«Trump veut être vu comme un gagnant, un souhait qui semble exclure à ses yeux tout compromis. Son idée de la négociation est fondamentalement un jeu à somme nulle : une partie doit perdre et une partie doit gagner. Si Trump donne aux démocrates quelque chose qu’ils peuvent présenter comme une victoire, il aura l’air d’un perdant. En conséquence, il ne peut pas leur faire des concessions qui pourraient lui permettre d’avoir le mur parce ce que ce qu’il céderait – son image en tant que gagnant – est plus important que la mise en place de la mesure qu’il préconise. Si tout cela semble ridicule, eh bien, ça l’est.»
– Ezra Klein, rédacteur en chef du site Vox, expliquant pourquoi Donald Trump refuse de proposer aux démocrates la légalisation du statut des «Dreamers», ces jeunes clandestins arrivés illégalement aux États-Unis avec leurs parents, en échange de la construction de son mur.
(Photo Getty Images)
Jugement clair, juste et limpide.
et les victimess de ses politiques ?
Et les 800 000 fonctionnaires au chômage ou ceux qui travaillent mais ne sont pas payés. Comment qu’ils payent leur maison ou leur logements et leurs nourritures ? Ceux qui travaillent mais qui ne sont pas payé vont finir par dire fuck Trump, ont restent chez nous et là le pays va être paralysé pour de vrai.
Ça fait longtemps qu’ils auraient du le faire. Qui peut accepter de travailler sans être payé, pendant qu’un gros idiot fait la crise du bacon pour avoir son mur !
Vieille blague du temps de l’Union Soviétique: «Ils font semblant de nous payer, alors nous faisons semblant de travailler.» Peu à peu, en affichant autant d’indifférence sur leur triste sort, le Kamarad Drumpfov et ses sbires vont transformer les fonctionnaires américains en nouveaux Homo sovieticus. Si elle ne se réveille pas d’ici-là, ce sera ensuite au tour du reste de la population d’entrer dans le moule…
https://fr.wikipedia.org/wiki/Homo_sovieticus
Par chez-nous, on appelle ça une tête de cochon. Image qui lui va à merveille, dans tous les sens du mot.
Et chez nous, une crisse de tête de cochon!
En somme un cochon béni…
Please Mr. President, we are tired of winning; we can’t take it anymore.
Ce n’est pas dans l’habitude de Trump de considérer les dégâts collatéraux, surtout quand l’encerclement de la commission d’enquête Mueller se resserre dangereusement. Il ne reste plus que le fils Trump Jr et le beau-fils Jared Kushner.
«Ce n’est pas dans l’habitude de Trump de considérer les dégâts collatéraux»
Roi-des-Faillites et spécialiste des fraudes en tous genres et des factures impayées. Non, il n’a vraiment rien à foutre du respect d’autrui. Comme Genghis-Khan, plus rien ne repousse sur son passage. Et toujours pas un seul jour de prison à son actif. Cherchez l’erreur…
Ça coûte moins cher payer des amendes et des ententes hors-cour que de suivre les lois, apparemment. Alors c’est ce qu’il fait. Il enfreint les lois, et quand la justice se pointe, il paie pour s’en sortir. Mais cette fois… De un, je pense qu’il n’a pas beaucoup d’argent, en réalité. De deux, il a commis des crimes qui ne peuvent être effacés avec de l’argent. Il est coicé.
Le statut des Dreamers ne devrait même pas être proposé en échange.
Son mur est une disgrâce. Ce qu’il fait avec les dreamers aussi.
Il EST un loser. Point.
Je dirais même plus : il HAIT donc un loser.
Ce serait une bonne question à poser aux adorateurs édentés: avez-vous assez gagné jusqu’à maintenant?
Et le rédacteur se trompe. Ce n’est pas une somme nulle. Tout le monde perd avec lui dans l’équation.
Tout le monde dit qu’il est « nul » mais dans les maths-politique, il vaut « moins l’infini » !!
Ce n’est pas le rédacteur qui se trompe, mais ce type, qui pense qu’une négociation doit faire un perdant. Pas d’entente est mauvais pour tout le monde, un bonne entente doit être de type gagnant-gagnant. Mais c’est un idiot que ne comprend même pas ça. Alors, c’est dommage pour tous les États-Uniens qui ne l’ont pas élu, mais il va falloir attendre que l’économie s’effondre (ou que M. Mueller l’accuse formellement) pour que ça change.
Ou peut-être qu’il y aie assez de Républicains qui se réveillent et qui votent pour un budget qui pourrait ignorer le veto du président. (Est-ce que ça se fait pour un budget? Je pense que oui, mais je ne suis pas certaine.)
Ce que je dis, c’est que tout le monde est perdant. trump pense qu’il n’y a qu’un seul perdant mais il perd lui aussi.
On dit la même chose mais pas la même chose que le rédacteur.
» il aura l’air d’un perdant. En conséquence, il ne peut pas leur faire des concessions parce ce que ce qu’il céderait c’est son image en tant que gagnant »
On en revient toujours au même problème avec Trump, Il protège son image. Qu’importe s’il entraîne le pays dans son obsession délirante, il est incapable d’entendre les arguments du parti adverse ou de ses conseillers, il est trop obnubilé par sa propre personne ou je devrais plutôt dire par son personnage.
Pendant sa campagne de 2016, il s’amusait avec ses partisans et leur faisait crier » built the wall, built the wall »
Maintenant ce n’est plus drôle du tout parce que cette petite phrase qui le réjouissait tant est devenue une promesse qu’il ne peut pas réaliser parce qu’il a des bâtons dans les roues et qu’il est incapable de se réajuster à la réalité.
Il n’y a pas de crise à la frontière sinon un problème humanitaire qu’il est incapable de régler parce qu’il ne veut pas le régler.
Sa survie politique en dépend et surtout la survie de sa sublime image.
eau-vive – « ou je devrais plutôt dire par son personnage » J’aime beaucoup. C’est l’essence même de trump, paraître être quelqu’un qu’il n’est pas sachant très bien au fond de lui qu’il n’a pas les capacités d’être. J’ai souvent fait allusion ces derniers temps à « The Aprentice » parce qu’ à mon avis cette téléréalité représente le summum de sa carrière. Il était LE spectacle, les concurrents, qu’ils perdent ou qu’ils gagnent, who cares. ils n’étaient que des figurants.
Son « Build the Wall » est son nouveau « You’re fired ». Par contre, en ce moment, la réalité qui le rattrape, est qu’il occupe le bureau ovale et l’occupant de ce bureau doit faire plus que parler, il doit agir. Dans « The Apprrentice », il disait. Il n’avait aucune concession à proposer. Il n’avait qu’à dire ce qui lui passait par la tête, même si après 6 faillites, il n’avait aucune compétence pour jouer ce rôle de juge d’affaires. C.était une fiction, un rôle, comme tout acteur jouant le rôle de tueur en série qui n’aurait pas le tempérament et les capacités réels d’être justement un tueur en série.
Il a mis à la sauce du jour le mot « fake », parce qu’il est essentiellement « fake ». Alors il est passé maître dans l’art des « fake » négociations, Il ne peut pas dire à Mme Pelosi « You’re fired » et c’est bien ce qui le tue.
Il vient…peut-être…de comprendre qu’il a perdu quelque chose d’essentiel aux élections de mi-mandat, La chambre des représentants qui étaient jusqu’alors une majorité de « béni-oui-oui »
Je dis bien « peut-être » parce que sa capacité de compréhension est très très mince, voire inexistante.
Ça démontre également pourquoi Trump voue une si grande admiration envers les dictateurs de tout acabit. Un dictateur ne peut pas perdre, sauf au terme d’un conflit armé contre un pays voisin ou s’il y a une révolution au sein même de sa gouvernance.
@Benoit Forget
J’ajouterais que la seule chose que des dictateurs peuvent perdre, c’est la vie, et cela finit toujours comme cela, et de façon plutôt violente.
Heureux que Trump ne soit pas dans une dictature!
P.S.: Paradoxalement, les dictateurs sont une race de monde qui perdent toujours la tête sans perdre la vie, du moins, pas toute suite!
D’accord avec toutes ses analyses sur Donald Trump mais que faisons-nous de toute cette cette haine qui motive ses supporteurs envers toute forme de critique et d’opposition? C’est cette belligérance profonde et sûrement négative (destructive) qui m’inquiète encore plus que les agissements de leur roi-clown….
«mais que faisons-nous de toute cette cette haine qui motive ses supporteurs»
Cette haine des zombies fanatisés explique tout. Elle est le moteur même du trumpisme. En réalité, ils n’ont rien à foutre de l’incompétence de leur gourou orangé et de son incapacité à construire quoique ce soit. Ces déplorables individus se contentent de peu: voir souffrir ceux qu’ils perçoivent comme leurs ennemis. Se défouler de leurs frustrations en «vargeant» sur l’Autre…
Oui vous le dites assez crûment mais justement. Mais au delà de cette « haine » il y a surement l’explication d’un sérieux complexe d’infériorité qui mine leur confiance personnelle et les empêche de s’élever en tant qu’individu digne et respectueux d’autrui.
@danielm : Ceux qui ont toujours vécu avec des privilèges de naissance (particulièrement les hommes, blancs, appartenant à la religion dominante) se sentent attaqués dans leur droit quand on leur demande de partager leur privilège. Ils pensent qu’en permettant aux autres de ne pas être discriminés indûment, ça va leur rendre la vie plus difficile.
Dans une sens, ils n’ont pas tort : si ils n’ont plus ce privilège de naissance qui leur donnait une chance supplémentaire pour « gagner » dans la vie (à compétence égale ou moindre, ils ont des passe-droits dans les écoles, sont préférés à l’embauche, considérés plus rapidement pour les promotions, et ne subissent pas de discrimination), soudainement, ils doivent être compétitifs. Être moyen ne suffit plus. Alors ils ont peur d’avoir à travailler aussi fort que les autres pour avoir ce qu’ils avaient avant pour moins d’efforts. Et si leur vie est déjà difficile? Alors c’est la faute des autres, qui les privent de ce qui devrait être à eux. Les Nazis? C’était la faute des Juif si leur pays allait mal. Les racistes? C’est la faute des noirs et des latinos si ils n’ont pas de travail. Les sexistes/misogynes? C’est la faute des femmes s’ils n’ont pas de relations sexuelles avec les femmes qu’ils convoitent, s’ils n’ont pas un meilleur salaire/emploi, si leur égo n’est pas continuellement flatté.
Dans les mots de Sarah Hagi : « Lord, give me the confidence of a mediocre white man » (« Mon Dieu, donnez-moi l’assurance d’un homme blanc médiocre. ») Cette confiance en soi est confrontée à une nouvelle réalité, et ils ont peur du miroir qui leur donnerait une image plus juste de qui ils sont. Alors ils tentent par tous les moyens de maintenir leur privilèges. Et ce type leur promet de « restaurer » un pays qui n’a jamais existé que dans leurs rêves; un pays ou l’homme blanc protestant est le maître de la société.
@danielm
Je crois aussi qu’il y a lieu de s’inquiéter. Layla
Il paraît que les Russe ont pris 5 sns a construire un mur entre là Crime et l’Ukraine. Est-ce que Trump pourrait demander au Russe les fonds pour construire son mur pour contourner les Democrates du Cingres ? De toute façon Donald Trump admire Vladimir Poutine.
Oui les russes seraient d’accord pour que les américains se placardent définitivement du reste de la planète…
Autrement dit, le Gros Cave s’est peinturé dans le coin et il n’y a pas façon d’en sortir. Lose-lose situation.
L’image, l’image, l’image.
Pendant qu’il visitera la frontière aujourd’hui, il faudrait le faire entrer dans une chambre des miroirs contenant une section de mur. Il pourra voir un mur qui se prolonge à l’infini. Et, peu importe la direction de son regard, il pourra se calmer en s’admirant.
Des moiroirs grossisants…comme des voitures « may appared closer » ou comme ceux des foires, déformsnts à souhait.
Autrement dit, il se fout des gens qui n’ont pas de paie et qui tantôt auront de la misere à se nourrir..tout çe qui compte, c’est moi…moi…moi… tout ça pour ne pas perdre la face pour un mur qui n’a aucune signification excepté vis à vis sa base de supporteurs.qui criaient pendant la campagne Built de wall..
Martin cote – Sa base! Qui de sa base a déjà contemplé le mur existant? Qui de sa base est a déjà traverser une des frontières de leur pays? Ce mur, ils le vivent selon la même fiction que celle qui leur promet qu’ils seront un jour millionnaires, sans avoir à faire d’effort.
«Son idée de la négociation est fondamentalement un jeu à somme nulle : une partie doit perdre et une partie doit gagner.» (E.Klein)
Voilà qui démontre que le Gros Nul ne connait RIEN à la négociation. Et surtout, qu’il ne connaît RIEN à l’art de conclure des «deals». Un charlatan à tout niveaux…
Une théorie qui en vaut bien d’ autres mais j’ai tendance a la croire. Rien n’indique qu’ avec cette obsession du mur le gros épais ne joue pas le tout pour le tout. Son idée fixe ne règlera rien du tout au contraire. Il faut que l’opposition se fasse de plus en plus bruyante et incisive parce que pendant ce temps, des centaines de milliers d’américains sont sans salaires et se dirigent dans le mur ….mauvais choix de mots….et ce, pour une phobie d’ un seul homme si on peut l’ appeler ainsi.
Alors ajoutons ces employés de l’état aux gens de Porto-Rico ,aux sinistrés californiens et j’ en passe et ce gros imbécile est la pour le peuple américain vous dites ?
J’aimerais voir des « gilets jaunes » dans les rues de Washington.
Qu’aurait-il à dire , lui qui a ri de Macron?
«Trump veut être vu comme un gagnant, un souhait qui semble exclure à ses yeux tout compromis.» (E.Klein)
Faut croire que l’ego surdimensionné de la Créature occupe toute la place entre ses deux oreilles. Cela a probablement provoqué une pression qui a repoussé ses quelques cellules grises au niveau de son «tiny mushroom»…
« Be the better man » Une expression anglophone que j’aime bien. Ca veut dire que si tu fais un compromis mais que tu résouds la situation, tu ne peux pas perdre. Tu gagnes aussi. Juste pour avoir été l’initiateur du changement.
gl000001 – 👍👏👏
Excellent!
« Trump veut être vu comme un gagnant…Pas de concessions…son image en tant que gagnant est plus important que la mise en place de la mesure qu’il préconise… » – Billet de M. Hétu
Le peuple et la planète ont une autre occasion de voir en action comment la Bête utilise ses dons de leader pour régler une crise crée de toute pièce, une crise « mise en place » pour laquelle à la fin (à son dénouement) la Bête sera applaudie à tout rompre. Cela ne vous rappelle pas les autres moments difficiles de sa présidence ? Le Sauveteur se montrera à un moment donné pour vous sortir du grand pétrin. C’est lui la cause de la crise mais ne vous inquiétez pas, un miracle vous arrivera directement d’en haut. C’est Superman qui va venir vous apporter la solution (Ex : l’ALÉNA, les tarifs)
Malheureusement, il a mal calculé sa mise en scène, cette fois-ci. Certaines cartes sont dans les mains des Démocrates et elles ne semblent pas vouloir changer de main pour un bon bout de temps. Plus le temps passe, plus l’évaluation de sa gestion de crise « bouillonne ». La baguette magique est coincée.
Je me demande comment cette crise va se régler parce que ça devra arriver tôt ou tard.
Je crois que c’est l’opinion publique qui pourrait faire bouger les choses. Je ne sais pas si nous avons une mauvaise perception de ce côté ci de la frontière mais il me semble qu’il ne se passe pas grand chose dans la population.
Les commentateurs commentent, les journalistes écrivent, les humoristes s’amusent et les gens ordinaires vaquent à leurs occupations.
On dirait que tout cela est devenu normal et on attend que ça passe. Pendant ce temps-là, la démocratie en prend un coup et ça va prendre des années à réparer ce beau gâchis.
» c’est l’opinion publique qui pourrait faire bouger les choses. »
70% sont contre. Ca ne peut pas être plus clair.
Mais la majorité des américains ont la psychose de l’ordre établi. J’appelle ça le syndrome « Papa a raison ».
Ils ne peuvent contester le président (l’ordre établi, le papa). C’est dans leurs gènes.
Je le disais l’autre jour : je crois de plus en plus aux chemtrails 😉
gl000001
Qu’est-ce que ça veut dire chemtrails ?
J’ai cherché et je n’ai trouvé aucune traduction pour ce mot ou cette expression. Merci !
Une blague pour les uns. Une théorie de conspiration pour les autres !
https://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_conspirationniste_des_chemtrails
Les partisans de cette théorie du complot avancent que ces dispersions de produits chimiques seraient destinées à lutter contre le réchauffement climatique, à réguler la population, à modifier le temps, à effectuer des recherches militaires sur la guerre chimique et qu’elles sont la cause de maladies.
@ eau-vives
Les chemtrails sont il s’agit de traînées chimiques libérées par ldes avions délibérément provoquées par épandage à des fins militaires ou politiques.
@ gl000001
Malheureusement, ce ne sont pas juste les partisans de cette théorie du complot.
La science pense sérieusement à se lancer dans l’aventure. SI vous pouvez mettre la main sur le Science&Vie No 1213 Octobre 2018 : Les Scientifiques s’y préparent. Changer le Climat. Les deux grands projets pour refroidir la terre.
P.S. Ça donne froid dans le dos car jouer à mère nature peux emballer les changement climatiques et avoir l’effet inverse de ce qu’ils veulent faire. Ou modifier les courants aériens et ainsi modifier les zones de pluies etc., C’est un très bon S&V
Il y a eu un film/documentaire sur quelque chose du genre il y a quelques années.
Ils envoient des produits chimiques pour arrêter un ouragan mais ça le renforce et le déroute sur New York. Et c’est l’hécatombe.
Il faudrait que je retrouve le titre.
Monsieur Hétu…. Ce commentaire d’Eau Vive est interessant: qu’en est-il des réactions du « vrai » monde aux EU?
Vous avez raison mais en même temps tous ces gens que vous mentionnez maintiennent la cohésion socio-économique nécessaire au fonctionnement de la société américaine. Pour plusieurs il y a suffisamment d’irresponsables à la Maison Blanche en ce moment pour en ajouter de nouveaux. La roue doit tourner et rassurez-vous elle va bientôt écraser (2020?) de son inertie Donald Trump et ses acolytes.
Trump s’est piégé lui même. La fuite en avant ne pourra pas fonctionner indéfiniment. Le gouvernement devra un jour ou l’autre réouvrir. alors que dans une négociation d’affaires ou d’acquisition, il est toujours possible de se retirer de la négociation et de renoncer définitivement à l’occasion d’affaire.
Désolé d’avoir l’air baveux et arrogant, mais ça fait longtemps qu’on avait compris cette manière de négocier de Donald Trump. Vous êtes plus de deux(2) ans en … ‘retard’.
Donald Trump a probablement toujours été en position de faire ce qu’il voulait et on voit comment il réagit lorsqu’il n’est pas en position de force et doit réellement négocier pour obtenir ce qu’il veut. Pour peut-être une rare fois dans sa vie, il se retrouve dans une situation, avec Madame Pelosi et les démocrates, où il reçoit le fameux ‘NON’ et ça le rend fou comme des enfants mal-élevés de trois ou quatre ans à qui on dit ‘non’ et qui font une crisette; pour ces enfants, c’est plutôt amusant, mais pour un homme de plus de 70 ans, et encore pire s’il est président des Etats-Unis, c’est carrément troublant et de quoi donne des cauchemars.
On pensait avoir tout vu de cet homme en 2018, ça pourrait être bien, bien pire en 2019 où il va recevoir des ‘NON’ des démocrates. Attendez-vous à des crisettes épiques d’un homme et d’un président de plus de 70 ans :-(.
Apocalypse
Vous avez raison, ça fait longtemps qu’on le savait.
Mais comme le disait Yvon Deschamps » On veut pas le savoir, on veut le voir » Et là on voit ! Rien à ajouter.
Un jour, la crisette va se transformer en crise cardiaque s’il continue à ce rythme.
Il y a toujours pire que soi.
J’ai souvenir qu’un pays des Caraïbes ne payait plus ses fonctionnaires, ses enseignants, son armée depuis de long mois. Ce qui est un inconvénient pour les employés, je n’en doute point.
Mais en plus, les fonctionnaires devaient payer immédiatement, et en cash, les impôts sur cet argent qu’il n’avait pourtant pas reçu. Inutile de vous dire qu’a peu près tout le monde démissionnait et quittait le pays quand ils le pouvaient.
Que dire de la Belgique qui a fonctionné pendant 194 jours sans gouvernement. Tout le monde a eu son chèque de paye.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Crise_politique_belge_de_2010-2011
Là est tout le problème, la façon dont Trump voit la négociation. Ça lui prend un gagnant, lui en l’occurence, et un perdant. Le contraire d’une négociation win-win.
Il voit la négociation comme une arène de boxe où le plus fort met KO son adversaire. Et il est prêt à combattre ses propres alliés pour essayer de se remonter. L’ALENA en est un bel exemple.
Probablement qu’un psy nous expliquerait mieux le processus de ses neurones. Il ne veut pas perdre la face, devant son miroir, et est prêt à tout pour y arriver.
Rien de logique là-dedans. Pour lui, faire des compromis est un signe de faiblesse et il veut se montrer fort.
Et pourtant, de vieux adages nous le rappellent:
Seuls les fous ne changent pas d’idée. Je remets sa santé mentale en cause.
Faute avouée est à moitié pardonnée. C’est un menteur compulsif.
On a toujours besoin de plus petit que soi. Lui, il tape sur tous les citoyens qui osent le remettre en question.
Le plus grand courage est de surmonter ta peur. Il attise la peur, mais craint Mueller comme la peste.
Et ainsi de suite.
Faudrait qu’il jouemoins au golf et qu’il lise davantage: ça l’aiderait.
Pauvre type.
En définitive c’est un « bully » comme tous les grands et petits intimidateurs de cette planète. Seulement il est président des États-Unis…
Il ne l’est pas tant que cela quand vous cessez d’avoir peur de lui. Comme Roffman l’a prouvé.
Le cinéma populaire bien qu’un peu trop simple enseignait mieux le comportement à adopter dans cette situation.
Exemples :
1. Le karaté kid. On va les défier et on règle cela au championnat de karaté. Entretemps, Myagi peut enseigner le karaté et la vie au petit Daniel.
2. Retour vers le futur trois scènes:
i) Celle où le père du héros étend Biff et se défait alors de son image de peureux qui risque d’être l’éternelle victime.
ii) La scène juste avant où les musiciens noirs sortent de voiture et les bullies quittent illico. Des Noirs qui n’ont pas peur de leur masculinité.
iii) La scène après au bal où George tasse le gars qui avait pris sa place. « Excuse-moi ».
Il faut apprendre à se défendre dans la vie, à s’affirmer plutôt que se plaindre.
Exemple contraire Arnold et Willy.
Arnold le tout petit a des problèmes avec un monstre, une brute à ses yeux. Les conseils de Willy ne sont pas les mêmes que ceux de M.Drummond. Conrad Bain incarne là le bon riche qui donne le bon exemple contrairement à Donald Trump.
Il a Mal-à-l’Égo…..désolé fallait que ça sorte!!
Oubliez la négociation. Pensez en terme de deal, de transaction, de trade.
Et là vous pourriez en avoir un deal gagnant/gagnant mais en politique il y a tellement de gens concernés que c’est plus complexe qu’avec le golf ou la boxe.
Négocier avec Don King, Trump l’a fait mais avait des bons gestionnaires pour réparer ses gaffes. Alors c’était une approche très gagnante même si le combat avait été très court. Tyson versus Spinks.
La WWE savait quoi proposer à Trump, leur cirque est bien géré. Comme autre exemple.
Pour ma part, je crois qu’il veut étirer le problème le plus longtemps possible car il est déjà en mode pré-électoral. Il fera de la supposée crise de l’immigration son principal cheval de bataille et il misera encore et toujours sur la peur car cela fonctionne pour une bonne partie des électeurs. De plus, il ne veut pas perdre la face et ajoutez à cela un égo démesuré, vous avez la recette d’une crise artificielle qui en dit long sur l’ėtat de la dėmocratie aux États-Unis et sur l’état des finances. Entre vous et moi, 5 milliards de dollars ce sont des peanuts mais Trump a fait du mur un symbole qui lui sert très bien auprès de sa base et il doit croire que cela peut encore le faire réélire. La peur est le principal outil des populistes ainsi que les solutions simplistes à des problèmes complexes.
Depuis le début de sa présidence il avait les 2 chambres en majorité et pourquoi il ne l’a pas fait quand il était majoritaire et en contrôle, parce que les repus n’en voulaient pas et n’en veulent toujours pas, il ne pourra jamais se présenter en gagnant car il a déjà perdu et il ne pourra trouver cet issue gagnant pour lui
Ce sont les fonctionnaires qui devraient élever la voix contre lui mais ils craignent les représailles je crois
Clément – « 5 milliards de dollars ce sont des peanuts » Attention. Donnez 5,7 milliards à trump pour son mur aujourd’hui, demain il exigera 10 milliards, puis après demain 20 milliards, car à chaque étape, son seul objectif est de dire « J’ai gagné ». Le mur, il s’en fout, il ne l’utilise que pour créer une bataille dont il veut sortir gagnant. Alors, on ne dépense pas 5 milliards pour le plaisir de faire plaisir à un maboule, même aux USA. Et si on prenait ces 5 milliards pour aider ces réfugiés, me semble que ce serait plus sensé.
Avez-vous besoin de l’accord de Trump voulu ou forcé? Tant qu’il est là vous ne pourrez pas ignorer ce fait.
Vous avez raison. Il veut une victoire de principe. Même quand Nancy Pelosi a dit qu’elle ne donnerait pas plus de 1 dollar pour le WALL, c’était déjà un dollar de trop. Croyez bien que Trump a saisi ce dollar comme un étant déjà un acquiescement. Avec les Dreamers dans la balance, même si Trump dit non, les dreamers sont maintenant dans l’équation aux yeux de l’opinion publique, et avec raison.
Pelosi et Chummer la jouent cependant low profile, et avec raison aussi, parce qu’ils doivent mesurer chaque mot et le ton et leur expression, même celle du visage, qui se doit d’être neutre, terne même, comme signe de tristesse, imitant en cela la « tristesse. de Trump durant son adresse à la nation. …a play… mais qui a sa raison pour Pelosi pour la raison suivante.
1- Les supporteurs de Trump les écoutent. Il suffirait d’une expression malheureuse pour qu’ils s’enflamment comme l’enfer afin de compenser les mille frustrations que Trump leur demandent explicitement et implicitement d’endurer, pour une cause qui n’a rien à voir avec rien à leurs yeux, si ce n’est que Trump leur demande à eux des Blancs de taper sur eux, des Latinos. Pas plus que les 800 mille personnes sans salaires ne les concernent pas, sauf pour certains parmi eux qui ont le mood sadique.
2- Plusieurs parmi ces supporteurs, pour ne pas dire des milliers et milliers ne demanderaient pas mieux que de quitter Trump, parce que jusqu’à maintenant il n’en a que pour les riches et que la théorie du bel orage de dollars qui dégringole du ciel sur leur tête est sans doute le coup le plus fumant de mépris qui soit. Raison pour laquelle le message de Pelosi doit être vécu par eux comme crédible, raisonnable et jamais méprisant, de telle sorte qu’ils sentent une porte ouverte pour eux chez les démocates.
3- Parce que c’est ce groupe de supporteurs déjà désenchantés de Trump pourrait être à la merci de Trump advenant que les Démocrates maquent de vigilance, de prudence, de finesse, d’ouverture et d’une humeur stable.
@Gu Vidal – 8h48
Effectivement, il avait les deux(2) chambres et regarder où nous en sommes … misère.
Au moins quatre(4) républicains du sénat sont prêts à voter pour rouvrir le gouvernement, ce qui fait que s’il y avait un vote, ça serait chose faite. Vous pouvez parier que Mitch McConnell a dû, ou va, recevoir un call du président pour qu’on ne vote pas. En fait, il est bien possible qu’il y ait plus que quatre(4) républicains dans cette situation.
La population, par un bon pourcentage, ne veut pas de mur, on pourrait voter pour rouvrir le gouvernement et pourtant… Donald Trump n’a visiblement pas compris ce que veut dire diriger un pays, est-on surpris?
@ProMap – 8h58
J’ai cru comprendre que la portion de la frontière qui n’a pas de mur s’étend sur près de 2000km, si c’est le cas, alors 5 milliards … en 2019 … pour contruire un mur sur cette distance … yeah right :-(.
Apocalypse – Yep! Surtout que pour construire le mur existant, ils ont dépensé au moins 10 fois plus. La réalité est qu’il ne s’agit pas de construire un mur. Il s’agit de parachever un mur existant. Le slogan « Build de Wall » est de l’exagération typiquement trumpienne. Est-ce que le mur existant a empêché la caravane de se former, empêchera-t-il les éventuels migrants de se décider à quitter leur pays oppressant? La caravane s’est-elle présenté dans les régions montagneuses et désertiques de la portion est de la frontière? Non, elle s’est dirigé vers les portes existantes via des routes existantes.
@ vidal
Les répugnans avait la majorité, mais ce n’était pas suffisant au Sénat. C’est pourquoi, le congrès acceptait de voter pour le mur, sachant que ça n’irait pas plus loin.
C’est une gang de face à claques!
On n’est pas sorti de l’auberge……
L’auberge du chien … orange, sans coeur et sans âme !
@Clément « …il veut étirer le problème le plus longtemps possible car il est déjà en mode pré-électoral »
Vous croyez que plus le shutdown perdure, plus il reçoit l’approbation des gens ? Il prépare sa réélection avec ça, ce chaos ? C’est votre opinion.
@titejasette 9:11
« Vous croyez que plus le shutdown perdure, plus il reçoit l’approbation des gens ? Il prépare sa réélection avec ça, ce chaos ? C’est votre opinion. »
S’il a été placé au pouvoir par les Russes et est convaincu qu’il en sera de même en 2020, il est assez ch***pour le faire. Ll
Trump ne comprend pas l’équilibre démocratique souhaitée par les « pères » de la constitution américaine; il ne peut donc se « plier » à l’obligation de respecter les choix démocratiques des citoyens et citoyennes. Il a été élu en promettant le mur; les démocrates ont été élus en s’opposant au mur. Résultat « normal »: ils doivent négocier de bonne foi et trouver un compromis pour le bien de leurs commettants. Le narcissisme maladif de Trump et son ignorance politique mènent à ce cul-de-sac. Déplorable!
@Paul Lemay
Aux mid-terms je n’ai pas eu l’impression que les démocrates ont mis l’accent sur leur opposition au mur. Je dis ça sous toutes réserves. Layla
@ eau-vive
Des chemtrails est une théorie voulant que les gouvernements lâchent du ciel des produits chimiques pour abêtir leur population. Leur « preuve » sont les traînées blanches que les avions traînent derrières elles.
Sérieux, y’a des morons qui croient en cela…..
Tout ce qu’il connait comme sentiment, c’est la peur. C’est pourquoi il sait comment l’utiliser.
Et, c’est cette peur de perdre, qui le motive à tout faire, pour garder le contrôle sur sa base atteinte du syndrome de Stockholm.
L’accident de campagne du « build the wall »vient le hanter, mais la peur de poursuites pendant ou après son règne domine ses décisions.
Ses otages inconscients demeurent son joker ultime qu’il se doit de conserver jusqu’au dénouement final.
Si je comprend bien votre analyse, sa seule porte de sortie pour éviter les recours en justice le ciblant avec son entourage est sa réélection en 2020. Très intéressant.
@ProMap – 9h16
Et en plus, j’entendais qu’il y aurait toutes sortes de contestations en justice de fermiers qui verraient passer le Mur sur leur terre et ainsi: ‘expropriation’.
Toute cette histoire de Mur est un indescriptible ‘mess’ qui ne donnerait rien de toute manière et une perte de temps folle alors qu’il y a tellement de dossiers plus importants sur la table.
On peut se demander si Donald Trump ne pense pas que cette polémique le sert et qu’il essaiera de la faire durer autant que possible. En tout cas, chaque jour qui passe avec le shutdown va mettre de la pression sur lui et comme chaque sait, des gens mécontents peuvent faire beaucoup de dommages.
@Apocalypse 9:24
Expropriation?
On pouvait aussi lire que les riches fermiers sont derrière Tiny donc eux ne contesteraient pas.
Et il y a les autres qui sont considérablement affaiblis financièrement par la guerre commerciale.
Ils doivent avoir l’équivalent de l’UPA aux USA? Layla
@eau-vive: ‘Qu’est-ce que ça veut dire chemtrails ?’
Une théorie du complot qui prétend que des gouvernements (ou autres) utilisent les avions pour disperser des substances tranquillisantes (dopantes) sur les populations. Que les marques blanches laissées dans le ciel par le passage des avions (chemtrails) sont remplies de produits chimiques à cet effet….
trump ce matin (il y a 41 min)
« “Great support for Border Security and the Wall.” @foxandfriends Even greater than anyone would know! “Presidents supporters do not want him to cave.” @SteveDoocy I won’t! »
Fu*kNiouse le tient par les couilles de son égo narcissique.
60- 70% des Américains ne veulent pas de son mur, mais sa base le veut selon Fu*k&Fu*k, alors le président de tous les Américains fera un mur. Misère!
Cette description du Gros taré est on ne peut plus vrai. Ce type ne veut pas négocier. Il veut avoir raison.
Une vrai négociation aboutit nécessairement à un compromis où chacune des partie y trouve son compte. On cède sur certains aspects et on fait des gains sur d’autres.
Pour le Motherfucker-En-Chef, tout compromis est un signe de faiblesse et un narcissique comme lui ne peut accepter ça. Pour un narcissique, l’image qu’il renvoie est plus importante que la substance.
Il n’en n’a rien à foutre des problèmes des 800 000 fonctionnaires en chômage forcé et sans paie. Un narcissique comme lui est incapable de la moindre empathie et de la moindre compassion pour le malheur des autres. Rappelez-vous l’épisode du lancer de rouleaux d’essuie-tout aux sinistrés de Porto Rico.
L’enfant-roi veut son joujou. Il fera tout pour l’obtenir quitte à plonger le pays dans un chaos et à briser la vie de milliers de ses concitoyens.
Comme le dit Ezra Klein: »si tout cela semble ridicule, et bien ça l’est ».
Très bien. On dirait presque qu’ il est venu lire nos commentaires sur le blogue.
On fait quoi avec cela ?
Faire la différence entre la négociation et le deal.
Il faut lui proposer un deal. Le deal peut être forcé ou pas. Et il peut être gagnant-gagnant mais Trump aime mieux avoir eu l’impression de gagner le match ou la trade.
Le producteur de The apprentice a bien réussi lui. Mais il a dû bonifier son offre ? Oui.
Gagnant-gagnant ce deal.
Roffman l’analyste financier à qui Trump avait fait perdre son emploi le poursuivait et Trump allait perdre peut-être plus à ses yeux. Il a donc fait une offre qui a plus que satisfait Roffman qui a lancé son entreprise est maintenant riche comme Crésus et a voté Trump. Pas un mauvais monsieur mais trop attaché à son argent et ses réalisations.
Prenez le deuxième contrat de Herschel Walker dans la USFL, un contrat personnel avec Trump. Walker était le joueur de football pro le mieux payé entre tous. Trump a accepté de le libérer de son contrat car la USFL n’était plus en opération.
Il faut simplement être en position de force face au Donald. Il n’est pas vraiment relationnel, il est transactionnel.
Lui s’occupe de SES affaires vous des vôtres. Vous faîtes des offres et contre-offres. Si le poisson ne mord pas ? Goodbye.
Faible sur le partenariat quoique son mariage avec Ivanka a été un bon deal pendant plusieurs années avant que la célébrité l’obnubile.
Faire un deal gagnant avec Trump ? Est-ce Donald le problème? Ou c’est la politique qui est très dichotomique, antagoniste, partisane versée dans l’idéologie. Alors que dans un deal d’affaires on s’en fiche que vous soyez démocrates ou républicains.
Il faut plus ramener cela en dollars et lui présenter les choses comme le faisant gagner beaucoup ou l’empêchant de perdre et là il va signer.
Quand Natacha des Têtes à claques comprend mieux ce qui fait signer les hommes d’affaires des cours de psychologie seraient requis ou autre. La psyché des obsédés des apparences et de la performance. You bet qu’il va le signer le contrat, le deal.
On peut lire sur le lien
« Trump ne se soucie pas du mur. Il se soucie d’être vu se battre pour le mur. De ce point de vue – le discours de mardi soir a été un succès. Sa base l’a vu se battre pour eux. Et c’est peut-être tout ce qu’il voulait vraiment. »
Le moins que l’on puisse dire c’est qu’aux yeux de sa base, il donne l’image qu’il se bat.
Ce que sa base voit.. il n’aura pas gagné la guerre, mais il aura été au bout de son sang pour son peuple ou presque, un HÉROS, et ils aiment les héros, c’est Hollywood, et il pourrait faire une deuxième élection sur cet enjeu, user le concept du mur à la corde.
Il est allé au Capitol cette semaine déjeuner avec les républicains, il se bat pour eux, il est allé faire du « lavage de cerveau » mais a-t-il réussi? L’espoir fait vivre, est ce qu’ils ont encore l’espoir qu’il les sauvera. Possiblement, ils ont perdu la chambre mais pas le Sénat. En 2020 de mémoire il y aura le double de poste républicain en jeu, ce qui n’était pas le cas en 2018. S’ils savent lire entre les lignes ils devraient s’opposer au mur de Tiny fermement et mettre un terme au shutdown, mais si c’était le cas Tiny dans sa tête de tordu gagnerait, il dirait j’ai été trahi par les républicains.
Mais il faut prier le ciel à genoux les deux mains jointes que les démocrates ne cèdent pas.
HS mais là, vraiment HS : Ce soir à 21H à TVA. Seulement pour ceux qui aiment rigoler, pour les autres, c’est censuré.
https://www.journaldemontreal.com/2019/01/10/ca-se-touchait-sur-le-touch
La dynamique pathologique de trumpitude ne permet aucun espace pour que l’autre ait raison de lui, sa survie psychique en dépend et il vendra très cher toute atteinte en ce sens. De tres gros dégats, il y aura. Ca fait pas en douter. Rien à esperer du côté de ce fou in chief. Ce sont les adultes qui doivent s’assurer de la sécurité, comme des parents envers son enfant. Et c’est pas de l’amour inconditionnel dont il est question. Il y a l’alternative « on attend » ou l’alternative « réglons le problème », la source du probleme. Plus on attend, plus on renforce sa dynamique, ses fureurs et conséquement les dommages civils, constitutionnels et on amplifie la fissure sociale. Un moment donné, le train s’arrete icitte le con. On ramassera le tas après.
Je suis contre tout « compromis » , même pour DACA, qui mènerait à la construction du mur. Et si 45 offre de ne plus mettre les enfants dans des cages, il va avoir un plus gros budget? On ne peut pas s’engager là-dedans.
La chose vient d’affirmer, avant son départ au mur des lamentations, que le Parti Démocrate a été envahi par de nouveaux élus gauchisses. Voilà qui expliquerait, selon le greatest ever, leur difficulté à faire des compromis.
De plus, je viens de lire à 9h49 que trump a réalisé son rêve en ayant fait vie commune avec Ivanka. Eh ben!
jeani – 🤣 pour le génie de la politique et 😂 pour le 9H49.
@ProMap 10:56
Merci pour la précision, je cherchais un commentaire de @Jeani à 9:49.
C’est du @Jeani à son meilleur. Ivanka, Ivana.
Qu’est ce que je m’ennuie du temps de l’ancien blogue où 9:49 était entre 9:48 et 9:50. Layla
@jeani
« De plus, je viens de lire à 9h49 que trump a réalisé son rêve en ayant fait vie commune avec Ivanka. Eh ben! »
❓
Layla – Dans le commentaire de 9h49, il y a un « k » de trop.
Le shutdown risque de perdurer très longtemps du moins jusuq’au 25 janvier.
Voici la raison :
Le président américain Donald Trump a annoncé jeudi qu’il ne participerait pas au Forum économique mondial de Davos, qui aura lieu du 21 au 25 janvier en Suisse, si la paralysie partielle de l’administration fédérale se poursuivait.
« J’avais l’intention d’y aller […] C’est toujours prévu. Mais si le shutdown continue, je n’irai pas »,
Mon p’tit doigt me dit que tout les chefs d’État qui seront présent à Davosont demandé à Nancy de tout faire en son possible pour que Trump ne se présente pas à Davos.
Il a encore son comportement présiden-fiel : jouer à la victime et être le grand perdant.
Gilbert Duquette
👏🤣
En guise de représailles, je vous prive de ma présence à Davos.
« Trump annonce qu’il n’ira pas à Davos si le shutdown se poursuit… Cela fut un vrai succès quand j’y suis allé » – Donald la Patate
Eh bien, nous aimerions recevoir beaucoup plus de punitions de ta part Le monde va se porter beaucoup mieux sans ta présence. Le chaos, ce n’est pas requis pour gérer les crises. Adieu et débarrasse !
https://www.lapresse.ca/affaires/economie/etats-unis/201901/10/01-5210552-trump-annonce-quil-nira-pas-a-davos-si-le-shutdown-se-poursuit.php
Sauf que Mme Tiny ne l’a pas accompagné, et à ce même Davos il a essayé de se faufiler sur la pointe des pieds cependant pour revenir dans l’accord trans pacifique, mais ils l’ont ignoré.
En partant juste le fait qu’il dise que cela a été un « vrai succès » vient me dire tout le contraire.
Le chaos fait partie de l’ordre naturel mais Trump est une bactérie pathogène.
L’ordre naît du chaos. Trump fait l’inverse. Il est un agent provocateur infectieux où sont les agents stabilisateurs? Kelly et Mattis en étaient pas vraiment sauf pour l’image.
Système figé qui refuse de se transformer et n’arrive pas à contourner Trump car ils ne sont pas assez holistes. Contourner la ligne hiérarchique cela peut être facile quand on est vraiment champ gauche et rarement des généraux militaires correspondent à ce profil.
Le chaos c’est la vie, l’inconscient, le ça si on veut aller contre on ne peut que perdre. Si on ne canalise pas les pulsions par contre on peut sombrer dans la criminalité. Il faut donc atteindre ou viser la pleine conscience de soi comme individu et collectivité. Dans le respect du conscient et de l’inconscient ( vie, chaos ).
Un homme qui a couché avec une femme et qui ne veut pas l’avouer ou au moins ne pas être dans le déni ne peut être qu’un LOSER.
Un gagnant ferait quoi ?
Médias: Monsieur avez-vous déjà couché avec madame?
Winner : Cela est possible. Je ne confirme ni n’infirme cela est une affaire privée entre elle et moi. Par contre, je sens qu’il y a des jaloux parmi vous.
Quand Hubert Lenoir est 100 fois plus intéressant que les politiciens actuels cela donne une petite idée des minus qui nous gouvernent.
———————–
<
Tout au court de sa vie ….
Quand Trump était coincé, il faisait systématiquement 3 choses.
1- il menaçait tout le monde à tors ou à travers
2- il transgressait les loi pour obtenir ce qu'il voulait
3 Et bien important il se cachait derriere une douzaines d'avocats véreux.
Mais appliquer cette recette la comme président n'est pas si simple.
Trump justement n’était pas un coincé, le maire Koch non plus mais il avait laissé gagner Trump pour Wollman Rink.
Les tribunaux du temps aussi savaient faire preuve d’humour dans l’histoire de la poursuite contre la NFL formant un monopole. Ils ont donné deux fois raison à Trump mais lui accordant deux fois des sommes symboliques dérisoires. Trump était pareil gagnant en pub qu’il s’était donné mais tous pouvaient rire de lui.
Une personne alerte ne se faisait pas souvent « four.rer » par Trump et le grand public a pu rire de ses malheurs au début des années ’90. Si une personne achetait ses junk bonds c’est qu’elle était cupide elle aussi. Apprenez de vos erreurs.
HS mais so cute sur le Twitter de M.Hétu à droite
La photo de la grande famille de la WH.
« Pensons à Thomas Jefferson qui aimait s’entourer des plus grands esprits de son époque » RH..
Dan Scavino Jr.
@Scavino45
After this evenings Presidential Address, we joined our great POTUS for a photo. We are all on the right side of history! #FACT
Je voyais le boom (le bâton pour le son) au-dessus de lui et j’ai cru un moment que c’était ce qui tirait les ficelles de la marionnette.
Féroce 🦖
@Layla3553 – 11h02
Ce matin à CNN et MSNBC, on disait que les fermiers du Texas n’étaient pas en faveur du Mur. Ce faire charcuter ses terres et appuyer le Mur, il faudrait être cinglé solide :-(.
@Apocalypse 11:42
Bien d’accord avec vous, je trouvais ça bien frustrant de lire que les riches fermiers étaient derrière Tiny, un non sens pour qui s’enrichit en partie avec de la main-d’oeuvre sous payée.
—————————
Sa menace de ne pas se pointer à Davos a du faire bien des heureux.
Sérieusement, ce crétin est un embarras partout ou il passe …
grossier, stupide et arrogant …. mais surtout intellectuellement incapable
de suivre la parade. Une vrai disgrâce pour les USA d’être représenté par
homme aussi médiocre et imprévisible.
L’égo de Trump fait en sorte qu’il ne voudra jamais perdre la face, quitte a perdre la tête!
Quelqu’un donc le nom m’échappe disait que l’amour-propre est tout, sauf propre!!!
Au final, il ne travaille que pour lui, pas pour les autres.
C’est comme ça avec ses coupes de taxes, ses nombreux déplacements dans ses hôtels ou que par hasard, la guerre commercial en chine ne touche jamais les sacoches de sa fille.
Trump se bat pour lui même, pour son ego. Il se bat en plus contre les Démocrates. Imaginez une « femme » démocrate qui gagne la partie. il deviendra encore plus fou qu’ile l’est maintenant. Trump c’est (moi,moi,moi) je suis exceptionnel et vous n’êtes pas assez intelligents pour le constater. Donc, tout le monde est con sauf lui. (je m’aime, je m’aime , je m’aime, et je je suis extraordinaire)
Plus simple que cela… Trump vient du secteur privé où c’est le marché qui décide du deal. Pour le mur on peut faire entrer cela dans la sécurité nationale et cela devient un bien public mais ceux qui font une obsession sécuritaire ce n’est pas à l’État de payer pour eux. Mais oui ce pouvait être une promesse payante pour acheter des votes. Encore une mesure à bénéfice concentré et coût diffus.
Dans le privé? Des condos pour des résidents fortunés obsédés de la sécurité? Tant qu’ils sont prêts à payer quelqu’un va leur offrir. Des riches qui ont peur de se faire voler. Trump a réduit leurs impôts ils respirent.
La vraie clientèle de Trump doit être les riches parvenus, les autres ordinaires doivent être là pour divertissement seulement.
Mettez des hôtels à la frontière? Des golfs? Mini-golfs s’il faut. Des combats de boxe, des matchs de lutte. Le tournage d’une télé-réalité dans un casino. Le concours de Miss aussi…
Le mur se payerait de lui-même il faut faire entrer des dollars.
Ne pas confondre la négociation politique entre deux partis et/ou avec le POTUS avec une transaction commerciale ou avec les joutes politiques au sein d’une organisation privée ou encore celles avec l’organisme de réglementation.
– Trump peut avoir dealer avec ses clients potentiels. Il fallait être un parvenu voulant un appartement à plus d’un million pour acheter dans la Trump Tower. C’est cela sa clientèle dont Liberace et plus tard Michael Jackson. Le grand public qui lit les revues à potins va prendre un lunch ou juste un rhum & coke ou limite un 7up dans l’espoir de croiser une star.
Le deal ou le package deal ou modèle d’affaires c’est cela.
– Même chose pour le combat de boxe Tyson-Spinks le combat le plus dispendieux de l’histoire. On paye quoi nous autres ? Pas une sacram… de cenne de plus que notre abonnement à La Presse. Là Réjean Tremblay était intéressant c’est certainement pas pour Marcel Adam qu’on est des abonnés. Peu importe si non intéressé on ne lit pas. Alors que quand c’est le gouvernement on prend la caisse commune pour payer les caprices d’une minorité. Les libertariens veulent-ils du mur vraiment ?
– Le deal c’est cela et le prix est déterminé par le marché. Il n’y a pas de négociations Trump quand il a fait son offre hostile sur Holiday Corporation a fait paniquer leurs dirigeants. Il pouvait avoir toutes les options soit de vendre les actions déjà acquises ou éventuellement prendre le contrôle.
La définition de deal est celle-là. Pour un simple consommateur cela peut être de faire un achat qui fait son affaire, il va courir les soldes et fait un bon deal, zéro négos là c’est pas une convention collective c’est un marché.
« Le plaisir des affaires » était donc une bonne adaptation du titre… L’art de la négociation cela a peu à voir.