leur préservation tout en y puisant ce dont ils avaient besoin pour survivre.
        Mais évidemment comme ce sont les conquérants qui écrivent l’histoire on connait peu ce qu’était la véritable vie sur le continent avant l’arrivée de l’homme blanc. A ce sujet l’essai de Charles C. Mann 1491 Nouvelles révélations des Amériques avant Christophe Colomb est riche d’enseignements.

        un peu de sagesse amérindienne…

        Quand le dernier arbre aura été abattu – Quand la dernière rivière aura été empoisonnée – Quand le dernier poisson aura été péché – Alors on saura que l’ argent ne se mange pas. Geronimo

        https://www.bookbrowse.com/reviews/index.cfm/book_number/1649/1491

    3. Lecteur_curieux dit :

      Cosmos 1999 et aussi la Planète des singes.

      Et pour cette dernière je parle de la série originale.

      Des fictions mais aussi des questions philosophiques que l’on doit se poser comme humains.

      On revient toujours à la philo les cours les plus importants du Cégep.

  37. A.Talon dit :

    HORS SUJET quoique…

    Trouvé par hasard sur Youtube: un petit documentaire portant sur le TC-50, enregistreur miniature de Sony et ancêtre direct du légendaire Walkman, utilisé lors des missions lunaires Apollo une bonne dizaine d’années avant la mise en marché de son célèbre successeur.

  38. Pierre S. dit :

    ————————

    H.S

    je pose la question hypotéthique … et bêtement !

    Et si Ilhan Omar se faisait assassiner ??????

    Parce que l’attitude de Trump depuis deux jours ouvre la porte toute grande à cette hypothèse.

    1. A.Talon dit :

      Le cas échéant, le Hater-in-Chief trouverait sûrement moyen d’affirmer qu’il n’a aucune responsabilité dans cette affaire, qu’il n’y a pas une once de racisme en lui et qu’il faut en rejeter la faute sur un pauvre déséquilibré, probablement démocrate. Et au passage, il trouverait sûrement moyen de rappeler qu’il reste encore à se débarrasser des trois autres membres du Squad…

  39. Pierre S. dit :

    ————————

    Il a dit  » on n’a pas le droit de dire ce qu’on veut dans ce pays a mon sujet..
    en réponse aux commentaires de Mme Omar ….

    inacceptable.

  40. treblig dit :

    Cet été là, je passais du primaire au secondaire, c’était mon dernier camps scout et je ne le savais pas encore mais surtout on commençait à lire les bandes dessinées de la science fiction. Ces BD nous ont amenés progressivement à des livres pas trop gros et pas trop compliqués sur la science fiction puis, le nirvana, les grands auteurs de science fiction: Jules Vernes et H. D. Wells bien sûr mais aussi Asimov, Arthur C Clarke, Bradbury, Philip K Dicks, …tout un monde de réflexion et de découvertes philosophiques.

    1. spritzer dit :

      H.G. Wells, Les Premiers Hommes sur la Lune

      Quelle imagination!

  41. _cameleon_ dit :

    HS ♪

    David Bowie – Space Oddity (Official Video)

    1. spritzer dit :

      La meilleure chanson pour le thème d’aujourd’hui.

  42. Le Vigilant dit :

    L’être humain constitué de 79 organes internes, 208 os et d’environ 800 muscles a été créé pour vivre sur Terre . / Système osseux de David St-Jacques après 6 mois???
    Évidemment avec un cyborg, on peut laisser aller l’imagination à l’infini. N’oublions pas aussi que l’être humain a la capacité de s’auto-détruire!
    $$$> l’Entreprise privée fortement intéressée par la conquête spatiale s’implique de plus en plus.
    Aller sur la Lune: Russes et Chinois y songent sérieusement eux aussi, question d’aller y transposer des querelles de territoires…

  43. Daniel Legault dit :

    Cinq réflecteurs lasers ont été installés par les missions Apollo. Ils sont encore utilisé pour mesurer la distance entre la Terre et la Lune.

    https://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9flecteur_lunaire

  44. Haïku dit :

    « On a marché sur Mars »(Donald Casterman).
    « Objectif looney tunes »(Bugs Trump).

  45. Superlulu dit :

    Buzz Aldrin a frappé au visage le conspirationniste, Bart Sibrel, qui n’arrêtait pas de l’insulter, en le traitant de menteur. 🙂
    Way to go.

    Sibrel a fait enlever le vidéo de Youtube, mais c’est partout sur le net.

    https://www.dailymotion.com/video/xa4x64

    1. jeanfrancoiscouture dit :

      Et, façon Canard enchaîné, «Pan sur le bec». Bien fait pour cet effronté «mal embouché.»

      «Trompettes de la Renommée
      Vous êtes bien mal embouchées» (Brassens) https://www.youtube.com/watch?v=DMlg3ecXx5A

      1. Haïku dit :

        @jeanfrancoiscouture
        Bon rappel !Très apprécié.👌

    2. A.Talon dit :

      «Buzz Aldrin a frappé au visage le conspirationniste, Bart Sibrel, qui n’arrêtait pas de l’insulter, en le traitant de menteur.»

      Bien mérité. C’est parfois le seul argument que ces tarés irrespectueux sont en mesure de comprendre.

    3. Lecteur_curieux dit :

      Je comprends très bien Aldrin à ce point c’est une forme de légitime défense. C’est du harcèlement que Sibrel faisait et Aldrin essayait de l’éviter.

      Et au surplus c’est la plus grande réalisation de la vie d’Aldrin. Sibrel n’a pas une excuse d’être un itinérant souffrant de maladie mentale ou de toxicomanie sévère.

      Avec sa Bible en plus… C’est lui Sibrel qui devrait avoir des poursuites criminelles contre lui mais il faudrait voir avec un avocat. Pour Aldrin il ne faut pas encourager quelqu’un à frapper mais aucun humain n’est parfait. On se défend comment contre un harceleur ? Un homme qui doit avoir un cerveau lavé par ses idées conspirationnistes.

  46. Apocalypse dit :

    @A.Talon – 21:29

    ‘… d’admettre que la quête de connaissances sur les planètes extra-solaires fait partie intégrante de la nature humaine et de son besoin de connaître sa place dans l’Univers. En passant, c’est pas demain la veille qu’on sera capable de faire des voyages interstellaires.’

    Bien d’accord! Nous sommes des explorateurs et explorer l’univers, quelle aventure fascinante.

    Pour ce qui est de Mars, il est bien possible qu’il y ait de grandes quantités d’eau et qu’une vie (très) primitive ait eu le temps de se développer avant que la planète perde son atmosphère. Une mission humaine pourrait sans doute répondre rapidement à cette question.

    De plus, s’il y a de grandes quantités d’eau, alors s’y installer devient tout à fait possible.

    Se déplacer dans notre système solaire est déjà tout un défi, alors les voyages vers d’autres étoiles, comme vous dites, oublier ça et pour longtemps. La plus proche étoile est ‘Proxima du Centaure’ située à 4,25 années lumières de nous. A la vitesse qu’on peut se déplacer dans l’espace, on parle de milliers et de milliers d’années pour s’y rendre et si par un coup de baguette magique, on pouvait se déplacer à la vitesse de la lumière, on ne serait pas au bout de nos peines pour ceux qui s’y connaissent minimalement en relativité.

    On a déjà sur les planches à dessin, des idées pour aller beaucoup plus vite que présentement, peut-être 10% de la vitesse de la lumière, mais même à cette vitesse, on parle encore de siècles et de siècles pour se rendre à l’étoile la plus proche.

    Ca va nous prendre plusieurs siècles pour développer la technologie pour explorer d’autres systèmes solaires, qui semblent pour la plupart avoir des planètes. On a même des idées pour développer quelque chose qui ressemble au ‘warp drive’ dans Star Trek et qui ‘bend space’, mais nous sommes à plusieurs siècles de voir cette technologie qui permettrait d’aller plus vite que la vitesse de la lumière et explorer cette grosse, grosse bibite qu’est l’univers.

    1. A.Talon dit :

      @ Apocalypse 7h14
      «Pour ce qui est de Mars, il est bien possible qu’il y ait de grandes quantités d’eau et qu’une vie (très) primitive ait eu le temps de se développer»

      Il y en a sûrement beaucoup plus (des océans d’eau salée, en fait) sur Europe, Ganymède, Pluton et autres corps glacés aux confins du système solaire avec de plus grandes possibilités d’évolution vers des formes de vie primitives. On n’aura pas trop d’un siècle ou deux pour tout explorer à la recherche de la Vie.

      «Une mission humaine pourrait sans doute répondre rapidement à cette question.»

      Rapidement? J’ai plutôt l’impression qu’on en aura pour des décennies à faire du forage sur cette planète avant d’avoir une réponse définitive.

      «De plus, s’il y a de grandes quantités d’eau, alors s’y installer devient tout à fait possible.»

      Exact, et pas uniquement sur Mars. Pensez à la Lune qui regorgerait elle aussi d’eau sous forme de glace (pas seulement aux pôles).

      «Se déplacer dans notre système solaire est déjà tout un défi, alors les voyages vers d’autres étoiles, comme vous dites, oublier ça et pour longtemps.»

      Seule exeption, le projet Breakthrough Starshot prévoyant expédier dans un proche avenir une nuée de micro-sondes vers Alpha Centauri, l’étoile la plus proche de notre système solaire. Durée prévue du trajet: 20 ans. Un merveilleux outils pour l’exploration en profondeur de notre propre système solaire, soi dit en passant.

      https://breakthroughinitiatives.org/initiative/3

      «On a même des idées pour développer quelque chose qui ressemble au ‘warp drive’ dans Star Trek et qui ‘bend space’, mais nous sommes à plusieurs siècles de voir cette technologie»

      Pour autant que je sache, ces projets (ex: propulsion Alcubierre) sont tous basés sur une physique encore inexistante de nos jours. Dans l’état actuel dses choses, mieux vaut se concentrer sur le développement de moteurs nucléaires afin de mettre les corps célestes de notre propre systèm solaire un peu plus à notre portée. Il est drôlement temps de réactiver l’infortuné projet NERVA des années ’60…

      1. Superlulu dit :

        A.Talon dit :
        21/07/2019 à 09:09

         »«De plus, s’il y a de grandes quantités d’eau, alors s’y installer devient tout à fait possible.»

        Exact, et pas uniquement sur Mars. Pensez à la Lune qui regorgerait elle aussi d’eau sous forme de glace (pas seulement aux pôles). »

        Je suis plus Thomas que rêveur mais…
        Qui sait si ce n’est pas ce qui s’est produit sur ces planètes. Qui ont finalement –  »immigré » ici et peuplé la terre?

  47. Apocalypse dit :

    @A.Talon – 09:09

    ‘Pour autant que je sache, ces projets (ex: propulsion Alcubierre) sont tous basés sur une physique encore inexistante de nos jours.’

    En fait, l’auteur a dit que ça prendrait des siècles pour développer cette technologie.

    Ca va nous prendre l’équivalent d’un ‘warp drive’ pour explorer l’univers, sinon nous n’irons nulle part.

    Effectivement, quelques décennies devraient permettre de développer une technologie pour faire le tour de notre système solaire.

  48. Lecteur_curieux dit :

    https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Course_%C3%A0_l%27espace

    Entre 1957 et 1975.

  49. Le Vigilant dit :

    Le resvératrol présent dans le vin rouge pourrait éviter la perte de la force musculaire des astronautes qui iront sur Mars.

    Après la Lune, l’Homme prévoit de conquérir Mars. Mais il y a un problème de taille, autre que le voyage, celui de rester en forme sur la planète rouge. En effet, la gravité à la surface de Mars est équivalente à 38 % de celle de la Terre, ce qui réduit grandement la force musculaire du corps humain.

    La solution, c’est le vin rouge !

    Alors non, les astronautes ne vont pas se prendre des cuites avec du vin de Bourgogne. C’est bien l’antioxydant présent dans celui-ci qui intéresse les scientifiques de Harvard. D’après eux, le resvératrol, présent dans les myrtilles et la peau du raison et donc du vin rouge, peuvent aider le corps à garder sa force musculaire face à une gravité telle que celle de Mars.

    Les scientifiques d’Harvard estiment que des tests sont encore nécessaires. Il faudra déterminer le bon dosage que cela soit pour un homme ou une femme et prendre ses précautions afin d’être certaine qu’il n’y ait aucun effet secondaire nocif. La gravité martienne est un vrai challenge pour la colonisation de la planète car un homme de 75 kg n’y pèsera que 28.5 kg.

  50. Lecteur_curieux dit :

    Trump aimerait aller sur Mars le plus rapidement possible ?

    Il y a pas un autocar qui pourrait le mener sur Jupiter ou Saturne ? Un autocar ? Peu importe le véhicule ou la véritable destination finale ce qui importe c’est le voyage.

    La planète en a son voyage… Allez sur une île avec Le Prisonnier :

     » Bonjour chez vous. « 

    1. kintouai dit :

      Ma mère nous racontait que, dans sa jeunesse, le dimanche, il y avait des autocars qui, pour un prix modique, permettaient de faire une excursion surprise. C’était affiché sur l’autocar : «Nowhere». Une petite recherche sur Internet m’a permis de constater que ça existe encore. C’est ce que ça prendrait avec Tiny Don, sauf que l’autocar ne reviendrait jamais et personne ne saurait où il est allé.

  51. Toile dit :

    Stern OUPS ! CETTE PAGE EST INTROUVABLE.
    Contenu Introuvable. L’outil de Recherche ou les Liens ci-dessous vous remettront peut-être sur la voie…
    Est-ce seulement moi ?

    1. Non. M.Hétu s’est probablement aperçu de son erreur et a effacé cette page.

    2. mhbdotblog dit :

      NON!

  52. Henriette Latour dit :

    HS

    Monsieur Hétu a émis La Une du jour à 12h05 le 21 juillet 2019 qui représentait trump drapé dans le drapeau américain, le bras levé comme dans le salut nazi. Il s’agissait d’un journal allemand paru en 2017.
    Quelque 25 commentaires étaient déjà inscrits. Je viens d’ouvrir ma tablette et je ne l’ai pas trouvée. Je suis allé vérifier mes courriels où cet article existe. J’ai tenté de l’ouvrir à partir de ce courriel et on m’informe que cette page est introuvable.

    QUE SE PASSE-T-IL? CENSURE?

  53. constella1 dit :

    J’ai vécu le même phénomène
    J’aimerais bien comprendre et savoir si c’est une censure

    1. Je présume que M.Hétu a lui-même enlevé cette page. Le titre « la une du jour » ne correspondait pas vraiment à la couverture du magazine datant de 2017.

      1. kintouai dit :

        Surtout que M. Hétu écrivait dans son billet qu’il s’agissait de la une du «nouveau» Stern. Comme quoi, même les journalistes chevronnés peuvent se faire avoir. Alors, imaginez des profanes comme nous, qui sommes déjà pourtant bien au-dessus des abrutis trumpiens, qui gobent n’importe quelle mouche à m…. provenant de la fosse à purin qui sert de bouche au simili-président !

  54. constella1 dit :

    Marie4poches
    Dans ce cas oui c’est fort possible

    1. gl000001 dit :

      On voit la page sur WordPress mais aucun commentaires.
      https://wordpress.com/read/feeds/81963321/posts/2351707560

    2. Henriette Latour dit :

      Il est quand même étrange que cinq heures plus tard nous n’ayons aucune nouvelle de monsieur Hétu.

      1. gl000001 dit :

        C’est dimanche. Mr Hétu a le droit d’être en famille 😉
        Ma théorie est que quelqu’un a signalé la page à WordPress qui l’a temporairement bloquée.

      2. A.Talon dit :

        @ gl000001 17h24

        Il aurait été en effet plus élégant d’admettre cette erreur éditoriale en ajoutant en tête d’article un petit paragraphe en caractères rouges puis de geler le contenu complet de la page en bloquant toute nouvelle intervention de la part des intervenants du blogue. J’ai moi-même dû admettre avoir fait une grossière erreur factuelle dans mon commentaire de 16h51 sur ce billet. Pas facile pour l’ego mais nécessaire pour préserver sa crédibilité.

  55. Daniel Legault dit :

    Ce que la recherche spatiale a prouvé que c’est que l’être humain est conçu pour vivre sur la terre. Il est adapté à la gravité de la terre et à la dose de radiation que laisse passer l’atmosphère de la terre. Donc espérer trouver une terre 2 et y habiter est une illusion. Il ne faut pas détruire la terre 1.

    Un astronaute qui va dans l’espace durant plusieurs mois augmente fortement ses chances d’avoir un cancer et handicape fortement son corps. Un astronaute qui revient d’une mission de longue durée est incapable de marcher seul et il doit subir une rééducation pour que son corps soit capable de fonctionner.

    Retourner sur la lune n’est pas requis uniquement pour perfectionner les machines qui nous permettront d’aller sur mars mais pour apprendre comment le corps réagit à long terme à une faible gravité, comment il réagit aux radiations supplémentaires qu’il reçoit, comment faire pour que lors des voyages entre la terre et mars ainsi que lors du séjour que les gens ne reviennent pas avec une espérance de vie fortement raccourcie et avec des handicaps permanents.

    Il est certain qu’il y a 50 ans, ces problèmes n’existait pas pour les astronautes du programme Apollo et qu’un inculte qui pose la question à Aldrin et Collins ne doit pas attendre une réponse d’expert et fait un show. Pour la science, les show et les inculte passent et la science continue de progresser plus ou moins rapidement selon l’importance qu’on lui donne.

    1. gérard séguin dit :

      @Daniel Legault. En accord! Les recherches scientifique, devraient surtout plancher, leurs efforts sur les inconnus de notre belle boule bleue. Surtout sur les fonds marin. lieu encore presqu’inconnu et endroit hostile et contre nos capacités physique encore plus difficile que d’être dans l’espace. Le sapiens aime les rêves et d’une imagination fertile. Comme faire la file sur l’Everest, l’absurdité est humaine. Comme votez pour trump.

  56. chrstianb dit :

    Voici quelques technologies développées par la NASA et mises de côté, question budgétaire:
    Moteur nucléaire NERVA
    https://www.wikiwand.com/fr/NERVA
    Navette entièrement réutilisable X-33 et Venture Star avec moteur linéaire Aerospike, tuyère linéaire efficace quelque soit la pression atmosphérique (efficace au niveau de la mer comme dans le vide de l’espace)
    https://www.wikiwand.com/fr/Lockheed_Martin_X-33
    Pour aller plus loin que la Lune, ce sont des technologies comme celles-là que les agences spatiales ont besoin.
    Actuellement, tout le développement est basé sur une technologie datant des années 50-60: moteur à combustion chimique, fusée à étages avec tuyères conventionnelles qui ne fonctionnent que pour une pression atmosphérique donnée.

    1. A.Talon dit :

      «Actuellement, tout le développement est basé sur une technologie datant des années 50-60»

      Des technologies éprouvées par le temps, faut-il dire. Le moteur Aerospike est génial sur papier mais encore bien loin d’être au point. Quant au moteur NERVA, on peut toujours espérer que la recherche faite dans les années ’60 soit réutilisable de nos jours pour développer la motorisation du futur transporteur martien des prochaines décennies…

      1. chrstianb dit :

        Éprouvée pour la Lune mais pas au-delà pour les êtres humains.

      2. Le Vigilant dit :

        SVP Faire le lien entre tout le pétrole brûlé en 2min 30 sec (décollage des fusées depuis 1957) et les GES.
        J’omets volontairement tout le trafic aérien d’une seule journée autour de la planète! (N’oubliez pas de multiplier par 365 pour évaluer l’impact sur une année). Pendant ce temps, la Gauche chiâle sur les autos et camions.

  57. Pierre S. dit :

    ——————————

    C’est juste moi ou si Trump à l’air complètement à plat ces jours ci ?
    À part invectiver les gens sur twitter et donner des points de presse improvisés
    de 7=8 minutes, il ne fout rien du tout

    Il est blême et cerné, la face complètement livide.
    Et ses propos sont confus, sans conviction …. à part quand c est le temps de
    vomir sur des femmes de couleurs et de se la jouer raciste de salon.

    1. gl000001 dit :

      Karma !!

      1. Haïku dit :

        « Instant Karma »(John Lennon).
        – « Like the moon and the stars and the sun
        Well we all shine on
        Everyone come on ».

    2. CBT dit :

      Cela n’empêchera jamais à ses adeptes de l’acclamer, je crois qu’il serait en chaise roulante et en perte sévère de lucidité, ils croiraient tout ce qu’il dit même ses délires les plus irréels, ainsi va la bêtise humaine de certains américains ! Imaginez, même certains québécois sont dans l’engrenage volontairement !

      Cela se produit dans des sectes partout dans le monde, les conséquences sont parfois désastreuses.

  58. chrstianb dit :

    Démonstration d’un Aerospike, on voit bien la tuyère en forme en pointe et observez la forme du jet :

  59. Sage 2010 dit :

    Messages de bonne volontée de la part de nombreux chefs d’état et de gouvernement à l’occasion de la mission Apollo 11.

    Pierre Trudeau: «  »Man has reached out and touched the tranquil moon. Puisse ce haut fait permettre a l’homme de redecouvrir la terre et d’y trouver la paix. (May that high accomplishment allow man to rediscover the Earth and find peace.) » »

    https://history.nasa.gov/ap11-35ann/goodwill/Apollo_11_material.pdf

  60. Benton Fraser dit :

    La photo qui accompagne cette article et la seule photo d’Armstrong… dans le reflet de la visière d’Aldrin!

    On qu’Aldrin aurait volontairement choisit de ne pas prendre de photos d’Armstrong… à cause d’une frustration de ne pas être le premier homme a marcher sur la lune!

    1. A.Talon dit :

      @ Benton Fraser 18h24
      Possible mais pas sûr. Aldrin prenait les choses tellement à coeur qu’il en a fait ensuite une sévère dépression après son retour sur Terre. En comparaison, Armstrong était remarquablement détaché émotionnellement, un véritable pilote d’essai aux nerfs d’acier. Cette caractéristique, ainsi que le fait d’être un civil, lui valurent d’être nommé commandant de la mission Apollo XI et d’avoir l’honneur d’être le premier homme à mettre le pied sur la Lune.

      À mon sens, l’erreur d’Aldrin fut d’avoir quitté la NASA en 1972. Avec un peu plus de persistance, il aurait pu lui aussi être nommé commandant d’une mission lunaire et se balader à nouveau (quoique beaucoup plus longtemps) sur le sol lunaire. John Young et Gene Cernan, de la mission Apollo X survolant la Lune, eurent ensuite droit à cette chance lors des missions Apollo XVI et XVII. La carrière de Young est particulièrement remarquable puisqu’il devint par la suite le tout premier commandant de la navette spatiale lors du vol inaugural de 1980.

    2. chrstianb dit :

      Pas certain. C’est Aldrin qui a filmé avec une caméra 16mm Armstrong en train de descendre l’échelle. Une fois au sol, Armstrong a eu la tâche de prendre les photos. Ils n’ont fait qu’une seule sortie qui a été très occupée pour l’installation du matériel scientifique: capteur de vent solaire, appareil sismique, réflecteurs laser, cueillette d’échantillons. Sans compter que c’est la première sortie sur le sol lunaire, ils ont dû pratiquer différentes façons de marcher pour en déterminer la meilleure.
      J’ai regardé le Live en temps réel avec le montage de toutes les archives TV, films et photos et ils n’ont pas chômé sur la Lune!

    3. chrstianb dit :

      En passant, la photo géniale de la trace de botte lunaire, c’est une idée d’Aldrin.

  61. karma278 dit :

    @ gérard séguin dit :
    21/07/2019 à 15:48

    @Daniel Legault. En accord! Les recherches scientifique, devraient surtout plancher, leurs efforts sur les inconnus de notre belle boule bleue. Surtout sur les fonds marin. lieu encore presqu’inconnu et endroit hostile et contre nos capacités physique encore plus difficile que d’être dans l’espace. Le sapiens aime les rêves et d’une imagination fertile. Comme faire la file sur l’Everest, l’absurdité est humaine. Comme votez pour trump.

    « sur les inconnus de notre belle boule bleue », laquelle mérite définitivement d’être explorée en parallèle avec l’exploration du voisinage. Mais nous n’avons pas terminé de « marcher notre terre » qu’on reluque les voisins.

    « Connais-toi toi-même et tu connaitras le ciel et les Dieux », disait le Fool on the hill (pas certain de la référence, mais c’est dans ce coin-là…)

    Et voilà ce qui manque à nos cultures occidentales : une constante exploration de notre cerveau, de notre conscience, de la nature de nos perceptions, bref de l’essence de la réalité et de notre capacité à l’influencer.

    Le Karma…

  62. spritzer dit :

    La mission Apollo 8 est digne de mention également, étant la première à orbiter la lune. Le spectacle pour les trois astronautes devait être à couper le souffle. Je me demandais ce qu’ils avaient éprouvés en passant du côté de la face cachée dans leur trajet orbital et je suis tombé sur ces conversations qui ont eu lieu durant le vol.

    « Bill Anders would later describe how he first became aware of the moon, as the spacecraft moved into the shadowed region where neither sunlight nor reflected light from Earth was visible — what the astronauts called the « double umbra. » As Anders recalled, « Suddenly, we saw millions of stars, more than you could see in a planetarium, to the point where it confused the constellations. So that was rather spectacular. And I remember looking at them because I was interested in astronomy, and then I looked kind of over my left shoulder and suddenly, the stars stopped. And there was this big black void, black hole. And that was the moon! That was the moon shielding the stars and yet not illuminated. It was as black as I’ve ever seen black. That was the only time in the flight the hair kind of came up on the back of my neck a little bit. »

    https://www.pbs.org/wgbh/americanexperience/features/moon-looking-moon-apollo-8/

    1. A.Talon dit :

      Voici la transcription commentée des communications de toutes les phases du vol d’Apollo VIII.

      «The Apollo 8 Flight Journal»
      https://history.nasa.gov/afj/ap08fj/index.html

    2. spritzer dit :

      « That was the only time in the flight the hair kind of came up on the back of my neck a little bit. » Bill Anders

      Il dit a little bit mais j’ai l’impression que l’émotion devait être assez forte. Tu sais qu’il y a la lune à 200 km devant toi mais tu ne vois que le noir le plus noir que tu as jamais vu. Et incidemment, la tradition ésotérique dit que la face cachée de la lune est un réservoir de forces négatives… Brrrrr..

  63. _cameleon_ dit :

    D@aniel Legault
    « Un astronaute qui va dans l’espace durant plusieurs mois augmente fortement ses chances d’avoir un cancer et handicape fortement son corps. Un astronaute qui revient d’une mission de longue durée est incapable de marcher seul et il doit subir une rééducation pour que son corps soit capable de fonctionner. »

    En effet, et cela est une des grandes difficulté d’un voyage de près de (minimum) 2 ans …
    Quel est le record de temps passé a subir l’irradiation de l’espace et quelles en sont les conséquences ? Et à long terme, pour des expositions plongées. Et ajoutons à cela les problèmes reliés au fait de vivre à 0 gravité pendant des périodes prolongées.

    A mon humble avis, ce n’est pas de si tôt qu’on pourrais envoyer une mission habitée sur Mars.

    1. Daniel Legault dit :

      C’est la raison pour laquelle la Nasa veut retourner sur la Lune en cas de problème on est à 2 jour de la terre.

  64. kintouai dit :

    HS mais pas trop : il y aurait aux USA 5 000 sectes jugées dangereuses. Comment une telle naïveté, une telle crédulité peuvent-elles exister chez ce peuple réputé pour son pragmatisme ? On comprend peut-être mieux, après avoir vu le reportage suivant, l’état de zombie de millions et de millions d’Américains face à un bonimenteur, doublé d’une fripouille, tel que Tiny Don :

    https://www.francetvinfo.fr/replay-magazine/france-2/13h15/13h15-du-dimanche-14-octobre-2018_2959023.html

    1. Lecteur_curieux dit :

      Leur liberté de religion. Et un peuple de paradoxes de contrastes.

      Dans les idéologies ils poussent fort aussi. Ils ne sont pas dans la modération.

      Ils sont aussi quand ce sont des qualités à la fois idéalistes et pragmatiques alors le rêve ils le réalisent.

      Mais il y a plein de suiveux pareil avec les preachers ou les télé-achats et la vente pyramidale ou à paliers multiples. Se faire embarquer là-dedans et à fond de train. Il ne faut pas avoir l’esprit critique. Par contre critique et pratique cela est différent.

      Puis au Québec même si ce ne sont pas des sectes plein de choses dans le bien-être plutôt new age se rapprochent de cela.

  65. _cameleon_ dit :

    … A moins bien sur de percées majeures au niveau de la vitesse de propulsion, de la protection contre l’irradiation et les problèmes reliés à la vie à 0 G pendant un temps prolongé.

  66. Haïku dit :

    À voir: « First Man »(film de Damien Chazelle).

  67. spritzer dit :

    Hors Sujet…

    Un jeune journaliste Britannique révèle qu’il est l’auteur du coulage au Daily Mail des communications de l’ambassadeur Kim Darroch qui décrivait Trump d’une façon assez juste. Le journaliste travaille pour une organisation pro-Brexit et son geste a écorché le camp du Remain.
    https://sputniknews.com/europe/201907221076316127-meet-freelance-teen-journalist-who-leaked-uk-cables-calling-trump-inept-dysfunctional/

    Le journaliste a agi comme Assange, est-ce qu’il va se retrouver en prison comme Assange? Deux poids deux mesures?

    1. Samati dit :

      @spritzer

      Assange a mis la vie de plusieurs personnes en danger. Le journaliste lui n’a eu un impact que sur un fonctionnaire qui sera replacé ailleurs dans la diplomatie britannique.

      Curieux que vous ne fassiez pas la distinction. Il vous faudra faire plus de recherches. RT n’est pas, en passant, une source fiable.

      1. spritzer dit :

        @Samati

        Personne n’est mort à la suite des révélations de Wikilieaks. Si Assange est en prison c’est parce qu’il a mis à jour des malfaisances du gouvernement américain. Curieux que vous ne sachiez pas cela.

      2. Samati dit :

        @spritzer

        <>

        Qu’en savez-vous?

        Il a mis la vie de plusieurs personnes en danger de façon irresponsable (des occidentaux, mais pas des russes qui semblent être protégés par Assange). Ce comportement doit être puni.

      3. spritzer dit :

        Quels occidentaux ont vu leur vie être mise en danger suite aux publications de Wikileaks?

        Les plus controversées à ce niveau sont les Afghan Diaries révélées en juillet 2010 et les Irak War Logs trois mois plus tard. Le problème pour vous c’est qu’il n’y a pas de preuve que des torts ont été causés, encore moins à des occidentaux, et des journaux ont publié ces documents en plus de Wikileaks: NY Times, The Guardian et un journal allemand dont j’oublie le nom.

        Si Assange est en prison parce qu’il « a mis la vie de plusieurs personnes en danger de façon irresponsable », il faut aussi mettre en prison les éditeurs de ces journaux, non?

  68. jeanfrancoiscouture dit :

    @kintouai,21/07/2019 à 21:22; «Comment une telle naïveté, une telle crédulité peuvent-elles exister chez ce peuple réputé pour son pragmatisme ?»

    Explication par Cioran in; HISTOIRE ET UTOPIE, coll. folio/essais, Paris, 1960.
    «D’où la vulnérabilité des sociétés évoluées, masses amorphes, sans idoles ni idéaux, dangereusement démunies de fanatisme, dépourvues de liens organiques, et si désemparées au milieu de leurs caprices ou de leurs convulsions, qu’elles escomptent –et c’est l’unique rêve dont elles soient encore capables– la sécurité et les dogmes du joug. Inaptes à assumer plus longtemps la responsabilité de leurs destinée, elles conspirent, plus encore que les sociétés grossières, à l’avènement du despotisme afin qu’il les délivre des derniers restes d’un appétit de puissance surmené, vide et inutilement obsédant.»

    Oui, je sais, c’est dur et plutôt global comme évaluation et verdict. Mais il faut bien reconnaître qu’il faut être singulièrement démuni de quelque chose pour embarquer dans les délires de gourous tout aussi étranges que dangereux. Et nombre de religions étant, selon un aphorisme connu, «des sectes qui ont réussi», on peut aussi en inclure certaines dans le lot. Faut-il alors se surprendre si, comme le dit encore Cioran «Plus l’appétit de puissance s’exaspère chez les chefs spirituels, plus ils s’emploient à le freiner chez autrui» ??

    1. Haïku dit :

      @jeanfrancoiscouture
      👌!
      Ajout amical:
      « Une secte ou un parti est un élégant recours à l’incognito pour épargner à un homme la peine de penser »(Emerson).

    2. Lecteur_curieux dit :

      Oui cette fameuse phrase selon lesquelles  » les religions sont des sectes qui ont réussi.  »

      Le hic c’est que les mots ont plusieurs définitions.

      Secte peut être un petit regroupement religieux. En étudiant la Bible au secondaire on nous disait que Jésus et Jean le Baptiste avaient chacun leur secte. Deux sectes juives. De nos jours on appelle plus cela un mouvement. Ils critiquent tous les deux fortement.

      Mais ont-ils l’esprit sectaire ? Les Témoins de Jéhovah mettre en garde les étudiants universitaires contre les autres étudiants. Une secte peut éloigner de la famille et vraiment en les brisant. Vous ouvrez la porte et ce sont des Témoins de Jéhovah. Ah vous savez, les athées aussi peuvent être spirituels que je lui dit. Ah pour lui cela lui est impossible.

      Avoir l’esprit sectaire comme aussi fuir tous ceux qui sont dogmatiques et doctrinaires ou du moins trop.

      Qu’est-ce que la religion ? C’est ce qui relie à Dieu. On confond la religion avec l’Église. L’Église catholique pour nous au Québec d’avant. C’est relié c’est l’institution mais ce n’est pas que cela la religion.

      La religion comme lien avec Dieu ? Cela peut être personnel à chacun.

      Au surplus on passait par la philo au Cégep. Et dans notre cas ( le mien et celui des étudiants ayant suivi les mêmes cours et avec les mêmes profs sauf qu’il y en a pas. Un des amis peut être avec vous dans le cours sur Nietzsche mais pas celui sur Georges Bataille ).

      Bataille, Freud vs Descartes dans un même cours et Nietzsche. Bien sûr Socrate, Platon et la Grève Antique dans le premiers cours mais là ce sont les fondements de la pensée occidentale en gros. À ne pas oublier mais on veut aller au-delà.

      La véritable religion après lecture de théorie de la religion était celle primitive. Les autres sont sous l’emprise de la raison. Alors la nouvelle religion depuis lors devient l’utilitarisme et la réduction de plus en plus grande à l’état de chose.

      On est plus dans la philosophie et les arts. Retrouver le sacré, l’enfant en soi et avoir la véritable conscience de soi.

      Jésus pour Nietzsche est mort trop jeune pour comprendre.

      Et cela reste deux personnages symboliques. Jésus on l’associe à la bonté, à la protection des plus petits, aux Béatitudes et à notre scoutisme, à nos Frères qui dirigeaient notre école et avec qui on va aider les Petits frères des pauvres, on va visiter l’Arche de Jean-Vanier. Très, très loin de la droite évangéliste américaine. Oublions pas Ti-Claude Legris et son club de motards. Là un véritable chemin de Damas vous en avez un et non dans le film Unplanned.

      Nietzsche versus Jésus? La volonté de puissance, le grand mépris, le dépassement de soi, tendre la patte plutôt que la main et avec des griffes envers certaines personnes, aimer son lointain et non juste son prochain. Bien oui Nietzsche écrit son Zarathoustra un peu comme la Bible et veut renverser les valeurs.  » Nietzsche démolit, il sape.  »

      Voyez Pierre Péladeau, Nietzsche était une de ses grandes inspirations, il a bâti un empire. Il revenait à Jésus vers la fin de sa vie. Michel Morin philosophe-artiste au Québec, Nietzsche reste important dans sa pensée mais Jésus semble revenir dans ses derniers ouvrages. Jésus ou Dieu.

      Aux États-Unis je pense que c’est Richard Spencer qui se réclame de Nietzsche cela est aussi cave que la soeur de Nietzsche qui détourne la pensée de son frère pour servir le nazisme. Spencer cela en est un à qui il faut appliquer le grand mépris et tendre la patte avec des griffes cela fait pas mal plus mal qu’une poignée de main du Donald.

  69. Yolande C. dit :

    MULTIVAC CHOISIRA-T-IL LE WISCONSIN ?

    Multivac, c’est le super ordi imaginé par Isaac Isimov dans «FRANCHISE»..dans les années 50.

    Les ordinateurs (robots) sont devenus tellement puissant en 2008 que Norman Muller, un citoyen de l’Indiana, a été choisi par l’intelligence artificielle pour représenter à lui seul tout l’électorat américain.

    https://en.wikipedia.org/wiki/Franchise_(short_story)

    Nous n’en sommes pas tout à fait là, mais à croire un article publié sur le site de CNN, le Wisconsin pourrait bien être L’ÉTAT qui décide du sort de la prochaine présidentielle.

    Lire:

    https://www.cnn.com/2019/07/20/politics/2020-trump-reelection-strategy-analysis/index.html

  70. Lecteur_curieux dit :

    Hors sujet mais en complément à M. Couture :

    http://www.michelmorin-philosophe.com/entrevue2.html

    Une entrevue donnée par Michel Morin en 2003. Là avec une entrevue de fond, on a une bien meilleure idée de sa pensée qu’un article disons de Louis Cornellier dans Le Devoir. Cela est trop court un article.

    La même chose avec des citations mais nos journalistes ou blogueurs n’ont pas d’autre choix que d’être dans l’actualité. Malheureusement notre compréhension risque alors d’être superficielle.

    Une pensée est quasiment impossible à résumer il faut la vivre ou connaître le vécu de l’auteur. Morin parlant de Descartes le fait bien différemment de notre prof de philo disons 3 pour elle. Une excellente vulgarisatrice tout de même et elle une grande admiratrice de Françoise Dolto. Mais le cours couvre plus Freud et ses successeurs plus près.

    1. jeanfrancoiscouture dit :

      @Lecteur_curieux: «Hors sujet» dites-vous? Pas tant que ça.
      Si on prend le temps de lire attentivement, on trouve même des éléments de réponse à la question de kintouai,21/07/2019 à 21:22 sur l’ouverture aux diverses sectes sectes qu’il attribue à une certaine «naïveté» qui l’étonne de la part de personnes qu’il estime trop «pragmatiques» pour se laisser embobiner par des gourous.
      Dislocation voire disparition d’ensembles sociétaux structurants, émergence de l’individualité sans contrainte et sans complexe, voilà deux explications sur la multiplicité et la popularité des sectes en tout genre. L’analyse de Morin est intéressante quoique différente de celle de Cioran dans «Histoire et utopie». Mais les deux offrent des pistes pour aider à comprendre l’attrait des «gourous».

  71. darrylfzanuck dit :

    Je préfere celle de Smirnoff …

  72. Lecteur-curieux dit :

    Pas si rapidement leur niveau de développement est bien moindre que cela malheureusement. Alors le progrès accélérerait la croissance de la population. Ce ne sont pas eux qui sont trop nombreux c’est nous et surtout consommant bien trop de ressources. Du moins à partir de la classe moyenne c’ est certain et même les plus pauvres d’ entre nous la consommation pourrait être différente.

    La vraie menace réside plus dans notre productivisme et utilitarisme et notre maximalisme bien plus que des sociétés moins éduquées et si nous l’ étions vraiment nous les aiderions sans les juger et en leur laissant le temps de s’adapter à la modernité ou même de conserver leurs traditions incluant les religions. Et on voit cela avec les peuples autochtones aussi. Refusent-ils la modernité ou bien ils nous livrent un message profond de notre réduction quasi-totale à l’ état de chose et eux y résistent comme ils peuvent.

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